pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : samper marilyneEnvoyer un mail

Le : 18/02/2014 16:07

Bonjour Henri
c'est moi qui recherche de la famille MOLINES

voici mon adresse mail : f.marilou56@yahoo.fr
amicalement

 

De : Perez Envoyer un mail

Le : 18/02/2014 11:45

A la personne qui recherche la famille Molines,j'ai l'adresse de unde de ces cousin qui est de sa famille'il me faut votre adresse car je ne puis puis ouvrir l'enveloppe(probleme?)amitiées Henri

 

De : samper marilyneEnvoyer un mail

Le : 18/02/2014 11:34

bonjour a tous et toutes

qui aurait connu a famille MOLINES qui habitait 50 rue camille douls ???

 

De : lacommareEnvoyer un mail

Le : 18/02/2014 09:11

a stephane roux
bonjour
je suis le neveu de josé et fernand ESPI qui connaissais vos oncles au basket U S M P
voici mon e-mail vincent.lacommare@free.fr
pour que je vous donne mon tel
amitiés vincent

 

De : PérezEnvoyer un mail

Le : 17/02/2014 18:25

Je demnde à Cette dame qui demande des nouvelles des Matas de m'écrire via mon adresse,je n'arrive pas à ouvrir l'enveloppe,j'ai des renseignements possibles la concernant,amitiées Henri

 

De : ROUX Stéphane (descendant de la famille FROHLICH)Envoyer un mail

Le : 17/02/2014 15:11

Bonjour à toutes et tous,
Je lis régulièrement vos message et j'en fais le résumé à ma mère, cela lui rappelle beaucoup de souvenirs et ne serait-ce que pour cela, je vous en remercie.
J'ai donc parlé des différents clubs de foot cités dans vos articles, et elle m'a demandé s'il restait encore des personnes l'ayant connue elle FROHLICH (Hélène) et ses frères (Jean "Jeannot" et René) au club de basket de l'USMP dans les années 50-51 ? Mes oncles y ont connu pas mal de monde et je crois rencontré celles qui deviendraient leurs épouses...
Elle conserve dans des cartons de vieilles photos de cette époque, il faudra qu'un jour je prenne le temps de chercher et d'en scanner quelques unes...
Amicalement à vous...
Stéphane

 

De : montielEnvoyer un mail

Le : 17/02/2014 14:54

JE me charge de vous annoncer le décès Eugénie Môntiel née Colonna
A Dunkerque 17 02 2914 née a Bab le Oued Boulevard De Provence

 

De : colette PontEnvoyer un mail

Le : 17/02/2014 11:42

Bonjour....je suis a la recherche de ma copine d'enfance NICOLE MATAS qui habitait dans le même immeuble 73 av de la Bouzaréah.
Si vous la connaissée...... merci de m'envoyer un email je m'apelle COLETTE PONT de l'école Normandie.
Merci les pieds noirs!!!!!

 

De : volto rolandEnvoyer un mail

Le : 17/02/2014 07:40

Bonjour
Bien que je ne soit pas des trois horloges???j'etais du parc de Galland,au bas de la rue Francis Garnier,j'ai trouvé votre site merveilleux et tres complet,tout y est,presque....car je souhaiterai comment faire pour acheter le fameux les fameux sketchs de la famille Hernandez,lors de leur passage en 1963 a Salon de provence:La Purée de nous autres avec Castel/Sahuquet/Vilallongua etc....
Merci de m'informer,si j'ai une chance de les retrouver en Film,DVD ou autres enregistrements
Mille merci
Roro d'Alger

 

De : Antoine/Tony BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 14/02/2014 09:17

Toi je t'aime


Nos lèvres ne sont pas, que belles à regarder
Elles sont faites pour être utilisées
On les a pour sourire, dire des mots gentils
Et pour dire aux gens qu’on les aime aussi

On a parfois cette tendance à l’oublier
Le verbe aimer on ne s’en sert pas assez
Nos oreilles aussi sont parfois fermées
Et notre sourire, souvent inutilisé

On apprécie que quelqu’un nous dise je t’aime
Mais on est incapable de faire de même
Un jour pourtant, leur heure sera venue
Tous ceux qu’on aimait n’y seront plus

Il sera hélas trop tard pour les aimer
Et on aura toute la vie pour le regretter
On le dit, à ceux que l’on voit moins
Quand un jour ils déménagent au loin

Mais on ne le dit pas à nos voisins
Ou à ceux qui nous donnent souvent la main
On devrait le dire, et bien souvent
La vie est importante, mais aussi les gens

Souvent nos amis sont pour nous si précieux
On devrait leur dire que nous sommes heureux
On profite de l’amour, et de combien d’amitiés
Mais leur dit-on, combien on veut les garder

Texte Claude Marcel Breault


 

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