pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

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De : CHRISTOL SERGEEnvoyer un mail

Le : 19/12/2011 18:07

Pour répondre à antoine,je crois me souvenir qu'avec ce morceau de feuillard on fabriqait un sifflet.Encore une plongée dans l'enfance,merci Antoine..

 

De : molines chantalEnvoyer un mail

Le : 19/12/2011 17:14

Pour la recette des gâteaux je pense aussi à ce que ma mére appellée des poilus . Elle en faisait au moment des fêtes . Elle faisait des bâtonnets entre ses mains . Au cas où , je vous donne la recette .
1 citron râpé
2 oeufs entiers
50 grs de beurre fondu
65 grs de sucre en poudre
1 sachet de sucre vanillé
1/2 sachet de levure
1/2 verre à liqueur de rhum
250 grs de farine

Merci de nous tenir au courant à Jean-François ou moi-même .
Gros bisous à Ginette et Christian en espérant qu'ils vont bien .

 

De : Jean FrancoisEnvoyer un mail

Le : 19/12/2011 09:06

Bonjour

Cette recette de petits gateaux frits avec du sucre, je pense à des Bugnes ou Bunols (en espagnol). Ecrivez moi, je vous l'envoie.

 

De : alEnvoyer un mail

Le : 18/12/2011 22:15

qui connait la recette de petits gateaux qui sont frits(couleur fonçée)
soit en batonnets de 10cm env. soit en anneaux et ensuite passés dans du sucre.
Ce ne sont ni des oreillettes ni des rolliettes et il n'y a pas d'anis. gateaux délicieux et recette difficile à retrouver
merci a tous

 

De : pérezEnvoyer un mail

Le : 18/12/2011 18:59

Eh l'ami j'en ai fait quelques uns.de ces sifflets et pas lontemps alors qu'il y avait du matériels adequateBien sûr expliquer par écrit,celàn'est pas pareil(j'ai 76 ans et je m'en rappelle.Bises à tous les enfants de BEO,Henri

 

De : Antoine BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 18/12/2011 15:29

Me baladant dans les travées d’une grande surface de matériaux de construction, je vois, traînant par terre, oublié parce qu’insignifiant et d’aucune valeur cet objet anodin et désormais caduc qui servait à emballer et emprisonner avec une solidité à toute épreuve les énormes ballots de marchandises arrivant par bateaux ou plus près de nous par camions.

Ils faisaient leurs livraisons bruyantes bien avant l’aurore, au marché, notre marché et aussi chez nos moutchous et particulièrement à l’Etoile Blanche – chez Slimane- épicerie jouxtant le café de l’Olympic (angle de l’avenue des Consulats et du boulevard de Provence). Cette vaste épicerie recevait ses montagnes de marchandises venant principalement de Ghardaïa et c’était tout un spectacle qui fascinait nos regards d’enfants.

D’abord, par le fait que le déchargement avait lieu dans une cour rectangulaire en contrebas entourée par nos immeubles et que, pour y accéder, les camions surchargés devaient -sous peine de plus pouvoir en ressortir- y accéder par l’étroite rue des Messageries en marche arrière, ce qui demandait un bon quart d’heure au chauffeur suant sang et eau, saoulé par la chaleur, la fatigue des longs trajets et les clameurs contradictoires d’une dizaine de conseillers ès-man 1/2 uvres.

Ensuite, par le fait que, de notre cour située en rez-de-chaussée, nous étions à la hauteur des livreurs aux yeux atteints par le trachome, souvent porteurs de grosses lunettes de myope et vêtus immuablement de leurs blouses et sarouels traditionnels.

Mais aussi et surtout parce que nous attendions sagement et impatiemment que, après le déchargement de toutes ces marchandises mystérieusement englouties dans cet entrepôt plein à craquer et qui servait aussi d’hébergement à tous ces travailleurs mozabites, parce que nous attendions donc le moment de nous servir de cet objet mis au rebut : le feuillard métallique, long ruban de métal de 1 à 1,5cm de largeur, lien cisaillé libérant et faisant dangereusement enfler ces cartons désormais prêts à s’éclater comme des grenades trop mûres…

Et comme des moineaux attendant leur festin, nous allions au portail de cette cour et attendions que les portefaix nous donnassent (ce subjonctif imparfait - mais qui est parfait aujourd’hui ? - on l’a appris aussi à BEO, oui ! parfaitement ! avec un « d » !) des longueurs de ce machin. Les malchanceux en avaient de trop courts, ou inutilisables parce qu’ils avaient été sertis et impossibles à défaire…..

