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Le : 28/10/2015 09:01
Bonjour André et toutes les fréquentations du site de Christian
Ton très beau texte sur la rue Cardinal Verdier au cimetière de St Eugène me touche tout particulièrement car je connais ce trajet par c 1/2 ur. Je demeurais avenue de la Bouzaréah, au début de cette fameuse rue du cardinal Verdier et je devais me rendre à mon école située rue Larrey au bout de cette rue, juste avant les pompes funèbres. En lisant ton texte je me revoyais cheminant cette rue et croisant les rues des moulins, J.J. Rousseau, de Normandie, du Dauphiné, profitant des effluves de notre marché de Bab el oued et plus loin celles du parfumeur Zouaï.
Effectivement, ce trajet je le faisais également le jour de la Toussaint comme presque tous mes voisins, accompagné de ma mère, frères et s 1/2 ur . Je revois ces étals de chrysanthèmes à l’angle de la rue Verdier et du Bd de Champagne, à l’abri des murs de l’hôpital Maillot. C’était une formidable explosion de couleurs jusqu’à la clinique Barbier Hugo. Que ces instants de remémorations, de souvenirs nous permettent de nous recueillir virtuellement sur les tombes de nos êtres chers abandonnés dans nos cimetières qu’ils soient chrétiens, juifs ou musulmans.
Je viens de rencontrer sur le site "répertoire PN" un ancien de la rue Léon Roches au N°6, il se nomme Michel DOMENECH, il est né en 1938. Il souhaiterait dialoguer avec d'autres anciens du quartier, alors..si le c 1/2 ur vous en dit....Belle journée à tous
Ton très beau texte sur la rue Cardinal Verdier au cimetière de St Eugène me touche tout particulièrement car je connais ce trajet par c 1/2 ur. Je demeurais avenue de la Bouzaréah, au début de cette fameuse rue du cardinal Verdier et je devais me rendre à mon école située rue Larrey au bout de cette rue, juste avant les pompes funèbres. En lisant ton texte je me revoyais cheminant cette rue et croisant les rues des moulins, J.J. Rousseau, de Normandie, du Dauphiné, profitant des effluves de notre marché de Bab el oued et plus loin celles du parfumeur Zouaï.
Effectivement, ce trajet je le faisais également le jour de la Toussaint comme presque tous mes voisins, accompagné de ma mère, frères et s 1/2 ur . Je revois ces étals de chrysanthèmes à l’angle de la rue Verdier et du Bd de Champagne, à l’abri des murs de l’hôpital Maillot. C’était une formidable explosion de couleurs jusqu’à la clinique Barbier Hugo. Que ces instants de remémorations, de souvenirs nous permettent de nous recueillir virtuellement sur les tombes de nos êtres chers abandonnés dans nos cimetières qu’ils soient chrétiens, juifs ou musulmans.
Je viens de rencontrer sur le site "répertoire PN" un ancien de la rue Léon Roches au N°6, il se nomme Michel DOMENECH, il est né en 1938. Il souhaiterait dialoguer avec d'autres anciens du quartier, alors..si le c 1/2 ur vous en dit....Belle journée à tous
Le : 26/10/2015 19:52
pour alain trives
super ton texte sur nos aieux, qui reposent sur leurs terre en algérie (et donc à alger pour les algérois.
il est vrai et je l'ai constaté en septembre 2014 que nombres de tombes ont été profanées, mais ce n'est pas tout le cimetière qui l'a été. ce sont les carrés isolés.
mais je me dois de dire que j'ai constaté aussi, que maintenant le cimetière fait l'objet d'entretien par des équipes.et cela est bien fait. J'ai reçu un bon accueil des responsables, qui m'ont aidé à trouvér la tombe que je recherchais, et qui avait été profanée, et dont j'ai fait remettre en état.
Cela n'enlève rien des profanations antérieures,mais je constate qu'ils font des efforts pour l'entretien et éviter que le cimetière se dégrade.
