Liste des messages
Le : 31/05/2015 17:56
pour mustapha oualikéne
toi qui renseigne qui accueille se rend disponible, fait des photos, donne des infos, va à la recherche et qui se fait un plaisir de le faire, toi que j'ai rencontré avec plaisir en septembre 2014 alors que je ne te connaissais pas, et qui représente la véritable amitié qui unissait nos aïeux et que tu perpétue au dela de toute espérance
toi quand viendras tu enfin faire un tour en france, à la rencontre de ceux que tu accueilles et renseignes
décide toi vite car le temps passe vite et beaucoup d'amis disparaissent
alors arrive vite viens enfin toi aussi nous voir, nombre de d'entre nous se ferons un immense plaisir de te voir!!! tu sais que tu auras chez moi coucher et repas et l'amitié!!!
alors fonce!!!
a plus mon ami
toi qui renseigne qui accueille se rend disponible, fait des photos, donne des infos, va à la recherche et qui se fait un plaisir de le faire, toi que j'ai rencontré avec plaisir en septembre 2014 alors que je ne te connaissais pas, et qui représente la véritable amitié qui unissait nos aïeux et que tu perpétue au dela de toute espérance
toi quand viendras tu enfin faire un tour en france, à la rencontre de ceux que tu accueilles et renseignes
décide toi vite car le temps passe vite et beaucoup d'amis disparaissent
alors arrive vite viens enfin toi aussi nous voir, nombre de d'entre nous se ferons un immense plaisir de te voir!!! tu sais que tu auras chez moi coucher et repas et l'amitié!!!
alors fonce!!!
a plus mon ami
Le : 31/05/2015 15:27
Bonjour je m'appelle Jean-Louis Zafrilla.
J'ai habité La Régie au Ruisseau puis au 74 avenue Malakoff à Bab El Oued en 1960 et 1961 où ma mère était concierge.
J'ai fréquenté l'école Sigwalt. Mes souvenirs sont flous aussi toute personne peut éventuellement me contacter.
Merci et peut-être à bientôt
J'ai habité La Régie au Ruisseau puis au 74 avenue Malakoff à Bab El Oued en 1960 et 1961 où ma mère était concierge.
J'ai fréquenté l'école Sigwalt. Mes souvenirs sont flous aussi toute personne peut éventuellement me contacter.
Merci et peut-être à bientôt
Le : 31/05/2015 10:04
Pouvez-vous m'indiquer quel est le jour du rassemblement des algérois à Uzès ?
Merci d'avance.
Merci d'avance.
Le : 31/05/2015 06:26
Bonne fête des Mamans
Pour vous chères Mamans en ce jour de fête ...
Que vous soyez gracié par cette journée.
Pour toutes les femmes qui ont donné la vie.
Que ce jour soit celui de la Paix et de l'Amour pour vous ...
Pour toutes les Mamans du monde...
Que la vie vienne les combler à leur tour.
Quelque soit votre âge vous êtes des personnes uniques.
Pour vous qui avez donné la Vie ...
Quand vous regardez vos tout petits...
Vous êtes si heureuse de ce bonheur si indescriptible...
Je le sais en tant que Maman ...
Que dans le fond de mon coeur...
Je suis fière de mes enfants ...
Je les aime tellement ...ils sont venus
Combler ce que je n'avais eu enfant...
Vous savez ...vous les Mamans que je ne connais pas.
Je vous souhaite tout le bonheur du monde...
La mienne est partie au ciel...
Si la vôtre a rejoint le paradis...
Levé les yeux au ciel elle vous sourira...
Une Maman reste dans le coeur d'un enfant éternellement.
N'oubliez pas que ce que le vie vous donne ...
Jamais elle vous le reprend vos enfants sont ...
Un lien d'amour avec vous-mêmes...
Soyez fières d'être des Femmes dont la force est inégalable.
Alors pour toutes celles qui ont donné la vie...
Où qui vont le faire bientôt ...
