pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : aksasEnvoyer un mail

Le : 17/01/2014 15:19

bonjour a vous voila moi j'ai étais a lecole franklin a bab el oued je suis née en 1963 je me souvien pas de l'année exctement sa doi etre entre 1968 et 1970 je me souvien de mon professeur mR bouras et j'aimerais trouvais une photot de classe avec les éleve que jaimerais bien les voir svp aide merci j'abite en belgique et mére d'une fillette de 10 ans j'attend votre réponsse avec patience merci a vous

 

De : Blanc AlainEnvoyer un mail

Le : 17/01/2014 14:08

Bonjour MERZAK.

En lisant ton poème, tu nous fais voyager dans le temps, et ce temps-là c'est la nostalgie. C'est à chaque fois qu'on lit un texte comme le tien que l'on ressent au fond de notre poitrine cette pression qui nous enserre et que l'on appelle le regret...

Merci MERZAK

 

De : fernand d'AbbundoEnvoyer un mail

Le : 17/01/2014 12:24

Merci a MERZAC, pour ce magnifique poème consacré à notre si beau pays, André ta réponse est dans le coeur de tous les Algérois merci

 

De : ABEOEnvoyer un mail

Le : 17/01/2014 11:50

Infos BAB EL OUED

La Cité des Rapatriés en partenariat avec l,ABEO vous invite à une conférence le lundi 27 janvier 2014 à 10 h 30, conférence animée par Jean Pierre GARGIULO, Président Fondateur de l'ABEO, sur le thème

"L'HISTOIRE DES JUIFS EN TUNISIE"

Cette conférence sera suivi d'un apéritif.
je vous remercie de votre présence.

Le Président
René SANCCHEZ

CITE DES RAPATRIES 496 RUE PARADIS 13008 MARSEILLE

 

De : André TRIVESEnvoyer un mail

Le : 17/01/2014 09:52

Mon cher Merzak,

Ton magnifique poème décrit la peine ressentie entre toi et Alger. Ta nostalgie, c'est la mienne. Ta douleur est équivalente à la mienne. Tes regrets sur notre Alger de l'époque sont les miens. Nous souffrons ensemble depuis 1962 et certainement nous garderons cette déchirure jusqu'à notre dernier souffle. Pour toutes ces raisons, j'affirme que toi et moi faisons partie d'une seule et même famille. Toi le musulman et moi le chrétien nous sommes Frères à jamais...Ensemble, avec nos Frères juifs, nous formions dans notre Bab el Oued d'alors, un peuple fraternel unique. La guerre, salope de guerre, est venue tout détruire...

 

De : BOURNOT claudeEnvoyer un mail

Le : 17/01/2014 06:43

aLABOULBENE JEAN MARC je me souvient tres bien surtout de hector avec sa superbe moustache.j'aimerai bien voir ses photos.moi c'est coco spinosa qui ma fait embauche ..je vai tous les ans a Rognes j'habite pres de marseille les pennes mirabeau..claudebournot@hotmail.fr mon tel.0770559303.a tres bientot claude

 

De : sanchisEnvoyer un mail

Le : 16/01/2014 18:20

Avant d'écrire mon message, je souhaite à tous le monde mes meilleurs voeux pour 2014.
A l'attention de Michéle MONTSERRAT qui a connu la famille SANCHIS au 120 av de la bouzaréah. Possible d'entrer en contact avec moi par adresse sanchis.raymond@neuf.fr. Au plaisir de te lire.

 

De : Jacqueline RiquelmeEnvoyer un mail

Le : 16/01/2014 16:55

Merzak, votre poême est magnifique! merci de penser à nous tous, qui malgré le temps et la distance, continuons à tant aimer, notre ville, Alger, si belle et majestueuse.

 

De : vincent lacommareEnvoyer un mail

Le : 16/01/2014 16:37

bonjour
annie ferret
vos parent etaient amis avec mes oncles espi de notre dame d'afrique
je suis sur colomiers
mes amitiés a vous et a votre maman
vincent

 

De : Merzak OUABEDEnvoyer un mail

Le : 16/01/2014 14:13


QUI DE NOUS DEUX A PU CHANGER
Qui de nous deux a pu changer
N’est plus le même, n’est plus constant
Est-ce bien moi ou toi Alger
Toi que j’adore, et qu’j’aime tant

Je n’ai que toi, et ton soleil
Qui me réchauffe, sans me brûler
Et qui m’invite dès ton éveil
D’aller vers toi, déambuler

Je n’ai que toi, et ta mer bleue
Que je contemple sans me lasser
Même si dehors, il vente ou pleut
Je plonge au loin, dans ton passé

Dans tes boulevards et avenues
Tes belles terrasses, ont disparues
Que je me sens, un inconnu
Un débarqué et un intrus

Ni novelty, ni coq hardi
Ni le névé, ni d’autres encore
Ni les coquettes, ou les dandys
Qui s’pavanaient, dans ton décor

Où sont les modes vestimentaires
Qu’aux lendemains on adoptées
Qu’elles viennent de France ou d’Angleterre
Les algérois, vite les portaient

Mini, maxi, et le poncho
Taille basse, taille haute, patte d’éléphant
Deux pièces en plage, dès qu’il fait chaud
Et le jacquard pour les enfants

Où est la belle et la souriante
Que j’ai connue dans ma jeunesse
La chaleureuse et l’accueillante
Qui envoûtait jusqu’à l’ivresse

Où est l’ambiance des nuits d’été
Que tu offrais à tout moment
Comme ces galas de variétés
Dont on était, jadis gourmands

Pourquoi tes rues sont désertées
Juste à l’orée du crépuscule
Pourquoi l’on brime les libertés
Au lieu d ‘avancer, l’on recule

Qui rase tes murs, en étranger
Mais doit tenir, faut pas qu’il flanche
Qui se sent seul, et en danger
C’est moi ou toi, Alger la blanche

Qui te contraint et qui t’accule
A tout fermer, rideaux et portes
Plus rien ne bouge, rien ne circule
Devenant ainsi, une ville morte

Dis-moi pourquoi les étrangers
Ont tous quitté le territoire
Pourquoi, la peur et le danger
Pourquoi le deuil, pourquoi le noir

Ne pouvant pas t’abandonner
Je suis resté à tes côtés
Car je ne peux me pardonner
De te voir seule grelotter

Tu sais très bien ma belle cité
Que J’t’aime trop pour changer d’air
Mais j’aime autant la liberté
Et surtout celles auxquelles j’adhère

Tu es morose, n’est plus la même
Et tes enfants veulent te quitter
Mais malgré tout, tu sais qu’ils t’aiment
Tu es la leur et leur fierté

Je sais que tu as tant résisté
Comme toujours, et en tout temps
Je sais aussi qu’en vérité
S’en va l’hiver, vient le printemps

Alors dis moi qui a changé
N’est plus le même, n’est plus constant
Est-ce bien moi ou toi Alger
Toi que j’adore, et qu’j’aime tant

Merzak OUABED Alger, le 20 février 1998
Ce poème est dédié à vous et à votre site et à tous ceux qui sont nés à Alger, qu'ils ont quitté involontairement, et qu'ils continuent à aimer malgré tout.

 

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