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Le : 16/11/2022 15:58
Bonjour
il y 'a une erreur concernant la photo du bar des 4 as à bab el oued
au sujet de la photo prise par nacéra addadahine le 30/12/2016.
il y 'a une erreur concernant la photo du bar des 4 as à bab el oued
au sujet de la photo prise par nacéra addadahine le 30/12/2016.
Le : 16/11/2022 09:48
Que de souvenirs !
Mon père avait sa "menuiserie ébénisterie du moulin" entre le Triolet et le garage de Denis.
Mon père avait sa "menuiserie ébénisterie du moulin" entre le Triolet et le garage de Denis.
Le : 16/11/2022 08:55
ARTICLE DE MON BLOG....hubertzakine.blogspot.com.
LE TRIOLET DE JEAN BRUNE
L'oued, c'est l'oued M'Kacel qui descend du Frais-Vallon, vert, boisé, humide. Au Climat-de-France, il est rejoint par l'oued Lezhar. L'eau en est belle et vive et les lavandières y savonnent un linge qu'elles tendent sur l'herbe. Au-dessus, sur les flancs de la Bouzaréa, des Maltais ont trouvé les maigres pâturages indispensables à leurs chèvres qui parfois descendent chercher fortune jusque dans le trou Bonnifay où s'élève un superbe bellombra dont les vieux se souviendront longtemps.
Presque tous les ans, lors des grosses pluies d'automne, quand les cadavres de l'été obstruent caniveaux, buses et gouttières, l'oued M'Kacel déborde et inonde les bas quartiers du Pont. On en a pris l'habitude, malgré la menace pour les maisons de torchis hautes à peine d'un étage comme toutes celles de Bab-El-Oued.
Le pont, près de l'embouchure, s'appelle aussi Barchicha, du nom d'une chapelle ou d'un tombeau israélite bâti sur un tertre...
L'oued fait régulièrement des siennes rue Fourchault, entre les Trois-Horloges et l'église Saint-Louis actuelle, en inondant les écuries Jaubert. Chaque automne ou presque, il faut sauver les percherons de la noyade et tirer au sec les galères, ces lourds chariots aux roues arrière plus hautes que les roues avant qui transportent la pierre sur les chantiers et sur le Front-de-mer alors en construction de l'Amirauté aux portes Bab-Azoun...
Le moulin Saint-Louis est une autre nouveauté. Au Climat-de-France, un Maltais entreprenant, M. Axiach, a monté son installation à cylindres. Cent mètres plus haut, sur la confluence des oueds M'Kacel et Lezhar, il a jeté un petit barrage -que tout le monde appelle en espagnol le pantano- pour retenir les eaux et régulariser leur débit...
On croit en avoir fini avec les inondations, l'administration ayant en 1874 fait canaliser la rivière entre le trou Bonnifay et la mer, et les travaux ayant été réalisés par M. Jaubert. Au moment de payer l'entrepreneur, on s'aperçoit qu'il n'y a plus de crédits!
En dédommagement, on lui donne la rue Franklin ou plutôt le terrain vague sur lequel elle sera tracée plus tard et qui, dans ses limites, englobe un vieux cimetière israélite.
L'oued ne s'est pas cru quitte pour autant: en 1900, il sort de son lit, menace de faire fondre comme sucre les maisons de torchis et de noyer les cigarières -Bab-El-Oued ignore la cigarette et ne fume que le cigare- qui chaque jour se rendent à la fabrique Berthomeu, en face du bain des familles. Elles se déplacent en bandes joyeuses, vêtues de sombre, portant un petit tablier de satinette noire...
L' Oued descendait des "gorges" qui séparent les hauteurs d'El-Biar de celle de la Bouzaréa.. et que nous appelons aujourd'hui le Frais Vallon. Il passait assez près de l'emplacement actuel de l'église St-Louis, frôlait les Trois-Horloges et le marché... l'arrêt des T.A. et le Bar Olympique et courait se jeter à la mer sensiblement en face de ce qui est aujourd'hui la gare désaffectée de Bab-el-Oued. Naturellement il n'y avait alors ni horloges, ni église St-Louis, ni Bar Olympique. La seule église était l'église St-Joseph, construite vers 1870, devant un terrain vague qui devait devenir la place Lelièvre... et qui garde un souvenir ému du jour lointain où Cagayous s'y est marié avant de s'en aller en voyage de noces à l'Hôtel du Jardin d'Essai, dont il ne reste que les palmiers au bord d'une plage déshonorée par les usines.