Je vous souhaite une merveilleuse fête...
Prenez soin de vous surtout...
N'oubliez pas vous les Mamans
Vous êtes des Anges sur terre...
Pour vous chères Mamans en ce jour de fête ...
Que vous soyez gracié par cette journée.
Pour toutes les femmes qui ont donné la vie.
Que ce jour soit celui de la Paix et de l'Amour pour vous ...
Pour toutes les Mamans du monde...
Que la vie vienne les combler à leur tour.
Quelque soit votre âge vous êtes des personnes uniques.
Pour vous qui avez donné la Vie ...
Quand vous regardez vos tout petits...
Vous êtes si heureuse de ce bonheur si indescriptible...
Je le sais en tant que Maman ...
Que dans le fond de mon coeur...
Je suis fière de mes enfants ...
Je les aime tellement ...ils sont venus
Combler ce que je n'avais eu enfant...
Vous savez ...vous les Mamans que je ne connais pas.
Je vous souhaite tout le bonheur du monde...
La mienne est partie au ciel...
Si la vôtre a rejoint le paradis...
Levé les yeux au ciel elle vous sourira...
Une Maman reste dans le coeur d'un enfant éternellement.
N'oubliez pas que ce que le vie vous donne ...
Jamais elle vous le reprend vos enfants sont ...
Un lien d'amour avec vous-mêmes...
Soyez fières d'être des Femmes dont la force est inégalable.
Alors pour toutes celles qui ont donné la vie...
Où qui vont le faire bientôt ...
Je vous souhaite une merveilleuse fête...
Prenez soin de vous surtout...
N'oubliez pas vous les Mamans
Vous êtes des Anges sur terre...
Le : 29/05/2015 15:08
Pour François Estève de la rue des moulins.
Slimane et Omar
L'enfance c'est des moments de vie insouciants rangés méticuleusement dans la bibliothèque de sa mémoire et qui reviennent en boucle tout le temps dès qu'un petit signe vous relie à ce passé. Ce signe peut être une odeur, un son ou la lecture d'un simple mot qui vous transperce d'émotion. L'an dernier sur notre site un message de l'ami Merzak citait ce noms d'une figure du quartier : "Slimane le charbonnier"; mon regard s'embua immédiatement, ce nom ne pouvait pas me laissait indifférent, il ravivait toute mon enfance à Bab el Oued.
Slimane DOUDOU et son frère Omar tenaient un commerce de charbon juste en face du magasin de vins et liqueurs de mes parents au 4 rue des Moulins. Originaires de Bounoura près de Ghardaïa (Mzab)ils m'avaient vu naître en 1941. Entre mes parents et les Doudou, il y avait bien plus que de l'amitié. Pendant les années 39/40 alors que mon père était mobilisé sur le front en France, Slimane rendait de nombreux services à ma mère qui gérait seule le magasin avec la charge d'élever mon frère aîné âgé de 3 ans. Il intervenait quotidiennement pour placer les lourds tonneaux de vin sur le chantier ; sans son aide, ma mère n'aurait pas pu assurer la marche du commerce.
Le magasin de Slimane ressemblait à une véritable caverne d'Ali Baba. On y trouvait de tout et les produits de droguerie vendus au détail et à l'air libre vous piquaient les yeux et la gorge en entrant dans le petit espace qui accueillait les clients. Dans un grand tonneau situait à la droite de l'entrée recouvert d'un plateau, se trouvait la sciure de bois, et au dessus une balance romaine servant à peser le charbon vendu en vrac, stocké dans la pièce arrière jusqu'au plafond. Inévitablement,parfois, la pile de charbon dégringolait brutalement, semant la panique dans le magasin où un immense nuage de poussière noire se répendait telle l'encre de sépia. Le haïk blanc des femmes sorties précipitamment sur le trottoir pour respirer avaient leur haik blanc transformé en niquab afgan tout noir de la tête au pied. Et Slimane comme un capitaine de navire en train de sombrer, sortait le dernier enveloppé de poussier noir en train de se dissiper lentement. Son sourire gêné à la "Afric-film" ressortait le blanc lumineux de ses yeux et de sa dentition, alors, il se confondait en excuses auprès des voisins et l'incident était clos.
