Liste des messages
Le : 27/08/2011 12:22
Qui peu me dire où se trouvez la Clinique de Nancy si c'était a Bab el oued ou en ville merci c'est pour renseigner une amie moi je lui est répondue que Nancy était en Lorraine mrd Monica de là-bas
Le : 27/08/2011 10:23
message pour Christian Timoner. cher Christian hier vendredi 26 j'ai essayé de m'inscrire sur le site du "forum" que je viens de découvrir et qui m'interresse. On me dit que je vais recevoir un mot de passe !! et toujours rien , donc j'ai réitéré mon opération aujourd'hui et on me dit que mes coordonnés sont dejà enregistrés ( bien sure par moi meme puisque j'ai essayé de m'inscrire) c'est donc que je suis déjà enregistrée? mais alors aucune confirmation? et mon mot de passe ? voilà j'aurais aimé savoir ce qu'il se passe . En vous remerciant de bien vouloir répondre . Je vous ai expédié des photos il y a quelques jour(photos d'école et autre) j'aurais aimé savoir si vous les avez reçues car je ne sais pas si j'ai fait les bonnes manipulations je ne suis pas très férue en informatique)merci encore pour ce site.
Le : 27/08/2011 09:54
Bonjour à toutes et à tous. Je recherche toujours Sylvia Benhaïm qui habitait rue Rochambeau, et qui paraît-il, habiterait PERPIGNAN ou sa région. Merci de bien vouloir m'aider à la retrouver.
Le : 26/08/2011 19:31
1 p'tit bonjour a toute la communaute pieds-noirs d'alger ou ailleurs...je suis toujours a la recherche de mon oncle maternel MICHEL,et qui travaillait chez mon grand-pere KADDOUR le disquaire,au 3,rue des moulins beo,magasin RADIO SOLEIL,dans les annees 55-59...a toutes personnes pouvant me donner 1 indice,ou connaitre mon oncle,de m'ecrire....merci.
Le : 26/08/2011 17:27
ai oublié, je m'adresse à Arlette Anastasio, Bld de provence, ai quelques photos de notre enfance... si tu t'en souviens bien entendu
Le : 26/08/2011 17:03
Simplement, elle s'appellait ARlette, nous étions unies et déusies, dù à notre adolescence..... Un petit coucou tout simplement ( messagerie 1 er étage) bat A
Le : 26/08/2011 00:47
a Monique Baldaquino
Je viens de lire votre poeme qui m'a vraiment emu, je me suis revu chez nous avec notre pataette me rappelant quelques expressions tel que il lui a mis une calbotte que le mur lui adonne une deuxieme et aussi concernant les maigres " c'est un stocafitch il passe entre le mur et l'affiche sans la decollee" merci de nos expressions si colorees qui nous met du baume au coeur" voila que je parle comme un Patos. Bon merci en core de ce poeme de la part d'un babelouedien exile en Australie
Le : 25/08/2011 20:59
Suite a piratage d'adresse de méssagerie j'ai été dans l'obligation de creer une nouvelle que j'adresse a tous mes contacts.Salutations a tous mes amis P/N
Le : 25/08/2011 18:23
MONIQUE, comme ton poème est doux à lire,il mérite de ne pas rester
anonyme.Bisous.
anonyme.Bisous.
Le : 25/08/2011 14:45
Voici un joli poème que j'ai reçue alors je partage Monica de là-bas
Entre Saint-Eugène et Alger,
Est le quartier ou je suis né.
Entre Casbah et Carrières Jaubert,
C’est là aussi qu’est né mon père.
Sur la rive gauche d’un ancien oued,
Oui,…. Je suis né à Bab El Oued.
C’était ma foi un beau quartier
Un quartier plein de vie, un quartier animé.
Espagnol, italien, arabe, maltais,
Tous ensemble apprenions le français
C'était la tour de bab-el-oued
Quand on parlait dans notre bled.
Notre français était très pimenté
Il était même très pigmenté
Par les couleurs qu’on lui donnait.
Des couleurs aujourd’hui un peu oubliées.
Etchaffé par une voiture, la honte à la figure
Putain d’sa mère il avait la vie dure.
En bas la mer un jeu tu tapais
Quand tu faisais tchouffa les autres y rigolaient. »
Dans mon quartier on n’utilisait pas de « reloje »
Ce n’était pas la peine il y avait les Trois Horloges
Contre les hauts et les bas
Il y avait la Bassetta
Il y avait « Blanchette » à l’entrée du marché,
Il était très connu il vendait des beignets,
Derrière l’arrêt des trams sur la petite place
Il y avait « l’italien » qui nous vendait ses glaces,
Il y avait Slimane et son épicerie
Il y avait Lassale et sa charcuterie.
Prés du passage souterrain
Il y avait Moati et son commerce cossu
Cela était normal il vendait du tissus.
Il y avait Torrés magasin de chaussures,
Rue Suffren, Devesa, ses boudins à l’oignon,
Le cinéma Bijou qui manquait d’attraction.
La « maison Jaubert » la « cité des moulins »
Avenue de la Bouzareah, rue Sufren, rue Franklin.