Quand l'oued débordait, tout le quartier qui va de la rue Fourchault à la mer était inondé par une crue qui transportait autant de tonnes d'eau que de détritus. C'était inconcevable.
Vers 1874, on décide de couvrir l'oued pour s'en protéger. C'était condamner le délinquant à la prison perpétuelle. M. Jaubert, le propriétaire des fameuses carrières, fut chargé de cette incarcération. Il accomplit son ½uvre en deux étapes. Un premier tronçon couvrit l'oued depuis la mer jusqu'à l'arrêt actuel des T.A. face au Bar Olympique. Puis on marqua un temps d'arrêt faute de crédits.
... et le Moulin. Entre temps, un maltais astucieux nommé Axiach, eut l'idée d'utiliser l'oued pour entraîner les roues à aubes d'un moulin. Ainsi naquit "Le Moulin", tellement paradoxal de ce côté-ci de la Méditerrannée que Bab-el-Oued s'en souvient encore.
Crée vers 1880, le Moulin atteignit le sommet de sa prospérité vers 1900. Mais en 1900 aussi, M. Jaubert parvint à couvrir le deuxième tronçon de l'Oued maudit.
Le Moulin s'achemina doucement vers sa ruine. Il figurait une ébauche pour une future cité industrielle qui ne vit jamais le jour parce que les terrains mieux disposés d'Hussein-dey et de l'Harrach naissaient aux réalités économiques.
Il reste du Moulin un souvenir confus, vaguement inquiétant... quelque chose comme une légende du pays du Rhin... Et Bab-el-Oued murmure qu'ayant été maudites puis vendues, les machines du Moulin furent chargées sur un cargo norvégien qui se perdit corps et bien dans une tempête.
Le moulin ayant frappé trop violemment l'imagination du faubourg pour que le faubourg puisse croire qu'il avait disparu à jamais.
Bab-el-Oued, délivré des caprices de son oued, en fit une prodigieuse attraction pour ses "poulbots"... et les générations d'enfants du faubourg ont couru derrière des porteurs de torches sous les voûtes construites par M. Jaubert.
LE TRIOLET DE JEAN BRUNE
L'oued, c'est l'oued M'Kacel qui descend du Frais-Vallon, vert, boisé, humide. Au Climat-de-France, il est rejoint par l'oued Lezhar. L'eau en est belle et vive et les lavandières y savonnent un linge qu'elles tendent sur l'herbe. Au-dessus, sur les flancs de la Bouzaréa, des Maltais ont trouvé les maigres pâturages indispensables à leurs chèvres qui parfois descendent chercher fortune jusque dans le trou Bonnifay où s'élève un superbe bellombra dont les vieux se souviendront longtemps.
Presque tous les ans, lors des grosses pluies d'automne, quand les cadavres de l'été obstruent caniveaux, buses et gouttières, l'oued M'Kacel déborde et inonde les bas quartiers du Pont. On en a pris l'habitude, malgré la menace pour les maisons de torchis hautes à peine d'un étage comme toutes celles de Bab-El-Oued.
Le pont, près de l'embouchure, s'appelle aussi Barchicha, du nom d'une chapelle ou d'un tombeau israélite bâti sur un tertre...
L'oued fait régulièrement des siennes rue Fourchault, entre les Trois-Horloges et l'église Saint-Louis actuelle, en inondant les écuries Jaubert. Chaque automne ou presque, il faut sauver les percherons de la noyade et tirer au sec les galères, ces lourds chariots aux roues arrière plus hautes que les roues avant qui transportent la pierre sur les chantiers et sur le Front-de-mer alors en construction de l'Amirauté aux portes Bab-Azoun...
Le moulin Saint-Louis est une autre nouveauté. Au Climat-de-France, un Maltais entreprenant, M. Axiach, a monté son installation à cylindres. Cent mètres plus haut, sur la confluence des oueds M'Kacel et Lezhar, il a jeté un petit barrage -que tout le monde appelle en espagnol le pantano- pour retenir les eaux et régulariser leur débit...