Ayons une pensées pour nos aïeux, qui ont la vue sur la mer et la plage de l’Éden...
super ton texte sur nos aieux, qui reposent sur leurs terre en algérie (et donc à alger pour les algérois.
il est vrai et je l'ai constaté en septembre 2014 que nombres de tombes ont été profanées, mais ce n'est pas tout le cimetière qui l'a été. ce sont les carrés isolés.
mais je me dois de dire que j'ai constaté aussi, que maintenant le cimetière fait l'objet d'entretien par des équipes.et cela est bien fait. J'ai reçu un bon accueil des responsables, qui m'ont aidé à trouvér la tombe que je recherchais, et qui avait été profanée, et dont j'ai fait remettre en état.
Cela n'enlève rien des profanations antérieures,mais je constate qu'ils font des efforts pour l'entretien et éviter que le cimetière se dégrade.
Ayons une pensées pour nos aïeux, qui ont la vue sur la mer et la plage de l’Éden...
Le : 26/10/2015 15:01
A quelques jours de la Toussaint: un hommage à nos aïeux.
La rue Cardinal Verdier
La rue Cardinal Verdier cheminait de la vie à la mort. Elle prenait naissance au marché de Bab el Oued et aboutissait au cimetière de St-Eugène. Les corbillards municipaux empruntaient régulièrement ce trajet.
Depuis des générations et chaque année jusqu'en 1961, les deux dernières semaines d'octobre, voyaient se dérouler un rituel immuable entre le marché et le cimetière ( créé en 1836 ). Une foule immense empruntait à pied et en famille ce trajet afin de rendre hommage à ses défunts. Durant deux semaines, les trottoirs regorgeaient de fleuristes occasionnels et la rue se colorait de magnifiques arcs-en ciel de chrysanthèmes. Jeunes et vieux, recueillis comme il se doit, remplissaient un devoir générationnel transmis par les us et coutumes hérités de leurs ancêtres : rénover l'encadrement des tombes en fer forgé, nettoyer la pierre des monuments, redorer les inscriptions gravées dans le marbre, désherber les alentours, fleurir sans compter vases et jardinières. Le travail était ardu, c'est pour cela qu'il était entrepris dès la mi-octobre. Pour rien au monde, les descendants de cette tradition séculaire auraient failli à la mission de relier le présent au passé. Durant cette période du souvenir, où la ferveur remettait en lumière au près des jeunes la mémoire de ceux qu'ils n'avaient pas connus, il ne serait venu à l'idée de personne d'avoir un souci autre que celui d'aller accomplir son devoir en allant se recueillir sur la tombe familiale. Les Juifs et les Chrétiens se rendaient au cimetière de St Eugène, tandis que les Musulmans grimpaient au cimetière d'El Khettar. Les choses avaient été bien pensées : il n'y avait aucune différence, tous avaient la vue sur la mer.
Il y a 54 ans, jour pour jour, en cette fin d'octobre 1961, le peuple de Bab el Oued ignorait qu'il rendait hommage à ses morts pour la dernière fois. Comment pouvait-il imaginer qu'un destin aussi injuste allait mettre fin à une tradition familiale et le contraindre à l'abandon d'un rite ancestral ? Aujourd'hui, le cimetière de St-Eugène est délabré en plusieurs endroits, les tombes abandonnées, les parterres de fleurs absents de l'hommage qui était rendu aux défunts. Il existe toujours des visages pétrifiés dans la porcelaine sur les livres de marbre. Leurs regards souriants restent imperturbables dans le silence des allées désertes. Ils ont fini par prendre l'habitude depuis tout ce temps : personne ne viendra les visiter. Les herbes hautes, les monuments penchés, la rouille épaisse des fers forgés, témoignent que la tradition de la Toussaint ne reviendra plus. Seul le gazouillement éternel des moineaux dans les cyprès ravivent un semblant de gaieté comme un clin d'oeil à l'oubli. Tout les décors sont à leur place : les cris du stade sont toujours là, la mer bleue aussi est à deux pas, tout comme le ciel azur qui descend des collines de Sidi Bennour. Non, les décors n'ont pas changé.
