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Le : 22/08/2014 19:47
Mr trives je suis entierement d'accord avec vous sauf que n'ignorez pas wu'au marche de babeloued il n'y avait que des algeriens(arabes)alignes dos au mur face a la decharge ou les commercants venaient jeter le fruits et legumes avaries,pourris ou abimes que nous recuperions a chqu'un son tour afin de pouvoir diner sans jamais connaitre de petit dejeuner .Il n'y avait auqu'un pieds noir parmi nous ,car francais nous etions tous francais .Ce qui nous differenciait c'etait le cote cultuel.A la place de l'Alma la ou j'ai fait un passage,non plus seuls les arabes avaient ce choix d'y activer et Service cirer les bottes "a tout le monde".Les yaouleds et les fatma comme ma mere,c'etait aussi des arabes.A l'avenue des consulats ou pres du majestic il n'y avait pas place pour loger a un arabe,car c'etait un raton un melon un bougnoul....et j'en passe.Je ne dis pas tous ces mots ou phrases aux gens comme vous monsieur trives mais a beaucoup d'autres qui ajourd'hui se plaignent des algeriens vivant en france et disent "ils ont voulu leur independance qu'ils restent chez eux".cela fait deux ans que je m'interesse aux sites P.N la retenue et la sagesse m'ont empeches d'intervenir pour ne pas raviver les douleurs du passe.
Le : 22/08/2014 17:26
J'ajoute au message de 9 h 54 le témoignage suivant : tous les petits commerçants de Bab el Oued avaient sur leur comptoir un carnet de crédit. Que ce soient les boulangers, les marchands de vins, les épiciers, les moutchous, les bouchers, les marchands de linge, les volaillers, etc...
tous enregistraient la somme due par leur clientèle en difficulté sur le carnet. Il n'y avait que dans les bars où on ne faisait pas crédit car l'anisette en bonne quantité aurait eu pour effet que les "tispounes" auraient oublié leur dette. Ensuite, soit en fin de semaine pour certains ou en fin de mois pour d'autres, dès la paye reçue, les clients débiteurs venaient régler la dette.
tous enregistraient la somme due par leur clientèle en difficulté sur le carnet. Il n'y avait que dans les bars où on ne faisait pas crédit car l'anisette en bonne quantité aurait eu pour effet que les "tispounes" auraient oublié leur dette. Ensuite, soit en fin de semaine pour certains ou en fin de mois pour d'autres, dès la paye reçue, les clients débiteurs venaient régler la dette.
Le : 22/08/2014 12:18
le laboratoire C.R.É.A.T se trouvait au 60 rue Cardinal Verdier ....qui y as - t-il a la place maintenant ?....merci pour ce site très intéressant .
Le : 22/08/2014 11:32
Oui André, comme tu le dis, nous n'étions pas riche à BEO., La richesse nous l'avions autour de nous, plages, forêts, jeux simples (carrioles à roulement, billes, noyaux , toupies etc...), les vacances s'étaient chez nous, et le foot c'était la rue, mais on était heureux. Mais comme on l'entend à la télé " c'était avant".......
Le : 22/08/2014 09:54
Je voudrais dire à notre ami d'enfance Kamel. Que nous aussi, les français de Bab el Oued ( maçons, peintre, ouvriers, plombiers, électriciens, petits commerçants, fonctionnaires, garçons de café, facteurs), avions une vie difficile et très modeste, mais surtout on n'était pas malheureux de la vie simple que nous menions. Nos parents trimaient comme tous les parents et mon père qui travaillait 7 jours sur sept n'a jamais connu les vacances. D'ailleurs, à BEO nous étions en vacances tout le temps avec nos plages que le Bon Dieu nous avait données. C'était notre vie, dure pour tout le monde et nos espoirs étaient qu'un jour on puisse s'inscrire dans un club huppé d'Alger pour devenir comme ceux qui réussissaient. J'ai 73 ans et mon souvenir est intact...Il est vrai que nous n'acceptions pas la fatalité, tout devait être fait pour améliorer la vie de ses enfants.
Avec toute mon amitié.
Avec toute mon amitié.
Le : 21/08/2014 17:35
Pour alain blanc oui ce sera avec un grand plaisir Quant au club je n'ai pas de souvenir j'etais jeune en ce temps.Aussi ces clubs ne nous etaient pas permis d'autant plus que nous etions pauvres et malheureux.
Le : 21/08/2014 17:26
Pour mustapha tu parles Service l'acces actuel mais a l'epoque nous accedions par les deux moulins
/Le chemin d'acces Se trouvait la ou Se situe actuellement la mosquee.
/Le chemin d'acces Se trouvait la ou Se situe actuellement la mosquee.
Le : 21/08/2014 12:52
Kamel la cité Jais à ma connaissance ne se trouve pas aux deux Moulins mais sur les hauteurs pour y accéder il faut monté à Notre Dame d'Afrique passer devant le collège apprentissage d'Alger nord prendre la route entre le collège et le fort Turc et aller tout droit jusqu'à la cité Jais. Je profites pour saluer mon ami Alain.
Le : 21/08/2014 11:21
Bonjour, si parmi mes amis pieds noirs habitant Montpellier quelqu'un connaitrait un plombier, ce serait pour installer un abattant chauffant et lavant pour Leslie(se branche sur l'arrivée d'eau de la chasse)durée des trvaux environ 1 heure d'avance merci (cité universitaire rue serge reggiani=
Le : 21/08/2014 07:44
(Message pour Kamel)
Bonjour Kamel.
je ne crois pas que nous nous connaissions mais les Deux Moulins sont dans mon coeur pour toujours. Connais-tu le Club Nautique de Saint-Eugène ? Mon père était adhérent et nous avons passé des moments merveilleux sous ces voûtes.
La petite enveloppe ne marche pas pour t'adresser un message plus complet. Souhaites-tu communiquer ?
Mon bon souvenir des Deux Moulins.
Bonjour Kamel.
je ne crois pas que nous nous connaissions mais les Deux Moulins sont dans mon coeur pour toujours. Connais-tu le Club Nautique de Saint-Eugène ? Mon père était adhérent et nous avons passé des moments merveilleux sous ces voûtes.
La petite enveloppe ne marche pas pour t'adresser un message plus complet. Souhaites-tu communiquer ?
Mon bon souvenir des Deux Moulins.