On croit en avoir fini avec les inondations, l'administration ayant en 1874 fait canaliser la rivière entre le trou Bonnifay et la mer, et les travaux ayant été réalisés par M. Jaubert. Au moment de payer l'entrepreneur, on s'aperçoit qu'il n'y a plus de crédits!
En dédommagement, on lui donne la rue Franklin ou plutôt le terrain vague sur lequel elle sera tracée plus tard et qui, dans ses limites, englobe un vieux cimetière israélite.
L'oued ne s'est pas cru quitte pour autant: en 1900, il sort de son lit, menace de faire fondre comme sucre les maisons de torchis et de noyer les cigarières -Bab-El-Oued ignore la cigarette et ne fume que le cigare- qui chaque jour se rendent à la fabrique Berthomeu, en face du bain des familles. Elles se déplacent en bandes joyeuses, vêtues de sombre, portant un petit tablier de satinette noire...
L' Oued descendait des "gorges" qui séparent les hauteurs d'El-Biar de celle de la Bouzaréa.. et que nous appelons aujourd'hui le Frais Vallon. Il passait assez près de l'emplacement actuel de l'église St-Louis, frôlait les Trois-Horloges et le marché... l'arrêt des T.A. et le Bar Olympique et courait se jeter à la mer sensiblement en face de ce qui est aujourd'hui la gare désaffectée de Bab-el-Oued. Naturellement il n'y avait alors ni horloges, ni église St-Louis, ni Bar Olympique. La seule église était l'église St-Joseph, construite vers 1870, devant un terrain vague qui devait devenir la place Lelièvre... et qui garde un souvenir ému du jour lointain où Cagayous s'y est marié avant de s'en aller en voyage de noces à l'Hôtel du Jardin d'Essai, dont il ne reste que les palmiers au bord d'une plage déshonorée par les usines.
Quand l'oued débordait, tout le quartier qui va de la rue Fourchault à la mer était inondé par une crue qui transportait autant de tonnes d'eau que de détritus. C'était inconcevable.
Vers 1874, on décide de couvrir l'oued pour s'en protéger. C'était condamner le délinquant à la prison perpétuelle. M. Jaubert, le propriétaire des fameuses carrières, fut chargé de cette incarcération. Il accomplit son ½uvre en deux étapes. Un premier tronçon couvrit l'oued depuis la mer jusqu'à l'arrêt actuel des T.A. face au Bar Olympique. Puis on marqua un temps d'arrêt faute de crédits.
... et le Moulin. Entre temps, un maltais astucieux nommé Axiach, eut l'idée d'utiliser l'oued pour entraîner les roues à aubes d'un moulin. Ainsi naquit "Le Moulin", tellement paradoxal de ce côté-ci de la Méditerrannée que Bab-el-Oued s'en souvient encore.
Crée vers 1880, le Moulin atteignit le sommet de sa prospérité vers 1900. Mais en 1900 aussi, M. Jaubert parvint à couvrir le deuxième tronçon de l'Oued maudit.
Le Moulin s'achemina doucement vers sa ruine. Il figurait une ébauche pour une future cité industrielle qui ne vit jamais le jour parce que les terrains mieux disposés d'Hussein-dey et de l'Harrach naissaient aux réalités économiques.
Il reste du Moulin un souvenir confus, vaguement inquiétant... quelque chose comme une légende du pays du Rhin... Et Bab-el-Oued murmure qu'ayant été maudites puis vendues, les machines du Moulin furent chargées sur un cargo norvégien qui se perdit corps et bien dans une tempête.
Le moulin ayant frappé trop violemment l'imagination du faubourg pour que le faubourg puisse croire qu'il avait disparu à jamais.
Bab-el-Oued, délivré des caprices de son oued, en fit une prodigieuse attraction pour ses "poulbots"... et les générations d'enfants du faubourg ont couru derrière des porteurs de torches sous les voûtes construites par M. Jaubert.
Le : 11/11/2022 09:59
Cher Christian,
Je viens de visionner les photos de particuliers, et j'ai reconnu la photo de Frédérique SAVAL, Jean Baptiste SAVAL est le portrait de mon papa Albert SERRA.
Sa maman était une SAVAL Catherine, Philomène de Guyotville. Dans la mesure du possible, pourrais-tu me communiquer les coordonnées de Frédérique SAVAL ou lui donner les miennes.