Depuis 1962, dans le monde où l'on nous a obligés à vivre, y a-t-il un enfant de Bab el Oued qui ait trouvé dans la docte société métropolitaine, ou dans la savante littérature qui s'entasse dans la poussière des bibliothèques, un Directeur de Conscience ou un Maître à Penser ? Moi, jamais! Tous ceux qui ont construit les valeurs auxquelles je crois, les exemples auxquels je me réfère, demeurent toujours présents au cimetière de Saint-Eugène.
La rue Cardinal Verdier
La rue Cardinal Verdier cheminait de la vie à la mort. Elle prenait naissance au marché de Bab el Oued et aboutissait au cimetière de St-Eugène. Les corbillards municipaux empruntaient régulièrement ce trajet.
Depuis des générations et chaque année jusqu'en 1961, les deux dernières semaines d'octobre, voyaient se dérouler un rituel immuable entre le marché et le cimetière ( créé en 1836 ). Une foule immense empruntait à pied et en famille ce trajet afin de rendre hommage à ses défunts. Durant deux semaines, les trottoirs regorgeaient de fleuristes occasionnels et la rue se colorait de magnifiques arcs-en ciel de chrysanthèmes. Jeunes et vieux, recueillis comme il se doit, remplissaient un devoir générationnel transmis par les us et coutumes hérités de leurs ancêtres : rénover l'encadrement des tombes en fer forgé, nettoyer la pierre des monuments, redorer les inscriptions gravées dans le marbre, désherber les alentours, fleurir sans compter vases et jardinières. Le travail était ardu, c'est pour cela qu'il était entrepris dès la mi-octobre. Pour rien au monde, les descendants de cette tradition séculaire auraient failli à la mission de relier le présent au passé. Durant cette période du souvenir, où la ferveur remettait en lumière au près des jeunes la mémoire de ceux qu'ils n'avaient pas connus, il ne serait venu à l'idée de personne d'avoir un souci autre que celui d'aller accomplir son devoir en allant se recueillir sur la tombe familiale. Les Juifs et les Chrétiens se rendaient au cimetière de St Eugène, tandis que les Musulmans grimpaient au cimetière d'El Khettar. Les choses avaient été bien pensées : il n'y avait aucune différence, tous avaient la vue sur la mer.
Il y a 54 ans, jour pour jour, en cette fin d'octobre 1961, le peuple de Bab el Oued ignorait qu'il rendait hommage à ses morts pour la dernière fois. Comment pouvait-il imaginer qu'un destin aussi injuste allait mettre fin à une tradition familiale et le contraindre à l'abandon d'un rite ancestral ? Aujourd'hui, le cimetière de St-Eugène est délabré en plusieurs endroits, les tombes abandonnées, les parterres de fleurs absents de l'hommage qui était rendu aux défunts. Il existe toujours des visages pétrifiés dans la porcelaine sur les livres de marbre. Leurs regards souriants restent imperturbables dans le silence des allées désertes. Ils ont fini par prendre l'habitude depuis tout ce temps : personne ne viendra les visiter. Les herbes hautes, les monuments penchés, la rouille épaisse des fers forgés, témoignent que la tradition de la Toussaint ne reviendra plus. Seul le gazouillement éternel des moineaux dans les cyprès ravivent un semblant de gaieté comme un clin d'oeil à l'oubli. Tout les décors sont à leur place : les cris du stade sont toujours là, la mer bleue aussi est à deux pas, tout comme le ciel azur qui descend des collines de Sidi Bennour. Non, les décors n'ont pas changé.
Depuis 1962, dans le monde où l'on nous a obligés à vivre, y a-t-il un enfant de Bab el Oued qui ait trouvé dans la docte société métropolitaine, ou dans la savante littérature qui s'entasse dans la poussière des bibliothèques, un Directeur de Conscience ou un Maître à Penser ? Moi, jamais! Tous ceux qui ont construit les valeurs auxquelles je crois, les exemples auxquels je me réfère, demeurent toujours présents au cimetière de Saint-Eugène.
