Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

bonjour
au sujet des 2 photos de l'école de cap matifou de C. Timoner
cette école est celle reconstruite après le tremblement de terre de 1996 ?
car je ne la reconnais pas

cordialement
MAB

je recherche toujours michele de la rue jjrousseau elle venait chez ses grands_parents farese pres de l)epicerie soriano au n.16 si quelqu)un l)a connut! par amitiee.....

Bonjour à toutes et tous,

Mon papa qui habitait rue Riego où se faisait l'anisette Phenix avait un ami qui s'appelait Alain RAYO mais nous n'avons plus de nouvelles de lui alors si quelqu'un parmi vous le connait ou si vous etes en contact avec lui transmettez lui mon message s'il vous plait...

Je continue a le rechercher de toute facon de mon cote...

Mon pere c'est Edmond MEDIONI : dans sa rue il y avait Coco Massari, JeanJean Benayoun, les AKNIN qui venait parfois Jose et Louis...

Bisous à toute la famille de BEO

David

Bonjour à tous.
Quelque peut-il me renseigner si l'école de la Place Lelièvre a été agrandie dans les débuts de son existence. Merci pour l'éventuelle réponse.

En relisant les expressions , certaines me reviennent à l'esprit. Et bien sûr cela me ramène dans Bab el oued de mon enfance.

Pourquoi " La rascasse de tes morts" ?
Debsa veut dire poing
Gouffa ou Kouffa veut dire couffin.
Tchoutch veut dire mouette ?

Je donne ma langue au chat.

Pour Liliane j'ai pu trouvé pour toi dans Bibliothèque des trois Horloges les mots employés dans notre langage bien sur ils ne sont pas de moi ils sont de André Trives

A vos mémoires pour retrouver la parole perdue...
Caboute(entêté), boire une traguette(boire un petit coup)
,colbate(estropié),falampo(hypocrite),tcheklala(paroles en l'air) stougniade(demeuré),fartasse ou calbo(chauve),falso(faux jeton), raplo(petit costaud),taper cao ou faire mancaora(manquer l'école sans raison),taper la mata(surveiller),
cul en popa(grosses fesses),faire les oursins(pêcher les oursins),
faire l'avenue(promener),un taquet ou une botcha ou une calbote(coup de poing), baroufa, debsa(dispute),zoubia(mauvais ou ordures), hafek (tu t'est fait avoir),zaouali( enfant dés 1/2 uvré),tape cinq(joyeuse complicité) ,laouère(problème de vue),bitch laouère(complètement aveugle), bafane(coup de vent),kaouette(rapporteur),avoir un ouaille(avoir un problème) ouffa(fâché),tchoutch(idiot),kilo(ivrogne),gouffa(trou),taper la paille(flirter), y mange pas pour pas chier(radin),slougui(grand et maigre) rébolica(révolution), monter le degré (colère), bomboya(bosse),gangui(grand),mange ta main et garde l'autre pour demain(réponse d'une mère à son enfant qui réclame à manger),talon haut, talon bas(boiteux),un 1/2 il qui mange ,et l'autre qui dit merde ou bien un 1/2 il qui joue au billard et l'autre qui marque les points(yeux qui louchent),aller chez galouffa(fourrière des chiens errants),éyou les cornes( moquerie entre enfants),la banque elle est fermée
( réponse d'une mère à son enfant qui réclame des sous),ayou sioumba( pour se donner du courage en plongeant d'un rocher) glavio(crachat),gazouz(limonade),Bab El Oued--- Bab Azzoun(se disait en suivant des fesses d'une gonzesse se dandinant),maboul ou badjoc ou locco(fou à lier),barakette(fini),bovo ou babao(simple d'esprit) gamate(celui qui échoue ou perd au jeu de quiproquo) taouah(regardes) ,pastéra(barque évasée et larges), avoir le cul comme une pastéra(avoir un gros cul),tchatche(parler sans arrêt),une figue à l’ 1/2 il(facilement),une caille(une fille),bloffer(mentir),flous(argent), spardénia(espadrille) la figua de ta ouélla(insulte),la mort de tes osses(insulte sympathique), la rascasse de tes morts(insulte diffamante),ouallou(rien ou pas du tout),crie doucement( parler calmement), gavatcho(vagabond),zimbrèque(embrouille),faire tchouffa( échouer),khrot (mensonge)khorate (menteur),tchaleff ou fako(sornette),taper une plantcha(plonger sur le ventre),tram (aller et venir),Moutchou(épicier mozabite), t'y es un four a chaux(bon à rien),tchisspoune ou gaziste(buveur invétéré),engatsé(entêté),fahace(voleur), boudjadi de la montagne(sans savoir vivre),jonas (porter la guigne) avoir un l’ 1/2 il et un bras attaché(facilement),cinq dans tes yeux(retourner un sort), zerdi(malin ou vicieux),coulot(pédéraste),taper un jeton(regarder sous les jupes),se taper la cassouélat( faire un bon repas ou faire la fête),sousto(rancune),faire scappa(se sauver),faire des mitchs(partager),mitch-mitch(moitié-moitié).dmagh ( coup de tête) une calbote (coup de poing)

Je recherche pour un ami d'Oran la liste des mots et des expressions de chez nous. J'ai recherché dans la bibliothèque sur plusieurs pages mais je n'ai rien trouvé pourtant il me semble bien avoir vu défiler les mots comme cabolte, tape cinq, etc...
Qui peut m'aider.
Merci d'avance.

pour monique baldachino:
je vois la photo de ta couronne des rois et j'aimerai que tu me donnes le truc pour qu'elle gonfle comme çà , ma mère faisait les mêmes mais elle est partie sans nous donner l'astuce et avec ma soeur monique on a beau essayer tous les ans çà fait" tchoufa" , peut-être que le truc c'est le coup de main comme y'en a qui ont la main verte pour jardiner , enfin si tu peux nous aider on est preneuses