Je t'en remercie à l'avance, Lyse
Je viens de visionner les photos de particuliers, et j'ai reconnu la photo de Frédérique SAVAL, Jean Baptiste SAVAL est le portrait de mon papa Albert SERRA.
Sa maman était une SAVAL Catherine, Philomène de Guyotville. Dans la mesure du possible, pourrais-tu me communiquer les coordonnées de Frédérique SAVAL ou lui donner les miennes.
Je t'en remercie à l'avance, Lyse
Le : 09/11/2022 19:06
à l'attention de Jean MORENO
Comme toi j'ai fréquenté notre école jusqu'à l'obtention du Certificat d'Etudes.
Ensuite, je suis parti pour le collège d'enseignement commercial de Yusuf (sur le haut du Champ de manoeuvres).
Je suis de Novembre 1945.
Je n'ai pas connaissance ou je ne me souviens pas de la destruction de l'école (j'ai embarqué avec mes parents le 29 juin 1962).
Par contre et entre autres, je me rappelle de la salle qui faisait office de salle de cinéma (grand projecteur et grande bobine) où on nous passait en premier lieu le documentaire sur la France: ses paysages, ses champs vert avec des vaches, des montagnes enneigées etc... (cela donnée envie de connaître réellement).
Mais nous avions nous, que les cartes postales en fin d'année, champs et maisons enneigés. Maintenant et depuis le départ on est bel et bien dedans.!!!
En ce qui me concerne, nous ne partions pas en vacances car mon père avait une petite entreprise de bâtiment et il travaillait beaucoup. Cela ne m'a jamais manqué car nous avions la mer, les copains et notre plage l'Eden.
Si tu regardes sur le site rubrique photos d'école:
1ère photo CM2 1955-1956 > 1ère rangée en partant du haut et 7ème en partant de la gauche (à côté de Sanchez).
Bien à toi et à vous tous de BEO.
Pierre
Comme toi j'ai fréquenté notre école jusqu'à l'obtention du Certificat d'Etudes.
Ensuite, je suis parti pour le collège d'enseignement commercial de Yusuf (sur le haut du Champ de manoeuvres).
Je suis de Novembre 1945.
Je n'ai pas connaissance ou je ne me souviens pas de la destruction de l'école (j'ai embarqué avec mes parents le 29 juin 1962).
Par contre et entre autres, je me rappelle de la salle qui faisait office de salle de cinéma (grand projecteur et grande bobine) où on nous passait en premier lieu le documentaire sur la France: ses paysages, ses champs vert avec des vaches, des montagnes enneigées etc... (cela donnée envie de connaître réellement).
Mais nous avions nous, que les cartes postales en fin d'année, champs et maisons enneigés. Maintenant et depuis le départ on est bel et bien dedans.!!!
En ce qui me concerne, nous ne partions pas en vacances car mon père avait une petite entreprise de bâtiment et il travaillait beaucoup. Cela ne m'a jamais manqué car nous avions la mer, les copains et notre plage l'Eden.
Si tu regardes sur le site rubrique photos d'école:
1ère photo CM2 1955-1956 > 1ère rangée en partant du haut et 7ème en partant de la gauche (à côté de Sanchez).
Bien à toi et à vous tous de BEO.
Pierre
Le : 09/11/2022 18:09
JE clique souvent souvent sur le site
Tout d'abord je et nous devrions remercier tous les bénévoles qui ont participés à la création de cette association tous trés heureux de renconter des copains de quartier et de classes ( Place Lelièvre) à l'occasion du rassemblement à Rognes pour d'autres moins nombreux sans doute à des festivités de repas de fins d'années, Pasques pour partager la traditionnelle mouna aussi pour des rassemblements plus douloureux en mémoire des disparus avant l'indépendance. Sans oublier tous ses amis il faut savoir tourner la page. Quand je clique J'apprends hélas le départ du copain de classe. le dernier en date Ortunio pour qui j'adresse toutes mes condoléances à ceux qui l'ont entouré,sa famille,ces enfants et petits-enfants peutêtre même ces arrières petits enfants.
D'aprés les derniers commentaires les rendez vous de l'association se feront plus rares.
