Liste des messages
Le : 14/07/2013 12:11
Merci à Antoine/Tony Billotta pour toutes ces significations , une vraie encyclopédie à vous deux ne ferait pas mieux . Il y a beaucoup de choses que je ne savait pas . Bravo et continuer vos beaux récits .
Je vous souhaite une excellente journée du 14 Juillet et je fait de grosses bises à mon ami Mustapha , sans oublié nos weebmasters Ginette et Christian bien sûr sans qui comme le dit si bien Antoine nous n'aurions pu nous retrouver et parler de notre cher Pays .
Je vous souhaite une excellente journée du 14 Juillet et je fait de grosses bises à mon ami Mustapha , sans oublié nos weebmasters Ginette et Christian bien sûr sans qui comme le dit si bien Antoine nous n'aurions pu nous retrouver et parler de notre cher Pays .
Le : 13/07/2013 19:08
Pour toutes celles et ceux qui me remercient et m'encouragent et les ami-e-s de ce site sans lequel on se sentirait orphelin-e.
Signification et origine du drapeau tricolore français et de ses couleurs
Le drapeau tricolore bleu-blanc-rouge est l’emblème de la France, ou plus exactement de la République française.
Il est composé de 3 bandes verticales de largeurs égales. Il est de proportion 2:3.
C’est le pavillon officiel de la France depuis 1794, et le drapeau officiel depuis 1812.
Il y a plusieurs significations possibles aux couleurs du drapeau.
Issu de la Révolution, il fut choisi par référence à la cocarde qu'arbora la garde nationale en 1789. Le drapeau date de 1794 et fut dessiné par Jacques-Louis David (1748-1825) sur ordre de la Convention.
Le bleu est la couleur de la ville de Paris, capitale de la France.
Le blanc est la couleur traditionnellement associée à la monarchie française
Le rouge est la couleur du sang versé pour libérer le peuple.
Mais le rouge, comme le bleu, peut-être considéré comme les couleurs de Paris. Ainsi, le roi est encerclé par Paris.
Telle est du moins la version officielle.
En fait, ces trois couleurs ont également eu d'autres valeurs symboliques dans l'histoire de France :
- le bleu était la couleur de la cape de Saint-Martin,
- le blanc est traditionnellement associé à Jeanne d'Arc,
- le rouge fut l'étendard impérial de Charlemagne et l'oriflamme de Saint-Denis.
Signification et origine du drapeau tricolore français et de ses couleurs
Le drapeau tricolore bleu-blanc-rouge est l’emblème de la France, ou plus exactement de la République française.
Il est composé de 3 bandes verticales de largeurs égales. Il est de proportion 2:3.
C’est le pavillon officiel de la France depuis 1794, et le drapeau officiel depuis 1812.
Il y a plusieurs significations possibles aux couleurs du drapeau.
Issu de la Révolution, il fut choisi par référence à la cocarde qu'arbora la garde nationale en 1789. Le drapeau date de 1794 et fut dessiné par Jacques-Louis David (1748-1825) sur ordre de la Convention.
Le bleu est la couleur de la ville de Paris, capitale de la France.
Le blanc est la couleur traditionnellement associée à la monarchie française
Le rouge est la couleur du sang versé pour libérer le peuple.
Mais le rouge, comme le bleu, peut-être considéré comme les couleurs de Paris. Ainsi, le roi est encerclé par Paris.
Telle est du moins la version officielle.
En fait, ces trois couleurs ont également eu d'autres valeurs symboliques dans l'histoire de France :
- le bleu était la couleur de la cape de Saint-Martin,
- le blanc est traditionnellement associé à Jeanne d'Arc,
- le rouge fut l'étendard impérial de Charlemagne et l'oriflamme de Saint-Denis.
Le : 12/07/2013 18:32
1880 : le 14 juillet devient fête nationale
Pendant près d'un siècle, la commémoration du 14 juillet est abandonnée. Elle réapparaît en 1880, sous la IIIe République.
