pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : georges 34Envoyer un mail

Le : 28/08/2022 19:52

Sincère condoléance à la famille Astarita
repose en paix Antoine

Cordialement

GEORGES DURA

 

De : Tony BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 28/08/2022 15:48

Je reçois cette triste nouvelle du décès de mon voisin-frère du 8 rue de la consolation à BEO avec lequel j'étais en conversation presque quotidienne et qui nous a quittés après de multiples opérations longues, douloureuses et mutilantes.
À son épouse, enfants, petits-enfants, familles et alliées, je présentes mes condoléances bouleversées.

Repose en paix mon frère.





Bonjour à tous,

C'est avec regret que nous vous annonçons le décès de mon père, survenu ce matin.

Les obsèques auront lieu le 01 septembre 2022 à 10h30 en l'église Saint Genest de Martigues.

Celles et ceux qui le souhaitent pourront se recueillir au Centre funéraire de Martigues, chemin Perrin Reveillat à partir de mardi 30/08 à 8h30 et jusqu'à jeudi matin 10h"

Famille Astarita

 

De : Norbert PovedaEnvoyer un mail

Le : 28/08/2022 14:45

À vous tous mes amis nous venons de perdre un ami un très cher ami Antoine ASTARITA
Les obsèques auront lieu le 01 septembre à 10h30 en l’église St Genest de Martigues
Un ancien de Sigwalt un ouallioune un frère nous quitte. Paix à son âme
Condoléances à sa famille

 

De : grimEnvoyer un mail

Le : 26/08/2022 14:09

On peut trouver à la Bibliothèque nationale du Québec à Montréal un des ouvrages de Hubert Zakine Il était une fois Bab el Oued; une merveille!

 

De : GrimEnvoyer un mail

Le : 24/08/2022 16:06

Merci Poveda pour ton message.Tes mots m'ont fait une énorme joie. Il y a quelques années tu étais souffrant; j'espère que ce n'est plus qu'un mauvais souvenir. Je constate avec un grand plaisir que tu es toujours en relation avec certains de nos condisciples du collège.Je compte beaucoup sur toi pour convaincre mon grand ami Jean-Paul Traniello, de Bainem de se manifester. Dans le passé, tous mes efforts pour le joindre se sont révélés sans succès.
Je suis par contre en relation suivie avec Louis Vitiello. Ce n'est pas un homme ordinaire, plus qu'un ami, sans doute un ange; un être merveilleux digne fils de son père que j'ai un peu connu.
Je te dis ce que j'ai déjà écrit sur ce site il y a maintenant des années vous, les algériens d'origine européenne qui aimez vous appeler pieds-noirs, vous étiez le sel de l'Algérie. L'Algérie a perdu de sa saveur à votre départ.
Beaucoup pensaient que la fuite d'Algérie était le lot des pieds-noirs pour telle ou telle autre raison.
Nous voilà à notre tour, nous algérien d'origine autochtone, poussés à l'exil pour les mêmes raisons que vous. On nous a fait comprendre que l'Algérie n'est pas notre pays mais exclusivement celui des tenants du FLN.
Le pays de mon coeur c'est la France. Mais les lois à un moment donné ne permettaient plus de m'y installer. L'opportunité s'est présentée pour le Canada. J'y suis avec mes enfants depuis 2005 et jusqu'à ma mort je serai reconnaissant à ce vaste pays des Amériques d'avoir recueilli le paria que j'étais sans discontinuité de 1967 à 2005.
Voilà pour cette fois cher Poveda. N'oublie pas ma recommandation pour Traniello.

 

De : GrimEnvoyer un mail

Le : 23/08/2022 18:07

Après un silence de plusieurs années, je renoue avec ce site magnifique. J'ai fréquenté le collège Guillemin entre 1952 et 1959. Grâce à neababeloued j'ai retrouvé avec bonheur mon cher et dévoué ami Louis Vitiello. J'aimerais retrouver d'autres êtres dont je conserve un souvenir ému: Jean-Paul Traniello, Albert Kadouche, Sadeddine Chenennou...

 

De : COLONNA-CESARI danielEnvoyer un mail

Le : 15/08/2022 17:55

Chers amis de bab el oued, je recherche des photos boulevard de Provence bt A 6eme à côté d'Anastasio pour montrer à mes petits enfants ou j'habitais
mERCI PAR AVANCE

 

De : MohamedEnvoyer un mail

Le : 10/08/2022 18:52

Bonjour,
J'ai une photo de classe de 1960 CF 2eme année que je voudrai la partager sur le site.
Merci

 

De : Antoine/Tony BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 09/08/2022 07:04

Hubert Zakine

"BAB EL OUED POUR MEMOIRE" DE HUBERT ZAKINE.