En pénétrant dans le local, on était saisi par l'ambiance sinistre où l'ampoule électrique recouverte de poudre fine distillait une lumière tamisée comme dans une catacombe romaine. Deux calendriers côte à côte étaient fixés au mur : le traditionnel des postes et celui de l'Hégire écrit en arabe où la main de Fatma de couleur verte, sertie de paillettes conjurait le mauvais sort. Le comptoir servant de caisse croulait sous la paperasserie : les factures et le traditionnel carnet de crédit fait aux clients n'échappaient pas à la poussière de charbon qui s'insinuait de partout. Même poussière sur les rayonnages où s'entassaient des produits les plus hétéroclites : kanoun, lampe à pétrole, veilleuses, fourneau à pétrole, déboucheurs de fourneaux, mèche à lampe, bougies vendues à l'unité, cristeaux de soude, naphtaline, pinceaux à chaux en alfa, lavette en filasse, éventail et soufflet (marora) pour kanoun, alcool à brûler et pétrole tirés d'un tonneau métallique, lessiveuses, savon de Marseille en paillettes, blanc d'Espagne, brillantine Roja, le "ça sent bon" (banita), paquets de lessives Bonux et Persil, pompes à flytox, poudres à teintures, henné, encens(jaoui) et pour les superstitieux : graines pour kanoun(fassour) et tarentes séchées (téta). A chaque vente, il époussetait le produit en soufflant énergiquement d'une expiration profonde comme un trompettiste de jazz afin de retrouver l'étiquette et percevoir le prix. Quand j'allais "faire" de la monnaie pour mon père, au retour je n'échappais pas aux salissures du poussier de charbon qui faisaient la réputation des charbonniers et aussi des ramoneurs.
Je me revois âgé de 5 ou 6 ans dans le calme d'un après midi d'été, Slimane me juchait en amazone sur le cadre de son vélo et me faisait faire le tour de l'immeuble par la rue de Chateaudun et la rue du Roussillon. L'air chaud caressait mon visage et me donnait une sensation de rafraîchissement comme le ventilateur qui tournait au plafond de chez Prosper le marchand de tissus.
Chaque midi, son magasin dégageait des odeurs de cuisine ; Slimane préparait le repas. Je le revois activant par saccade la pompe du fourneau à pétrole comme une pompe à bicyclette et me disant poliment : " André, tu manges avec moi ?" Il faut bien reconnaitre que Slimane et Omar étaient déjà des travailleurs immigrés dans leur propre pays. Ils travaillaient à Bab el Oued loin de leur famille qu'ils retrouvaient à tour de rôle une fois tous les 2 ans. A cette occasion ils s'habillaient avec fierté dans le tradistionnel costume des gens du sud tout de blanc vêtu ; enfin ils allaient retrouver femme et enfants qu'ils avaient regardés durant tous ces longs mois de labeur à Bab el Oued sur de minuscules photos en noir et blanc délavés.
C'était çà notre vie à Bab el Oued ; remplie de scènes pittoresques d'une époque totalement révolue et que nous partagions parce qu'elles faisaient partie de notre destin commun.
Dans le quartier nous nous connaissions de père en fils depuis des générations. Les fils prenaient la suite des parents et cela semblait éternel.
Les charbonniers Slimane et Omar rendaient des services à tout le quartier et tout le quartier les considérait comme de la famille.
