pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : quattrocchiEnvoyer un mail

Le : 07/10/2013 11:18

moi je suis Georgio j habiter au 20 rue Nelson Chirico bab-el- oued
salutations a tous les pieds noirs

 

De : BENSIMON MichelEnvoyer un mail

Le : 06/10/2013 10:57

Je recherche un ami,AKIM BENATTIA qui devait habiter Maison carree
nous etions ensemble eleves en classe de violon au conservatoire
d'Alger dans les annees 1955 a 1962.
Merci a tous ceux qui pourront me renseigner.

 

De : Joce MontielEnvoyer un mail

Le : 04/10/2013 19:24

Pour Manuel
Oui effectivement, nous habitions avec ma s 1/2 ur et maman (96ans)
depuis le mois d'Aout; au rez de chaussée rue Nelson Chierico,
mais ou je suis encore plus d'accord c'est que les deux filles en questions étaient ravissantes !!!!!!!!!
en toute modestie ah! ah! ah!
Lol MDR.

Au passage un petit compliment fait du bien à notre EGO.
Mais tout cela bien sur reste une boutade de ma part.
Amitiés
Joce

 

De : Piccerelle PierreEnvoyer un mail

Le : 04/10/2013 17:37

Bonjour a vous tous ,moi j'habitais aux 3rue Nelson chiérico amitiés .

 

De : manuelEnvoyer un mail

Le : 04/10/2013 15:48

A Norbert Vicente . Salut, le Norbert que je cite s'appelait Montagut et il nous à quitté voilà quelques années. Il habitait la maison mari au 1 de la rue camille douls.Moi j'habitais la rue Nobel .Mon épouse ,une fille CLEMENT vivait à ton adresse .Tu as du la connaitre .

 

De : kahina Envoyer un mail

Le : 04/10/2013 15:45

Bonjour,
Je suis une jeune maman de 4 enfants, on essaye tant bien que mal de nous en sortir avec la cherté de la vie ici en Algérie en vain, je travail contre une somme dérisoire qui subvient à peine aux besoins de mes enfants, je suis actuellement moi et mon mari surendetté, mon mari travaillai dans le temps dans le secteur publique avant qu’il ne soit suspendu pour une simple histoire de transport de boisson alcoolisé, on vie maintenant dans une situation difficile, mais le comble c’est l’habitation qui nous abrite, elle est vraiment inadaptée puisqu’elle est sans toiture –vous pouvez venir constater si vous avez du personnel en algerie ou je vous envois des photos, on souffre surtout en periode d’hiver surtout que la Kabylie là ou j’habite est connue pour son climat froid et aussi par les neiges, on a déposer plusieurs dossiers mais sans suite, ce qu’on demande c une petite subvention pour qu’on puisse construire une muraille et une toiture
Merci

 

De : Norbert VICENTEEnvoyer un mail

Le : 04/10/2013 11:59

Salut Manuel,

Qui es-tu, dans ton message tu cite un Norbert, je ne pense pas qu'il y en ait eu beaucoup à Beo, est ce que c'est moi.
J'habitais 2 rue Nelson chierico.

 

De : manuelEnvoyer un mail

Le : 03/10/2013 20:16

à joce Montiel.Bonjour et merci pour vôtre commentaire .J'habitais au 1 de la rue Nobel et je garde le souvenir qu'aprés le dernier escalier de ma rue , à l'angle de la rue nelson Chérico vivait au r-d-c une famille Montiel avec deux filles ravissantes .Seriez vous l'une d'elles ?

 

De : CherifEnvoyer un mail

Le : 03/10/2013 19:09

Merci Manuel de nous avoir transporté dans le temps et dans l'espace. Je garde une mémoire vive de l'épicerie de madame Nivard. je revois l'image de la vieille dame et de sa fille blonde avec une forte corpulence. Les tonneaux de poissons étaient en fait de la morue salée et séchée. Chez madame Nivard, nous pouvions tout acheter presque tout en vrac et en petites quantités: un demi litre d'huile, 2 ou 3 oeufs... Les produits conditionnés dans des emballages étaient trop chers (ou jugés comme tels). Nous transportions nos provisions dans nos paniers les sachets en matière plastique n'avaient pas encore fait leur apparition.
Plus haut que le commerce de madame Nivard, il y a avait un marchand de vins et liqueurs géré par un sympathique couple parlant un Français avec un fort accent espagnol. Leur fils, Jean Claude fut de mes amis. je te salue Jean Claude.
Plus haut encore, se tenait l'épicerie des Moutchous (mozabits). Elle était très achalandée, elle aussi.
Plus haut encore, à l'angle du boulevard de Champagne et de la rue Francois Serrano, il y avait un horloger, ce me semble.
Il est un autre personnage du quartier que je voudrais citer. Il s'appelle, je crois, Robert. C'était lui qui collait les affiches des films qui devaient être projetés au Rialto.

 

De : etienne BlancEnvoyer un mail

Le : 03/10/2013 15:17

Salut a tous,merci Manu,pour nous avoir fait revivre quelques instants notre quartier,ne pas oublier les sorties a la caramoussa,souvenirs....Bonne journnée a tous

 

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