(Il ne faut surtout pas perdre le fil…
BAB EL OUED. Rien tu dis son nom et tu comprends à l'œil nu (et à l'oreille sale) que ce quartier de cent mille âmes, y se trouve pas sur les rives du Mississipi mais près des berges de la seine (ou de Lahcène comme tu veux tu choises! ) BAB EL OUED, il a un nom à coucher dehors les murs de la Cassaubah où le Dey avec sa tête de tchic-tchic à trois faces, y s'entraînait à chasser les mouches à grands coups d'éventail dans le vide.
D'un coup d'éventail sur le nez
Il caressa le Consul
Qui plutôt que de dégainer
Préféra tomber sur le cul.
Mon consul, comme pas un, vexé
Chez sa mère il alla pleurer
Qu’en même temps, c’était sa patrie,
C'est de là qu'on dit "mère-patrie".
*****
Porte de la rivière, mieux çà fait, zarmah! Total ouallou! Pace que l'oued M'kacel, porte ou pas porte, quand ça le démangeait, comme un torrent qui vient tout droit de la montagne (et qui s'enfuit en bondissant parmi les champs ), tout y dévastait sur son passage, alors! Qué porte!
BAB EL OUED c'est un nom arabe. Et alors? Et oilà!
Mais attention, hein! C'est un allemand du nom de Lichtenstein, Dieu seul y sait çà qui foutait là-bas, qu'il a eu l'idée de génie (militaire) de bâtir un quartier sur l'ancien cimetière israélite, la mort de ses ossements.
Contre une soulte, y soudoya le Ministre SOULT pour obtenir le certificat d'urbanisation et en avant nous z'autres, à l'assaut de la carrière JAUBERT et de sa pierre bleue pour une ville bleu-blanc-rouge.
De partout et même d'ailleurs, les gobieux y sont arrivés dans cet eldorado que John WAYNE et Robert MITCHUM, même pas y connaissaient, ces babaos! Des balancelles, j'vous dis pas combien y en avait dans le port d'ALGER qu'elles se balançaient à qui mieux-mieux, comme des demoiselles sur une balançoire.
*****
Avant la conquête, BAB EL OUED c'était la fin du monde. Hors les murs, la place des suppliciés juifs et le cimetière! La vie ou la mort! La fin du monde, j'vous dis! Reusement, heu! Quelques lieues plus loin, les fahs. Des oasis de verdure, ma parole d'honneur, le paradis, le jardin d'Eden. Du cimetière au paradis. Cha!Cha!
Le faubourg BAB EL OUED, qu'une rue il avait. Chiche comme pas un avec tous ses commerçants juifs et maures qui passaient la journée à marchander avec leur clientèle. Un sou c'est un sou dans le souk!
L'ottoman il a ses têtes de turc; le juif y fait bien l'affaire. Et les affaires. Cruel dilemme! Brimé, le juif y rapporte rien à la Régence. Banquier, c'est une affaire en or. Dis moi, dhimmi, combien tu donnes pour ta vie, chaque jeudi soir avant le shabbat? La bourse ou la vie! On joue au tchic-tchic ou au Dey (comme tu veux, tu re-choises). Face, j'te coupe la tête, pile j'coupe la poire en deux. Une moitié pour moi, une moitié pour toi !
*****
Et BAB EL OUED dans tout çà? Y suit son p'tit bonhomme de chemin avec les italiens, les espagnols, les maltais, les mahonnais qui se font suer le burnous, mon ami, comme des profiteurs de colonialistes qui s'en mettent plein les poches trouées, sous le soleil exactement. Le soleil, Kaddour pour les intimes, mieux qu'à ACAPULCO que personne y connait encore pace que Luis MARIANO il est pas né et que sa mère, la pauvre, elle sait même pas que son fils y va devenir la coqueluche de toutes les filles d'ALGERIE. Aille, qu'elles sont jolies les filles de mon pays! Larzèze à sa mère!
*****
Les mauvais garçons y jouent du couteau, mieux que le boucher de la rue de la Lyre qu'elle, non plus, elle existe pas encore. Tout çà pour les beaux yeux d'une belle que, total, elle est bichelaouère qu'elle en peut plus. Seulement oilà, des femmes y'en a pas bezef à se mettre au lit, au lait avec des croissants chauds. Alors, obligé, tous les hommes y se morflent l'oeil pour faire les zigotos. Des morts, j'vous dis pas! Allez, va , j'vous le dis! En veux-tu en voilà. Pas assez, les épidémies, la peste, le choléra!
Reusement, la France elle fait la mata. Mon ami, le premier qui fait le zouave, ni une ni deux, enrôlé chez les zouaves! Tu l'as voulu, tu l'as eu, et vogue la galère jusqu'au pont de l'Alma.
*****
La casbah judéo-arabe, toute en discrétion et en prière, raïben, elle voit ses ruelles éventrées par le génie militaire qu'il en touche pas une en compréhension de la mentalité du pays et de ses habitants. Zarmah, le génie y veut aérer la vue. Qué génie ! Babao ouais !
Total, à perte de vue, la fournaise elle envahit le quartier. Avant, le soleil, y se contentait de brûler les terrasses qu'elles s'affalaient les unes sur les autres, la partouze, j’vous dis pas ! Maint’nant, la s’rannah, j’vous dis pas non plus !

 

De : Elias YalaEnvoyer un mail

Le : 08/08/2022 17:55

Sincères condoléances.
Paix à son âme.
Que la terre lui soit légère.

 

Envoyez un message