Le régime, pour se consolider, cherche à construire un nouvel imaginaire national, autour de symboles républicains.
C'est ainsi que la Marseillaise devient hymne officiel et le 14 juillet fête nationale. Mais la proposition qui émane du député de la Seine Benjamin Raspail n'est pas accueillie unanimement par l'Assemblée. Certains députés mettent en cause la violence du 14 juillet 1789.
Et c'est finalement autour du 14 juillet 1790 que se fait le consensus.
En 1880, pour la première fête nationale, la République fait les choses en grand. Le ministre de l'Intérieur prescrit aux préfets de veiller à ce que cette journée "soit célébrée avec autant d'éclat que le comportent les ressources locales". Un défilé militaire est organisé sur l'hippodrome de Longchamp devant 300 000 spectateurs, en présence du Président Jules Grévy. Il s'agit de montrer le redressement de l'armée française après la défaite contre la Prusse en 1870. Ce défilé militaire, toujours en vigueur, s'inspire aussi du défilé des gardes fédérés de 1790.
Cette année là, on inaugure également le monument surmonté de la statue de la place de la République, et partout sont donnés concerts et feux d'artifices.
"La colonne de Juillet" qui surplombe la place de la Bastille, elle, ne se réfère pas au 14 juillet 1789. Elle porte le nom des victimes des journées révolutionnaire de juillet 1830, les "Trois glorieuses".
De 1880 à nos jours
En 1886 : une femme, cantinière du 131e régiment d'infanterie, défile pour la première fois.
En 1915 : le défilé militaire se déplace du Champs-de-Mars aux Champs-Élysées.
En 1919 : c'est le défilé de la victoire qui réunit, sur les Champs-Élysées, les forces des pays alliés.
En 1936 : après le défilé militaire, un million de personnes défile à l'appel des organisations syndicales.
De 1939 à 1945 : dans le Paris occupé, la journée n'est pas célébrée. Le 14 juillet 1940, à Londres, le général de Gaulle réitère ses appels à la résistance.
En juillet 1945, on célèbre la Libération partout en France.
Pendant près d'un siècle, la commémoration du 14 juillet est abandonnée. Elle réapparaît en 1880, sous la IIIe République.
Le régime, pour se consolider, cherche à construire un nouvel imaginaire national, autour de symboles républicains.
C'est ainsi que la Marseillaise devient hymne officiel et le 14 juillet fête nationale. Mais la proposition qui émane du député de la Seine Benjamin Raspail n'est pas accueillie unanimement par l'Assemblée. Certains députés mettent en cause la violence du 14 juillet 1789.
Et c'est finalement autour du 14 juillet 1790 que se fait le consensus.
En 1880, pour la première fête nationale, la République fait les choses en grand. Le ministre de l'Intérieur prescrit aux préfets de veiller à ce que cette journée "soit célébrée avec autant d'éclat que le comportent les ressources locales". Un défilé militaire est organisé sur l'hippodrome de Longchamp devant 300 000 spectateurs, en présence du Président Jules Grévy. Il s'agit de montrer le redressement de l'armée française après la défaite contre la Prusse en 1870. Ce défilé militaire, toujours en vigueur, s'inspire aussi du défilé des gardes fédérés de 1790.
Cette année là, on inaugure également le monument surmonté de la statue de la place de la République, et partout sont donnés concerts et feux d'artifices.
"La colonne de Juillet" qui surplombe la place de la Bastille, elle, ne se réfère pas au 14 juillet 1789. Elle porte le nom des victimes des journées révolutionnaire de juillet 1830, les "Trois glorieuses".
De 1880 à nos jours
En 1886 : une femme, cantinière du 131e régiment d'infanterie, défile pour la première fois.
En 1915 : le défilé militaire se déplace du Champs-de-Mars aux Champs-Élysées.
En 1919 : c'est le défilé de la victoire qui réunit, sur les Champs-Élysées, les forces des pays alliés.