Prés de l’usine Bastos, à coté du Plazza,
La boulangerie Amar, la boucherie Khaliffa,
Montiel le charbonnier, Lounés le marchand de légumes
Le bistro des Flechero juste là au coin
L’Armée du salut, et le moutchou du coin
C’est là que j’ai vu le jour,
Alors que mon père péchait au cassour.
Avenue de la Bouzareah, la boulangerie Seralta
La pharmacie Sastre, et puis celle de Kamoun,
Il y avait Henny, le boucher chevalin, Perez le coiffeur,
Otto le confiseur,Spadaro « le voleur »
Borras et Sampaul vous faisaient miroiter
Les glaces que Grosoli fabriquait
Vous parlerais-je des cafés, ou bien de leurs « kemia »
Tout ce qu’ils vous offraient remplaçait un repas.
Carottes au cumin, pommes de terre au persil,
Variantes et tramousses cacahuètes salées, ,
Escargolines, olives….tant qu’on en voulait.
C’était un vrai délire, j’en ai le souvenir.
Quand boire une anisette était un vrai plaisir.
Vous parlerais-je de Raisville, Padovani,
Les Voutes, la Pointe Pescade et les Bains des Familles ?
Le stade Marcel Cerdan ou jouait le S.C.A (la spardenia)
Ou bien des grandes rencontres A.S.SE / Galia
Cela n’est pas la peine vous vous en souvenez aussi
Et pourtant comme moi vous étiez un « petit »
Je me souviens aussi de ce qui c’est passé
Lorsque les Trois Horloges, notre centre d’intérêt
Le 23 mars 62 devint un centre de gravité
Et c’était vraiment grave, ce fut le début de la fin,
Cela je m’en souviens
Je m’en souviens très bien.
Entre Saint-Eugène et Alger,
Est le quartier ou je suis né.
Entre Casbah et Carrières Jaubert,
C’est là aussi qu’est né mon père.
Sur la rive gauche d’un ancien oued,
Oui,…. Je suis né à Bab El Oued.
C’était ma foi un beau quartier
Un quartier plein de vie, un quartier animé.
Espagnol, italien, arabe, maltais,
Tous ensemble apprenions le français
C'était la tour de bab-el-oued
Quand on parlait dans notre bled.
Notre français était très pimenté
Il était même très pigmenté
Par les couleurs qu’on lui donnait.
Des couleurs aujourd’hui un peu oubliées.
Etchaffé par une voiture, la honte à la figure
Putain d’sa mère il avait la vie dure.
En bas la mer un jeu tu tapais
Quand tu faisais tchouffa les autres y rigolaient. »
Dans mon quartier on n’utilisait pas de « reloje »
Ce n’était pas la peine il y avait les Trois Horloges
Contre les hauts et les bas
Il y avait la Bassetta
Il y avait « Blanchette » à l’entrée du marché,
Il était très connu il vendait des beignets,
Derrière l’arrêt des trams sur la petite place
Il y avait « l’italien » qui nous vendait ses glaces,
Il y avait Slimane et son épicerie
Il y avait Lassale et sa charcuterie.
Prés du passage souterrain
Il y avait Moati et son commerce cossu
Cela était normal il vendait du tissus.
Il y avait Torrés magasin de chaussures,
Rue Suffren, Devesa, ses boudins à l’oignon,
Le cinéma Bijou qui manquait d’attraction.
La « maison Jaubert » la « cité des moulins »
Avenue de la Bouzareah, rue Sufren, rue Franklin.
Prés de l’usine Bastos, à coté du Plazza,
La boulangerie Amar, la boucherie Khaliffa,
Montiel le charbonnier, Lounés le marchand de légumes
Le bistro des Flechero juste là au coin
L’Armée du salut, et le moutchou du coin
C’est là que j’ai vu le jour,
Alors que mon père péchait au cassour.
Avenue de la Bouzareah, la boulangerie Seralta
La pharmacie Sastre, et puis celle de Kamoun,
Il y avait Henny, le boucher chevalin, Perez le coiffeur,
Otto le confiseur,Spadaro « le voleur »
Borras et Sampaul vous faisaient miroiter
Les glaces que Grosoli fabriquait
Vous parlerais-je des cafés, ou bien de leurs « kemia »
Tout ce qu’ils vous offraient remplaçait un repas.
Carottes au cumin, pommes de terre au persil,
Variantes et tramousses cacahuètes salées, ,
Escargolines, olives….tant qu’on en voulait.
C’était un vrai délire, j’en ai le souvenir.
Quand boire une anisette était un vrai plaisir.
Vous parlerais-je de Raisville, Padovani,
Les Voutes, la Pointe Pescade et les Bains des Familles ?
Le stade Marcel Cerdan ou jouait le S.C.A (la spardenia)
Ou bien des grandes rencontres A.S.SE / Galia
Cela n’est pas la peine vous vous en souvenez aussi
Et pourtant comme moi vous étiez un « petit »
Je me souviens aussi de ce qui c’est passé
Lorsque les Trois Horloges, notre centre d’intérêt
Le 23 mars 62 devint un centre de gravité
Et c’était vraiment grave, ce fut le début de la fin,
Cela je m’en souviens
Je m’en souviens très bien.