Liste des messages
Le : 04/03/2014 19:22
Bonjour mes amis (es) même avec ce pied qui me fait souffrir je ne peut pas rester insensible et ne pas vous donner de mes nouvelles. Ma chère amie Jacqueline comment va tu ? Hier j’ai reçus tes deux messages sur ma boite « perso » Je te remercie pour ton soutien mais je te rassure ce n’est aussi méchant que ça en a l’air dans quelques jours ça ira mieux. Je te ferais un message plus long sur ta boite privé. Je t’embrasse bien affectueusement. Je salut au passage mon amie Josette de la consolation et tous (tes) mes amis (es) qui sont nombreux ils et elles se reconnaîtrons. Pour Dédé Escobédo je ne sais pas si tu est parent avec le patron du bar des Arènes angle rue Montaigne et rue Bara. Dans le temps j’ais bien connu ce bar pas pour avoir siffler quelques bières ou des anisettes à cette époque nous étions jeunes et ces boissons étaient interdites pour nous. Je passais régulièrement devant ce bar en allant faire des achats scolaires à la librairie Palomba qui est à une vingtaine de mètres sur le même trottoir que le Bar des arènes. Il m’arrivait souvent de m’arrêter devant ce bistro pour voir tous les beaux tableaux de corrida. Les murs du bar étaient tapisser de tableaux de taureaux et de toréadors en regardant tous ces décores en se voyer à Cordoue. Rien qu’au nom de Escobedo tous les souvenirs remontent en surface. Dans ce quartier entre la bar et la librairie Palomba il y avait l’atelier de tailleur qui appartenait à Mr. Molina le papa de Edmond un autre camarade d’école. Notre ami André Trives se rappel très bien de Tago le marchand de calentita avec son plateau sur la poussette enfants. Toi Dédé tu nous cite le marchand de Guimauve « kilomètre » c’est une autre figure emblématique qui nous donnait de la joie à nous les petits garnements. Son nom ââmi Salah on l’appeler « äâmi » par respect à son âge. C’est une façon à nous d’appeler les personnes plus âgées que nous. Ce personnage est resté bien après l’indépendance dans les années 70 je le rencontrais souvent au trois horloges et à la place des Martyres « place du Gouvernement » toujours avec son bambou et sa guimauve autour. Tu le dis bien Dédé quelle belle époque. Thierry Roland avait dis un certain 12 juillet 1998 quand la France avait gagné la coupe du monde de football « maintenant après avoir vu ça on peut mourir tranquille. Enfin le plus tard possible mais on peut. Moi je dirais « si on pouvait revoir une seule journée Bab El Oued de notre époque ou vivre une seule journée de notre jeunesse, on pourra mourir tranquille ». A tous je vous dis portez vous bien
Le : 04/03/2014 17:17
J'AI ENVOYER AVEC UN PEU DE RETARD ,JOYEUX ANNIVERSAIRE A CHRISTIAN EN MAIL PERSO ET CELA MES REVENUE.
DONC PARDON CHRISTIAN ,MAIS BON ANNIVERSAIRE,BISES A VOUS DEUX.ROSETTE
DONC PARDON CHRISTIAN ,MAIS BON ANNIVERSAIRE,BISES A VOUS DEUX.ROSETTE
Le : 04/03/2014 15:14
ERRATUM
Dans ma phrase :
" Aux familles DURA, allié-e-s et ami-e-s, nous vous offrons cette magnifique chanson ALGER ALGER qu'aurait aimée Louis et son père",
il faut orthographier " qu'auraient" et non "qu'aurait".
Avec mes excuses
Dans ma phrase :
" Aux familles DURA, allié-e-s et ami-e-s, nous vous offrons cette magnifique chanson ALGER ALGER qu'aurait aimée Louis et son père",
il faut orthographier " qu'auraient" et non "qu'aurait".
Avec mes excuses
Le : 04/03/2014 12:11
Bonjour tout le monde, Depuis ce site cher à nous tous, je viens faire un petit "coucou" surtout à mon très cher ami Mustapha, qui "voulant faire le jeune footballeur" a été blessé à un pied! Il est donc tranquillement installé dans un beau fauteuil, bien au chaud chez lui.....enfin pour le moment! car il a déjà envie de continer à nous faire plaisir,et de prendre encore et encore, ces si belles photos de notre cher quartier.
J´espère que tout va bientôt rentrer dans l´ordre, et que ton pied va vite guérir, je te fais de grosses bises mon ami.
J´espère que tout va bientôt rentrer dans l´ordre, et que ton pied va vite guérir, je te fais de grosses bises mon ami.