Slimane et Omar
L'enfance c'est des moments de vie insouciants rangés méticuleusement dans la bibliothèque de sa mémoire et qui reviennent en boucle tout le temps dès qu'un petit signe vous relie à ce passé. Ce signe peut être une odeur, un son ou la lecture d'un simple mot qui vous transperce d'émotion. L'an dernier sur notre site un message de l'ami Merzak citait ce noms d'une figure du quartier : "Slimane le charbonnier"; mon regard s'embua immédiatement, ce nom ne pouvait pas me laissait indifférent, il ravivait toute mon enfance à Bab el Oued.
Slimane DOUDOU et son frère Omar tenaient un commerce de charbon juste en face du magasin de vins et liqueurs de mes parents au 4 rue des Moulins. Originaires de Bounoura près de Ghardaïa (Mzab)ils m'avaient vu naître en 1941. Entre mes parents et les Doudou, il y avait bien plus que de l'amitié. Pendant les années 39/40 alors que mon père était mobilisé sur le front en France, Slimane rendait de nombreux services à ma mère qui gérait seule le magasin avec la charge d'élever mon frère aîné âgé de 3 ans. Il intervenait quotidiennement pour placer les lourds tonneaux de vin sur le chantier ; sans son aide, ma mère n'aurait pas pu assurer la marche du commerce.
Le magasin de Slimane ressemblait à une véritable caverne d'Ali Baba. On y trouvait de tout et les produits de droguerie vendus au détail et à l'air libre vous piquaient les yeux et la gorge en entrant dans le petit espace qui accueillait les clients. Dans un grand tonneau situait à la droite de l'entrée recouvert d'un plateau, se trouvait la sciure de bois, et au dessus une balance romaine servant à peser le charbon vendu en vrac, stocké dans la pièce arrière jusqu'au plafond. Inévitablement,parfois, la pile de charbon dégringolait brutalement, semant la panique dans le magasin où un immense nuage de poussière noire se répendait telle l'encre de sépia. Le haïk blanc des femmes sorties précipitamment sur le trottoir pour respirer avaient leur haik blanc transformé en niquab afgan tout noir de la tête au pied. Et Slimane comme un capitaine de navire en train de sombrer, sortait le dernier enveloppé de poussier noir en train de se dissiper lentement. Son sourire gêné à la "Afric-film" ressortait le blanc lumineux de ses yeux et de sa dentition, alors, il se confondait en excuses auprès des voisins et l'incident était clos.
En pénétrant dans le local, on était saisi par l'ambiance sinistre où l'ampoule électrique recouverte de poudre fine distillait une lumière tamisée comme dans une catacombe romaine. Deux calendriers côte à côte étaient fixés au mur : le traditionnel des postes et celui de l'Hégire écrit en arabe où la main de Fatma de couleur verte, sertie de paillettes conjurait le mauvais sort. Le comptoir servant de caisse croulait sous la paperasserie : les factures et le traditionnel carnet de crédit fait aux clients n'échappaient pas à la poussière de charbon qui s'insinuait de partout. Même poussière sur les rayonnages où s'entassaient des produits les plus hétéroclites : kanoun, lampe à pétrole, veilleuses, fourneau à pétrole, déboucheurs de fourneaux, mèche à lampe, bougies vendues à l'unité, cristeaux de soude, naphtaline, pinceaux à chaux en alfa, lavette en filasse, éventail et soufflet (marora) pour kanoun, alcool à brûler et pétrole tirés d'un tonneau métallique, lessiveuses, savon de Marseille en paillettes, blanc d'Espagne, brillantine Roja, le "ça sent bon" (banita), paquets de lessives Bonux et Persil, pompes à flytox, poudres à teintures, henné, encens(jaoui) et pour les superstitieux : graines pour kanoun(fassour) et tarentes séchées (téta). A chaque vente, il époussetait le produit en soufflant énergiquement d'une expiration profonde comme un trompettiste de jazz afin de retrouver l'étiquette et percevoir le prix. Quand j'allais "faire" de la monnaie pour mon père, au retour je n'échappais pas aux salissures du poussier de charbon qui faisaient la réputation des charbonniers et aussi des ramoneurs.