En 1936 : après le défilé militaire, un million de personnes défile à l'appel des organisations syndicales.
De 1939 à 1945 : dans le Paris occupé, la journée n'est pas célébrée. Le 14 juillet 1940, à Londres, le général de Gaulle réitère ses appels à la résistance.
En juillet 1945, on célèbre la Libération partout en France.
Le : 12/07/2013 18:29
Le 14 juillet 1790 : fête de la Fédération
Depuis l'été 1789, partout dans les provinces françaises, se sont créées des "fédérations" régionales de gardes nationaux. Une réaction à l'affaiblissement du pouvoir central.
Afin de contrôler ce mouvement spontané, la Commune de Paris, sous l'impulsion de Lafayette, décide de fonder une grande Fédération nationale regroupant des représentants des fédérations locales et de les réunir à Paris le 14 juillet. La cérémonie est censée célébrer la prise de la Bastille, mais aussi apporter un semblant d'ordre et d'unité dans un pays en crise. Le jour dit, 14 000 soldats fédérés arrivent donc à Paris et défilent sous la bannière de leur département, de la Bastille jusqu'au Champ-de-Mars.
Sur une esplanade aménagée pour l'occasion, une grande messe est célébrée, à la suite de quoi le roi Louis XVI jure de maintenir "la Constitution décidée par l'Assemblée nationale".
Les 400 000 Parisiens présents ce jour-là acclament leur souverain : la monarchie n'est donc pas remise en cause. L'aspiration à l'union nationale triomphe et la cérémonie se transforme en grande fête populaire. Mais la réconciliation nationale sera de courte durée. Deux ans plus tard, le roi est arrêté et condamné à mort.
Depuis l'été 1789, partout dans les provinces françaises, se sont créées des "fédérations" régionales de gardes nationaux. Une réaction à l'affaiblissement du pouvoir central.
Afin de contrôler ce mouvement spontané, la Commune de Paris, sous l'impulsion de Lafayette, décide de fonder une grande Fédération nationale regroupant des représentants des fédérations locales et de les réunir à Paris le 14 juillet. La cérémonie est censée célébrer la prise de la Bastille, mais aussi apporter un semblant d'ordre et d'unité dans un pays en crise. Le jour dit, 14 000 soldats fédérés arrivent donc à Paris et défilent sous la bannière de leur département, de la Bastille jusqu'au Champ-de-Mars.
Sur une esplanade aménagée pour l'occasion, une grande messe est célébrée, à la suite de quoi le roi Louis XVI jure de maintenir "la Constitution décidée par l'Assemblée nationale".
Les 400 000 Parisiens présents ce jour-là acclament leur souverain : la monarchie n'est donc pas remise en cause. L'aspiration à l'union nationale triomphe et la cérémonie se transforme en grande fête populaire. Mais la réconciliation nationale sera de courte durée. Deux ans plus tard, le roi est arrêté et condamné à mort.
Le : 12/07/2013 18:27
Pourquoi le 14 juillet est-il fête nationale ?
Fête nationale depuis 1880, le 14 juillet commémore la prise de la Bastille de 1789, mais aussi un événement moins connu : la fête de la Fédération de 1790.
Le 14 juillet 1789 : la prise de la Bastille
La fête nationale commémore d'abord le 14 juillet 1789, première journée révolutionnaire à portée symbolique. Cet été là, une grande agitation règne à Paris. Face au mécontentement populaire, le roi a réuni les États généraux, une assemblée des représentants de la noblesse, du clergé et du tiers-état. Ces derniers demandent une réforme profonde des institutions et, le 9 juillet, se proclament Assemblée nationale constituante.
L'initiative inquiète le roi qui fait venir en secret des régiments suisses et allemands à proximité de Versailles. La rumeur court bientôt que les troupes royales se préparent à entrer dans Paris pour arrêter les députés. Le 12 juillet, un orateur harangue la foule qu'il appelle à réagir : c'est Camille Desmoulins, monté sur un tonneau, qui annonce une "Saint Barthélemy des patriotes".