Le : 25/10/2015 13:51
pour manuel
et oui tout comme toi je pense que nous sommes comme les derniers des mohicans, et que ce site ne viE qu'avec nous et aura de la peine à survivre.
mais en attendant Faut en profiter ...
non simplement nous pouvons échanger, mais de plus cela, peu parfois être un exutoire d'expression de notre nostalgie. en y racontant quelques anedoctes comme l'on fait récemment TRIVES, BILLOTA et autre. On est sur que le lecteur comprendra, ressentira, les émotions (quand nous parlons de noyaux, de carrioles à roulement, des plages des lieux; certains de nous revoie le geste pour faire rouler la toupie, réentendrons le bruit des roulement à billes, et ressentirons physiquement la difficulté à contrôler les carrioles.
Lorsque sur le site nous échangeons nostalgiquement mais joyeusement c'est sur notre enfant et notre adolescence, nous nous comprenons très vite, car chacun de nous visualise les lieux, les gens, les parfums, les couleurs. Pour eux ce ne sont que des mots, pour nous des émotions!!émotions peut être trop exacerbées, par le départ de notre terre.
mes enfants petits enfant etc sont intéressés par mes racines,mais leur vie est en France,et de leurs souvenirs il en est de même..
Pour moi si la FRANCE est devenue ma terre, que j'aime, dans laquelle je me sens bien, elle ne pourra pas être ma terre natale.
ne dit on pas que un enfant tout se fait les premières années... et nos premières années c'était la bas..
alors profitons de ce site, crée par TIMONER CHRISTIAN, animés par tous les participant et MUSTAPHA OUALIKENE, qui en plus de nous avoir côtoyés dans notre enfance et adolescences, est notre reporter sur place...
PROFITONS EN!!! :) :)
et oui tout comme toi je pense que nous sommes comme les derniers des mohicans, et que ce site ne viE qu'avec nous et aura de la peine à survivre.
mais en attendant Faut en profiter ...
non simplement nous pouvons échanger, mais de plus cela, peu parfois être un exutoire d'expression de notre nostalgie. en y racontant quelques anedoctes comme l'on fait récemment TRIVES, BILLOTA et autre. On est sur que le lecteur comprendra, ressentira, les émotions (quand nous parlons de noyaux, de carrioles à roulement, des plages des lieux; certains de nous revoie le geste pour faire rouler la toupie, réentendrons le bruit des roulement à billes, et ressentirons physiquement la difficulté à contrôler les carrioles.
Lorsque sur le site nous échangeons nostalgiquement mais joyeusement c'est sur notre enfant et notre adolescence, nous nous comprenons très vite, car chacun de nous visualise les lieux, les gens, les parfums, les couleurs. Pour eux ce ne sont que des mots, pour nous des émotions!!émotions peut être trop exacerbées, par le départ de notre terre.
mes enfants petits enfant etc sont intéressés par mes racines,mais leur vie est en France,et de leurs souvenirs il en est de même..
Pour moi si la FRANCE est devenue ma terre, que j'aime, dans laquelle je me sens bien, elle ne pourra pas être ma terre natale.
ne dit on pas que un enfant tout se fait les premières années... et nos premières années c'était la bas..
alors profitons de ce site, crée par TIMONER CHRISTIAN, animés par tous les participant et MUSTAPHA OUALIKENE, qui en plus de nous avoir côtoyés dans notre enfance et adolescences, est notre reporter sur place...
PROFITONS EN!!! :) :)
Le : 25/10/2015 13:15
pour mustapha
bonjour
comment vas tu? N'oublie pas de regarder ta boite émail.
je voie qu'en répondant aimablement sur la polémique concernant l'ennui
de la personne qui signe "une amie", tu réponds avec la grande sagesse qui t"habite..
Mais voici ce que tu écrivais en septembre au sujet de cette "amie" qui ne voulait pas se dévoiler :
citation "Pour la dame qui signe ses messages " une amie" je pense qu'elle adore le jeu de devinettes. Pour notre amie Andree l'avait supplier de se faire connaitre. Mais apparemment il ne s'agit d'une personne ( peut être même d'un homme) qui veut s'amuser et qui se cache derrière la signature "une amie" je demande à Andree et à tous de ne pas tomber dans le piège et de ne plus repondre tant que cette mystérieuse personne ne se fait pas connaître. Nous ne sommes pas ici sur ce site pour jouer aux devinettes".
je pense que c'est toujours la même "amie", qui s'est toujours pas dévoilée.