Pour ceux qui me reconnaissent, j'apprécierais d'avoir de leurs nouvelles à cette adresse mail. Amitiés à tous
Paul José
Tout d'abord je et nous devrions remercier tous les bénévoles qui ont participés à la création de cette association tous trés heureux de renconter des copains de quartier et de classes ( Place Lelièvre) à l'occasion du rassemblement à Rognes pour d'autres moins nombreux sans doute à des festivités de repas de fins d'années, Pasques pour partager la traditionnelle mouna aussi pour des rassemblements plus douloureux en mémoire des disparus avant l'indépendance. Sans oublier tous ses amis il faut savoir tourner la page. Quand je clique J'apprends hélas le départ du copain de classe. le dernier en date Ortunio pour qui j'adresse toutes mes condoléances à ceux qui l'ont entouré,sa famille,ces enfants et petits-enfants peutêtre même ces arrières petits enfants.
D'aprés les derniers commentaires les rendez vous de l'association se feront plus rares.
Pour ceux qui me reconnaissent, j'apprécierais d'avoir de leurs nouvelles à cette adresse mail. Amitiés à tous
Paul José
Le : 09/11/2022 14:30
Bonjour les amis/es de B:E:O ,pour mon ami Christian Ortuño, il habitait la rue de Normandie à la Basetta, ses funérailles se dérouleront le 10 en l'église St. Véran de Vitrolles, à 10 heures 30 ,bonne fin de journée ,Henri
Le : 08/11/2022 18:28
Dans la cité au 4rue de la Consolation il avait vécu
SPINOSA NoNo nous quitte à 84ans
Repose en paix auprès des OUALIONES et ton frère Raymond notre ami d'enfance
Le : 08/11/2022 16:03
Bonour aux enfants de B:EO,un ami d'enfance vient de nous quitter,je viens juste de recevoir un message de la famille ,il s'agit de " Christian Ortuño " de Vitrolles,amitiés Henri
Le : 08/11/2022 09:53
Bonjour Pierre
Effectivement je pense être le gars que tu as connu à l’école Cécaldi de la rue Larrey, je l’ai fréquentée toute ma scolarité primaire jusqu’au certificat d’étude. J’ai retrouvé pas mal d’anciens de notre école mais….désolé Pierre, je ne me rappelle pas de toi mais je vois très bien où tu habitais. En quelle année es-tu né ? Moi je suis de 1947 et j’ai passé 7 années (jusqu’en 1961) dans cette école qui était loin de chez moi car j’habitais avenue de la Bouzaréah, au bout de la rue cardinal Verdier. Avec des amis de classe ou du quartier et mon frère je suis retourné 3 fois et à chaque fois c’était un plaisir de remarcher sur nos pas mais un déchirement de revoir ce qu’il restait de notre école. Je crois qu’elle avait été incendiée avant de quitter le pays, il ne restait que le préau et la maison de la concierge au-dessus mais je garde en tête l’image de cette belle petite école en bois et UNIQUEMENT les bons souvenirs ! Merci Pierre de m’avoir permis de me remémorer ces moments de notre jeunesse et si tu as des questions ou bien des interrogations (pas écrites, non !) n’hésite pas à me contacter. Allez ! Porte toi bien ainsi que tous les Bab el ouédiens amis du site.
Effectivement je pense être le gars que tu as connu à l’école Cécaldi de la rue Larrey, je l’ai fréquentée toute ma scolarité primaire jusqu’au certificat d’étude. J’ai retrouvé pas mal d’anciens de notre école mais….désolé Pierre, je ne me rappelle pas de toi mais je vois très bien où tu habitais. En quelle année es-tu né ? Moi je suis de 1947 et j’ai passé 7 années (jusqu’en 1961) dans cette école qui était loin de chez moi car j’habitais avenue de la Bouzaréah, au bout de la rue cardinal Verdier. Avec des amis de classe ou du quartier et mon frère je suis retourné 3 fois et à chaque fois c’était un plaisir de remarcher sur nos pas mais un déchirement de revoir ce qu’il restait de notre école. Je crois qu’elle avait été incendiée avant de quitter le pays, il ne restait que le préau et la maison de la concierge au-dessus mais je garde en tête l’image de cette belle petite école en bois et UNIQUEMENT les bons souvenirs ! Merci Pierre de m’avoir permis de me remémorer ces moments de notre jeunesse et si tu as des questions ou bien des interrogations (pas écrites, non !) n’hésite pas à me contacter. Allez ! Porte toi bien ainsi que tous les Bab el ouédiens amis du site.