Cela n’avait d’ailleurs aucune importance car, à défaut de partager, nous nous mettions « en quatre », à deux ou à plusieurs pour réaliser nous-mêmes ce bijou qui allait nous donner un pouvoir, toujours confisqué par les adultes, nos parents, nos maîtres…

De fait, avec les moyens du bord, untel, avec des pinces subrepticement empruntées au père, un autre avec un marteau, la plupart, le plus souvent avec un caillou qui, à notre grand dam, martelait notre 1/2 uvre d’une manière indélébile, nous parvenions enfin à montrer ce dont nous étions capables.

Et c’est ainsi que nous avons été maudits par tous les chauffeurs de taxi et automobilistes qui passaient par là ; maudits et pris à partie par les joueurs de football qui nous dépouillaient de notre bien.

Bien sûr, je ne vous dis pas quel était cet objet mystérieux réalisé seulement par les garçons de l’époque. Grands-pères aujourd’hui, ils chercheront dans leur mémoire et pourront raconter et partager - pourquoi pas pour Noël ?- cette histoire vraie qui s’est passée en Alger, à Babeloued en tout cas, dans d’autres quartiers certainement aussi, il y a 100 non 60/65 ans, hier en somme…..

A celles et à ceux qui auront trouvé le nom de cet objet, je demanderai de me rappeler comment on le réalise, sachant qu’on y ajoutait un….pois chiche et que j’ai gardé ce morceau de feuillard dont Lamartine a pu écrire « Objets inanimés, avez vous donc une âme qui s'attache à notre âme et la force d'aimer ?»

 

De : sevaEnvoyer un mail

Le : 18/12/2011 14:34



joyeux noel a tous et a toutes


enfants de bab el oued


gros bisous.santé et tous le reste!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

 

De : ChristianEnvoyer un mail

Le : 17/12/2011 17:52

Bonsoir Pierre-Claude,
Alors une ride de plus, mais celle là elle s'arrose au champagne.
Au fondateur de l'ABEO, nous te souhaitons un joyeux anniversaire et que l'on puisse se réunir encore longtemps grâce à tous les bénévoles.
Grosses bises à toi et à Christiane.
Ginette et Christian

 

De : CHRISTOL SERGEEnvoyer un mail

Le : 17/12/2011 17:28

Pour répondre à PAULO.
Non,je n'ai pas oublié Mr.BELLAICHE,on l'avait surnommé:TONTON BELLAO.C'était un brave homme et je crois que nous l'avons bien souvent < chahuté<.Mr.DARMON habitait prés de chez moi,au 30 rue Mizon et je me souvient de son chapeau mou gris qu'il portait et qu'il posait toujours au coin gauche de son bureau.A évoquer ces souvenirs,j'ai l'impression de me revoir en classe.
Mr.MENER,notre prof.de maths.phys.chimie(et je crois,sciences nat.?)c'était un prof. d'exception et j'en ai aussi gardé un bon souvenir
Amitiées et à bientot...

 

De : Antoine/ Tony BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 17/12/2011 14:03

En Pologne (Wesołych Świąt)
La veille de Noël, les enfants attendent avec impatience l'apparition de la première étoile dans le ciel : ce moment marque en effet le début du repas et de la fête.
Pour la préparation de la table de Noël, on glisse de la paille sous la nappe pour rappeler que Jésus est né dans une étable. On laisse également toujours une place libre au cas où un invité arriverait.
Selon la tradition, la période de Noël commence le 24 décembre et se termine le 6 janvier, le jour de la fête des Rois. La veille de Noël, des groupes d'enfants déguisés en Rois mages, en diables, en anges et en bergers vont de porte en porte réclamer des pièces de monnaie et des gâteaux.
Pendant cette période, les Polonais aiment se promener en traîneau à travers la campagne toute blanche.
Ils organisent aussi des pique-niques autour de grands feux.

 

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