Au matin du 14 juillet, des Parisiens en colère vont chercher des armes aux Invalides, puis se dirigent vers la vieille forteresse royale de la Bastille, en quête de poudre.
Après une journée de fusillade sanglante, et grâce au ralliement de gardes nationaux, les Parisiens s'en emparent et entament sa démolition. Au final, ils ne libèrent que quelques prisonniers et malfrats sans envergure. Mais cette vieille prison médiévale incarne l'arbitraire de l'Ancien régime. En l'abattant, les Parisiens font tomber un rempart de l'absolutisme. Et cette journée, qui marque le début de la Révolution, restera dans les mémoires comme un jour de liberté.
Cependant la fête nationale fait aussi référence à une autre événement moins connu : la fête de la Fédération du 14 juillet 1790.
Fête nationale depuis 1880, le 14 juillet commémore la prise de la Bastille de 1789, mais aussi un événement moins connu : la fête de la Fédération de 1790.
Le 14 juillet 1789 : la prise de la Bastille
La fête nationale commémore d'abord le 14 juillet 1789, première journée révolutionnaire à portée symbolique. Cet été là, une grande agitation règne à Paris. Face au mécontentement populaire, le roi a réuni les États généraux, une assemblée des représentants de la noblesse, du clergé et du tiers-état. Ces derniers demandent une réforme profonde des institutions et, le 9 juillet, se proclament Assemblée nationale constituante.
L'initiative inquiète le roi qui fait venir en secret des régiments suisses et allemands à proximité de Versailles. La rumeur court bientôt que les troupes royales se préparent à entrer dans Paris pour arrêter les députés. Le 12 juillet, un orateur harangue la foule qu'il appelle à réagir : c'est Camille Desmoulins, monté sur un tonneau, qui annonce une "Saint Barthélemy des patriotes".
Au matin du 14 juillet, des Parisiens en colère vont chercher des armes aux Invalides, puis se dirigent vers la vieille forteresse royale de la Bastille, en quête de poudre.
Après une journée de fusillade sanglante, et grâce au ralliement de gardes nationaux, les Parisiens s'en emparent et entament sa démolition. Au final, ils ne libèrent que quelques prisonniers et malfrats sans envergure. Mais cette vieille prison médiévale incarne l'arbitraire de l'Ancien régime. En l'abattant, les Parisiens font tomber un rempart de l'absolutisme. Et cette journée, qui marque le début de la Révolution, restera dans les mémoires comme un jour de liberté.
Cependant la fête nationale fait aussi référence à une autre événement moins connu : la fête de la Fédération du 14 juillet 1790.
Le : 12/07/2013 00:33
Un bonjour à tous les amis du site et mes voeux de bon ramadán pour ceux de religión musulmane.
Le : 11/07/2013 16:29
BONJOUR A VOUS TOUS
A MON TOUR,JE VIENT SOUHAITER UN BON RAMADAN A VOUS TOUS ,DE CONFESSION MUSULMANE.LE BONHEUR ET LA JOIE DE VOUS RETROUVER CHAQUE SOIR EN FAMILLE.
JE VIENS VOUS SOUHAITEZ A VOUS TOUS ,DE PASSER D'AGRÉABLE VACANCES,MAINTENANT QUE L'ÉTÉ EST ARRIVÉ.
JE VAIS DE CE PAS,VOIR LES NOUVELLES RECETTES DE MONICA DE LA BAS!!!!
BISES A VOUS TOUS ET BON 14 JUILLET.ROSETTE.
A MON TOUR,JE VIENT SOUHAITER UN BON RAMADAN A VOUS TOUS ,DE CONFESSION MUSULMANE.LE BONHEUR ET LA JOIE DE VOUS RETROUVER CHAQUE SOIR EN FAMILLE.
JE VIENS VOUS SOUHAITEZ A VOUS TOUS ,DE PASSER D'AGRÉABLE VACANCES,MAINTENANT QUE L'ÉTÉ EST ARRIVÉ.