Le : 04/03/2014 11:40
Pour ce qui est des souvenirs comme Tago, il y en a un que je n'oublie pas, le marchand de kikilomêtre qui nous attendait lui aussi à la sortie de l'école avec son bambou sur la hanche et qui nous vendait son espèce de guimauve en n'oubliant pas de s'humecter les doigts d'un coup de langue.Mais quelle belle époque nous avons vécue.
Le : 04/03/2014 10:56
Bravo Jean Jean.
Une enfance inachevée ne cicatrise jamais.
Trés beau texte, et merci pour le partage.
Merzak.
Le : 04/03/2014 10:05
Bonjour à tous
Merci les amis pour vos mots plein de gentillesse, je pense que beaucoup d’entre nous se reconnaissent dans ce texte. Nacéra, je sais que c’est ton quartier et que comme nous, tu nous en parles souvent. André, tu nous parles du marchand de calentita qui se nommait « tago », je fais le lien avec l’ami Claude de Lyon qui me disait tout comme toi qu’on appelait cet homme « tago » parce qu’il interpelait les passants en criant tago ! Quelle mémoire vous avez ! Et toi ma chère Andrée tu m’as rappelé ce marchand de « zoublis » avec sa cuve métallique sur le dos rempli d’oublies, ces cornets de pate friable qu’on nommaient même au singulier un « zoubli ». Aïe ! Aïe ! Aïe ! Que de souvenirs !
Une pensée pour la disparition du père de Louis DURA, surement une personne que nous avons croisée dans notre jeunesse, nous n’habitions pas loin de chez lui. Paix à son âme !
Merci les amis pour vos mots plein de gentillesse, je pense que beaucoup d’entre nous se reconnaissent dans ce texte. Nacéra, je sais que c’est ton quartier et que comme nous, tu nous en parles souvent. André, tu nous parles du marchand de calentita qui se nommait « tago », je fais le lien avec l’ami Claude de Lyon qui me disait tout comme toi qu’on appelait cet homme « tago » parce qu’il interpelait les passants en criant tago ! Quelle mémoire vous avez ! Et toi ma chère Andrée tu m’as rappelé ce marchand de « zoublis » avec sa cuve métallique sur le dos rempli d’oublies, ces cornets de pate friable qu’on nommaient même au singulier un « zoubli ». Aïe ! Aïe ! Aïe ! Que de souvenirs !
Une pensée pour la disparition du père de Louis DURA, surement une personne que nous avons croisée dans notre jeunesse, nous n’habitions pas loin de chez lui. Paix à son âme !
Le : 03/03/2014 17:58
BONSOIR A TOUS
MERCI JEAN-JEAN TRES BEAU VOYAGE AU PAYS DE NOTRE ENFANCE
CA SENT BON LA CALENTITA
BEAUCOUP D’ÉMOTION ET D'AMOUR ENCORE MERCI
ANDREE
MERCI JEAN-JEAN TRES BEAU VOYAGE AU PAYS DE NOTRE ENFANCE
CA SENT BON LA CALENTITA
BEAUCOUP D’ÉMOTION ET D'AMOUR ENCORE MERCI
ANDREE
Le : 03/03/2014 13:40
Mon cher Jean-Jean, sans oublier au passage notre chère Nacéra,
Le brave homme ( plus malheureux que lui,tu meurs!) qui vendait la calentita avec une plaque posée sur une poussette d'enfant s'appelait Tago. Il grattait le couteau sur le rebord de la plaque et criait : "Chaud, tout chaud!". Il criait dis-je pour se faire entendre parce qu'avec le brouhaha du marché et le bruit de ferraille du tram sur les rails qui se tordaient aux Trois Horloges, on avait du mal à s'entendre. Dans la ligne droite en direction du Lycée Bugeaud, le watman accélérait la vitesse et les coups de klaxon lancés en bordée annonçaient son passage pour dégager l'avenue de la Marne.
Le brave homme ( plus malheureux que lui,tu meurs!) qui vendait la calentita avec une plaque posée sur une poussette d'enfant s'appelait Tago. Il grattait le couteau sur le rebord de la plaque et criait : "Chaud, tout chaud!". Il criait dis-je pour se faire entendre parce qu'avec le brouhaha du marché et le bruit de ferraille du tram sur les rails qui se tordaient aux Trois Horloges, on avait du mal à s'entendre. Dans la ligne droite en direction du Lycée Bugeaud, le watman accélérait la vitesse et les coups de klaxon lancés en bordée annonçaient son passage pour dégager l'avenue de la Marne.
Le : 03/03/2014 13:08
Merci Jean-Jean pour cette petite escapade dans notre quartier et en particulier les jardins Guillemin. Comme tu l'as si bien écrit Bab el oued a son cachet.Tu le narres avec beaucoup d'émotion . Alors, si un jour tu dois y retourner, n'oublie pas de prendre une photo sur le banc du jardin Guillemin , là ou tu étais assis voilà quelques années .