A l'attention de Serge Christol d'abord salut à toi l’ami. Pour répondre à ta question concernant le supporteur du Mouloudia Club d'Alger (M.C.A) qui avait une jambe en bois et qui avait une étal au marché de Bab El Oued, Il s'agit de Mr Chergui qui est décédé. Et si tu te souviens il y avait deux autres supporteurs qui faisaient le spectacle dans Bab El Oued quand le Mouloudia gagnait c'était Dridi qui était handicapé moteur et qui se déplaçait avec un triporteur, il vendait au marché de Bab El Oued des bliblis et des fèves au Kamoun dans des cornés de papier de journal; le deuxième c'est Si-Moh qui avait aussi une jambe en bois, lui il travaillait chez les cigarettes JOB il habité à Bab Ejdid sur la hauteur de la Casbah les trois supporteurs avaient une chose en commun, tous les trois avaient des crécelles. Avec ces instruments à eux seuls ils faisaient un boucan assourdissant du début à la fin de la rencontre et même avant et après le match. cela fait parti des bons souvenirs de Bab El Oued. Voila mon frère je crois que j'ai répondu à ta question porte toi bien

J'ai reçue cette E-Mail je partage



> > > > Entre Saint-Eugène et Alger,
> > > > Est le quartier ou je suis né.
> > > > Entre Casbah et Carrières Jaubert,
> > > > C’est là aussi qu’est né mon père.
> > > > Sur la rive gauche d’un ancien oued,
> > > > Oui,…. Je suis né à Bab El Oued.
> > > >
> > > > C’était ma foi un beau quartier
> > > > Un quartier plein de vie, un quartier animé.
> > > > Espagnol, italien, arabe, maltais,
> > > > Tous ensemble apprenions le français
> > > >
> > > > C'était la tour de bab-el-oued
> > > > Quand on parlait dans notre bled.
> > > > Notre français était très pimenté
> > > > Il était même très pigmenté
> > > > Par les couleurs qu’on lui donnait.
> > > > Des couleurs aujourd’hui un peu oubliées.
> > > >
> > > > Etchaffé par une voiture, la honte à la figure
> > > > Putain d’sa mère il avait la vie dure.
> > > > En bas la mer un jeu tu tapais
> > > > Quand tu faisais tchouffa les autres y rigolaient. »
> > > >
> > > > Dans mon quartier on n’utilisait pas de « reloje »
> > > > Ce n’était pas la peine il y avait les Trois Horloges
> > > > Contre les hauts et les bas
> > > > Il y avait la Bassetta
> > > > Il y avait « Blanchette » à l’entrée du marché,
> > > > Il était très connu il vendait des beignets,
> > > > Derrière l’arrêt des trams sur la petite place
> > > > Il y avait « l’italien » qui nous vendait ses glaces,
> > > > Il y avait Slimane et son épicerie
> > > > Il y avait Lassale et sa charcuterie.
> > > > Prés du passage souterrain
> > > > Il y avait Moati et son commerce cossu
> > > > Cela était normal il vendait du tissus.
> > > > Il y avait Torrés magasin de chaussures,
> > > > Rue Suffren, Devesa, ses boudins à l’oignon,
> > > > Le cinéma Bijou qui manquait d’attraction.
> > > >
> > > > La « maison Jaubert » la « cité des moulins »
> > > > Avenue de la Bouzareah, rue Sufren, rue Franklin.
> > > > Prés de l’usine Bastos, à coté du Plazza,
> > > > La boulangerie Amar, la boucherie Khaliffa,
> > > > Montiel le charbonnier, Lounés le marchand de légumes
> > > > Le bistro des Flechero juste là au coin
> > > > L’Armée du salut, et le moutchou du coin
> > > > C’est là que j’ai vu le jour,
> > > > Alors que mon père péchait au cassour.
> > > >
> > > > Avenue de la Bouzareah, la boulangerie Seralta
> > > > La pharmacie Sastre, et puis celle de Kamoun,
> > > > Il y avait Henny, le boucher chevalin, Perez le coiffeur,
> > > > Otto le confiseur,Spadaro « le voleur »
> > > > Borras et Sampaul vous faisaient miroiter
> > > > Les glaces que Grosoli fabriquait
> > > >
> > > > Vous parlerais-je des cafés, ou bien de leurs « kemia »
> > > > Tout ce qu’ils vous offraient remplaçait un repas.
> > > > Carottes au cumin, pommes de terre au persil,
> > > > Variantes et tramousses cacahuètes salées, ,
> > > > Escargolines, olives….tant qu’on en voulait.
> > > > C’était un vrai délire, j’en ai le souvenir.
> > > > Quand boire une anisette était un vrai plaisir.
> > > >
> > > > Vous parlerais-je de Raisville, Padovani,
> > > > Les Voutes, la Pointe Pescade et les Bains des Familles ?
> > > > Le stade Marcel Cerdan ou jouait le S.C.A (la spardenia)
> > > > Ou bien des grandes rencontres A.S.SE / Galia
> > > > Cela n’est pas la peine vous vous en souvenez aussi
> > > > Et pourtant comme moi vous étiez un « petit »
> > > > Je me souviens aussi de ce qui c’est passé
> > > > Lorsque les Trois Horloges, notre centre d’intérêt
> > > > Le 23 mars 62 devint un centre de gravité
> > > > Et c’était vraiment grave, ce fut le début de la fin,
> > > > Cela je m’en souviens
> > > > Je m’en souviens très bien.