Je me revois âgé de 5 ou 6 ans dans le calme d'un après midi d'été, Slimane me juchait en amazone sur le cadre de son vélo et me faisait faire le tour de l'immeuble par la rue de Chateaudun et la rue du Roussillon. L'air chaud caressait mon visage et me donnait une sensation de rafraîchissement comme le ventilateur qui tournait au plafond de chez Prosper le marchand de tissus.
Chaque midi, son magasin dégageait des odeurs de cuisine ; Slimane préparait le repas. Je le revois activant par saccade la pompe du fourneau à pétrole comme une pompe à bicyclette et me disant poliment : " André, tu manges avec moi ?" Il faut bien reconnaitre que Slimane et Omar étaient déjà des travailleurs immigrés dans leur propre pays. Ils travaillaient à Bab el Oued loin de leur famille qu'ils retrouvaient à tour de rôle une fois tous les 2 ans. A cette occasion ils s'habillaient avec fierté dans le tradistionnel costume des gens du sud tout de blanc vêtu ; enfin ils allaient retrouver femme et enfants qu'ils avaient regardés durant tous ces longs mois de labeur à Bab el Oued sur de minuscules photos en noir et blanc délavés.
C'était çà notre vie à Bab el Oued ; remplie de scènes pittoresques d'une époque totalement révolue et que nous partagions parce qu'elles faisaient partie de notre destin commun.
Dans le quartier nous nous connaissions de père en fils depuis des générations. Les fils prenaient la suite des parents et cela semblait éternel.
Les charbonniers Slimane et Omar rendaient des services à tout le quartier et tout le quartier les considérait comme de la famille.
Le : 28/05/2015 16:38
Comme le dit trés justement mon Grand Frère André Trives ( car nos deux familles,la sienne et la mienne,vivaient,l'une en face de l'autre,à la Rue des Moulins,avec de surcroit,comme Grands Amis : Slimane et Omar Doudou,les charbonniers d'origine Mozabites),
Ce n'est qu'un AU REVOIR MICHEL.
J'ai gardé trés précieusement les photos que je vous avais fait à toi et Jo Rizza (Nani). Je les ferais publier auprés de certaines Associations.
Peut être que nous nous retrouverons,un jour,dans l'au delà !!!! autour d'une bonne Mouna,entre copains et nous évoquerons nos bons et mauvais souvenirs !
François Estève
Ce n'est qu'un AU REVOIR MICHEL.
J'ai gardé trés précieusement les photos que je vous avais fait à toi et Jo Rizza (Nani). Je les ferais publier auprés de certaines Associations.
Peut être que nous nous retrouverons,un jour,dans l'au delà !!!! autour d'une bonne Mouna,entre copains et nous évoquerons nos bons et mauvais souvenirs !
François Estève
Le : 28/05/2015 15:28
AU REVOIR mon cher Michel. Tu nous quittes et tu laisses l'image d'un homme de conviction, attaché à l'honneur et à la fidélité, dont l'engagement était motivé par l'amour que tu portais à ton pays et au berceau qui t'avait vu naître : BAB EL OUED.
Le : 28/05/2015 11:52
bonjour Christian et les amis de BEO
un petit mot pour dire que le Rassemblement à Rognes a été super, tout d'abord un grand merci à l'ABEO pour leur dévouement et qui permet cette rencontre.
certes c'était la fête mais hélas beaucoup d'amis nous ont quitté depuis l'année dernière et des absents pour différentes raisons,nous avons pensé très fort à eux
bisatous
et une de plus pour toi Christian et à l'année prochaine si D... veut
un petit mot pour dire que le Rassemblement à Rognes a été super, tout d'abord un grand merci à l'ABEO pour leur dévouement et qui permet cette rencontre.
certes c'était la fête mais hélas beaucoup d'amis nous ont quitté depuis l'année dernière et des absents pour différentes raisons,nous avons pensé très fort à eux
bisatous
et une de plus pour toi Christian et à l'année prochaine si D... veut