JE VAIS DE CE PAS,VOIR LES NOUVELLES RECETTES DE MONICA DE LA BAS!!!!
BISES A VOUS TOUS ET BON 14 JUILLET.ROSETTE.
Le : 11/07/2013 01:20
Bonsoir et merci à tous ceux qui m'ont souhaité un bon ramadan à travers leurs nombreux messages j'ai été très sensible par le nombre de messages et par toute vos marques de sympathie, tous les jours quand je vais sur ma boite ce n'est que du bonheur pour moi d'avoir de vos nouvelles et je suis fière de vous compter parmi tous mes amis(es). Je remercie aussi nos amis André Trives et Tony Billota pour tous leurs écrits. Amitié à tous et merci encore
Le : 10/07/2013 16:47
Bien le bonjour les amis, merci pour voeux, "Bon ramadhan aux amis de confession musulmane".
Merci Mr Billota, Mr Trives pour vos récits.
Amitiés, Sellam de là bas mais en Suède
Merci Mr Billota, Mr Trives pour vos récits.
Amitiés, Sellam de là bas mais en Suède
Le : 09/07/2013 13:47
Les 6 jeûnes obligatoires de l’année juive
Le calendrier connaît six jeûnes obligatoires :
le premier, ordonné par la Torah, c'est Kippour ;
quatre jeûnes ont été institués par les prophètes, à l'époque de la destruction du premier Temple ;
enfin le sixième a été institué à une époque plus récente, probablement celle des Gaonim, il est donc d'ordre rabbinique.
Ont été institués par les prophètes : le jeûne de Guédalya, le 10 Tévet, le 17 Tamouz et le 9 Av. Enfin le jeûne d'Esther ordonné à l'époque des Gaonim, a été fixé le 13 Adar, la veille de Pourim.
Les 4 jeûnes ordonnés par les derniers prophètes, doivent rappeler les malheurs qui ont frappé Israël, et dont le point culminant a été la destruction du Temple et la dispersion au milieu des nations, dans tous les pays du monde.
Ainsi nous lisons dans Zacharie (8, 19) : « Le jeûne du quatrième mois et le jeûne du cinquième, le jeûne du septième et le jeûne du dixième mois seront changés pour la maison d'Israël en jours de joie… ».
Le jeûne du quatrième mois, c'est le 17 Tamouz où fut prise d'assaut la ville de Jérusalem par les Romains (la prise de la ville par l'armée de Nabuchodonosor eut lieu le 9 du même mois.
Pour plus d'informations et de précisions, aller sur WIKIPEDIA.
Le calendrier connaît six jeûnes obligatoires :
le premier, ordonné par la Torah, c'est Kippour ;
quatre jeûnes ont été institués par les prophètes, à l'époque de la destruction du premier Temple ;
enfin le sixième a été institué à une époque plus récente, probablement celle des Gaonim, il est donc d'ordre rabbinique.
Ont été institués par les prophètes : le jeûne de Guédalya, le 10 Tévet, le 17 Tamouz et le 9 Av. Enfin le jeûne d'Esther ordonné à l'époque des Gaonim, a été fixé le 13 Adar, la veille de Pourim.
Les 4 jeûnes ordonnés par les derniers prophètes, doivent rappeler les malheurs qui ont frappé Israël, et dont le point culminant a été la destruction du Temple et la dispersion au milieu des nations, dans tous les pays du monde.
Ainsi nous lisons dans Zacharie (8, 19) : « Le jeûne du quatrième mois et le jeûne du cinquième, le jeûne du septième et le jeûne du dixième mois seront changés pour la maison d'Israël en jours de joie… ».
Le jeûne du quatrième mois, c'est le 17 Tamouz où fut prise d'assaut la ville de Jérusalem par les Romains (la prise de la ville par l'armée de Nabuchodonosor eut lieu le 9 du même mois.
Pour plus d'informations et de précisions, aller sur WIKIPEDIA.