Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

C'ETAIT LA FIN DES HARICOTS

Qu'est ce qu'on en avait " gros sur la patate " en cette année soixante deux,
" pressés comme des citrons " on était dans un état désastreux,
et puis le jour est arrivé où on s'est dit " la carottes sont cuites ",
c'était pour nous " la fin des haricots ", nos espoirs avaient pris la fuite.
C'est que depuis longtemps on " s'était foutu de notre poire ",
les autres avaient " mis le ver dans la pomme " et là on s'était fait avoir
car ils avaient voulu nous faire " glisser sur une peau de banane " c'était sur.
En ces temps difficiles on nous en a fait voir des " vertes et des pas mures ",
" aïe aïe aïe ", après le " coup sur la calebasse " qu'on avait pris en traître
ils croyaient nous faire " tomber dans les pommes", c'était mal nous connaître,
c'est vrai qu'on était dans une situation " mi figue mi raisin ",
il ne fallait pas se " raconter des salades " , on a "plus un radis " se disaient certains.
On était comme dans un mauvais film," un navet " à oublier au plus tôt
parce ce qu' on devait réagir vite et ne pas rester " plantés comme des poireaux ",
on allait se défonçer pour " mettre du beurre dans les épinards ",
et ce qu'on allait faire " ça comptait pas pour des prunes " car il n'était pas trop tard.
On n'était pas des " grosses légumes " , mais on " avait la pêche " pour être heureux
on n'avait pas de " pois chiches dans la tête " alors on allait tirer " les marrons du feu ",
et pour ne pas faire " faire choux blanc " il fallait " appuyer sur le champignon ",
là ils n'ont pas " ramener leur fraîse " car on leur a dit de " s'ocuper de leurs oignons.
Tous ces gens " à la noix de coco " ils n'avaient pensé qu'à briser nos rêves,
alors on les a carrement rejetés en les envoyant se " faire une soupe de fêves ",
on s'est dit que le jour où on mettra " la cerise sur la gateau " on en sera très fiers
même si " le parfum des oranges amères " restera toujours pour nous très ... amer.

Robert Voirin

Bonjours a vous tous
et une journée mémorable de plus dans nos têtes et nos coeurs.Oui ,nous avons passer une très agréable journées tous réunis en souhaitant de tout coeur que l'an prochain nous seront tous rassembler a nouveau.
Je tient a remercier ,CHRISTIAN,qui fait de son mieux pour nous satisfaire.Avec sa gentillesse et sa disponibilité
toujours aussi sympa,merci Christian.
les photos ne vont pas tarder a arrivées chez vous.Je suis très contente d'avoir déjà vue sur le site ,la photo ou je suis avec mon teeshert et mon frère,au moins si quelqu'un ou quelqu'une me reconnait en voyant la photo ce sera plus facile.Moi aussi ,je présente toute mes condoléances ,aux familles qui on perdue un être cher et je leurs dit"COURAGE".
je vous embrasse,rosette.

voire des photos de classe de la rue de Dijon année 1946 a 1954 merci

Bonjour

Juste pour apporter une précision. Les photos de la rue Suffren ont été réalisées par Mustapha Oualikene.Qu'il en soit remercier ici.J'avais transmis ces photos à mon cousin Janvier en omettant le nom du photographe.
Merci.

Bonjour .
Je recherche pour une amie Monique DEJEAN qui habitait au quartier NELSON comme moi même ,deux copines d'enfance,il s'agit de Denise et Régine LOPEZ. Le hasard faisant bien les choses parfois ,manifester vous si vous pouvez donner des indications
Merci d'avance.
JEAN MARC LABOULBENE 16 RUE EUGENE ROBE -NELSON 06 10 65 10 19

A NATHALIE VARDO.J'AI EFFACE VOTRE EMAIL PAR MEGARDE,VOULEZ VOUS ME LE RENVOYER ??JE VOUS REMERCIE D'AVANCE PAULE

JE ME JOINTS A YOLANDE LOMBARDO
POUR PRESENTER MES SINCERES CONDOLEANCES A LA FAMILLE CARAVANO
POUR LE DECES D'ANTOINE
LE GRAND LIVRE DE LA BEO PEU A PEU SE REFERME
QU'IL REPOSE EN PAIX

ANDREE

C'est avec beaucoup de tristesse que nous avons appris le décès d'Antoine, malheureusement encore un de chez nous qui laisse un grand vide, toute la famille lombardo adresse ses sincères condélances à la famille Caravano

Encore un enfant de Bab El Oued nous a quitté.

C'est avec une grande tristesse que je viens vous annonce le décès de mon frère CARAVANO Antoine qui nous a quitté samedi.

Bonsoir Perlette
Comme tu dis et j'en suis heureuse nous avons sûrement le rabbin Durand comme ancêtre commun
Bises