Qu'elle dévoile ou non à peu d'importance, ce qui importe c'est qu'elle essaie éventuellement de converser réellement, en étant constructive, et non critique défavorable!!!
hors je crains que comme tu dis elle adore jouer, et a d'ailleurs permis cette petite série d'émail..
bonjour
comment vas tu? N'oublie pas de regarder ta boite émail.
je voie qu'en répondant aimablement sur la polémique concernant l'ennui
de la personne qui signe "une amie", tu réponds avec la grande sagesse qui t"habite..
Mais voici ce que tu écrivais en septembre au sujet de cette "amie" qui ne voulait pas se dévoiler :
citation "Pour la dame qui signe ses messages " une amie" je pense qu'elle adore le jeu de devinettes. Pour notre amie Andree l'avait supplier de se faire connaitre. Mais apparemment il ne s'agit d'une personne ( peut être même d'un homme) qui veut s'amuser et qui se cache derrière la signature "une amie" je demande à Andree et à tous de ne pas tomber dans le piège et de ne plus repondre tant que cette mystérieuse personne ne se fait pas connaître. Nous ne sommes pas ici sur ce site pour jouer aux devinettes".
je pense que c'est toujours la même "amie", qui s'est toujours pas dévoilée.
Qu'elle dévoile ou non à peu d'importance, ce qui importe c'est qu'elle essaie éventuellement de converser réellement, en étant constructive, et non critique défavorable!!!
hors je crains que comme tu dis elle adore jouer, et a d'ailleurs permis cette petite série d'émail..
Le : 25/10/2015 10:49
Bonjour Mustapha,merci pour le message,pas de problèmes, j'attendais que vous aurez la gentillesse de mettre de nouvelles photos,merci encore,bonne journée. À bientôt
Le : 25/10/2015 10:42
A Mustapha, Cher ami, Eh bien oui cher ami, il y a comme çà des soirées de lassitude que connaissent probablement tous les exilés . Mais vois-tu je crains que lorsque ma génération, (celle de mon copain de classe André ) va s'éteindre ,une page importante de nôtre vie va se perdre dans les méandres de l'Histoire. Pourquoi ? parce que nous sommes parmi les derniers témoins visuels a avoir payer par la chair et par le sang ce drame terrible qui nous a frapper . Alors , après nous , sans forfanterie de ma part , je suis persuadé que cette terre qui nous a vu naître et que nous aimons tant aura cesser d'exister Je le pressens avec mes enfants les grands et les petits .et j'arrive à les comprendre. . " Alors aux soirs de lassitude, tout en peuplant ma solitude des fantômes du souvenir......." Nostalgie quand tu nous tiens....Avec toujours dans mes pensées le même parfum d'amitié. Fraternellement,
Le : 25/10/2015 08:34
Un article publié dans le figaro magazine le 11 courant, m'a fait sortir de mes gonds.Il émane de Valérie Grousset journaliste . Je m'autorise à lui répondre par une lettre ouverte. Madame, je découvre vôtre article du 11 courant publié dans le figaro magazine où vous parlez du problème des réfugiés .je suis stupéfait quand vous écrivez :"1,2 millions de pieds noir et de harkis brutalement déracinés en 1962 par par la décolonisation sanglante du maghreb n'ont pas été accueillis en France à bras ouverts loin de là, "-et vous ajoutez- " mais leurs descendants ne sont pas moins devenus des excellents Français." Reprenez l' HISTOIRE madame. Français nous l'étions et nous le sommes.FRANCAIS , il l'étais mon père à monté -Cassino, FRANCAIS il l'était mon oncle entré parmi les premiers à PARIS avec l'armée de Leclerc, FRANCAIS il l'était mon parrain fait prisonnier et croupissant dans son stalag, FRANCAIS il l'était mon cousin couvert d'honneur en Indochine...et tant d'autres. NON madame, moi un descendant, je ne suis pas un " DEVENU " Respectueusement,
Le : 24/10/2015 21:36
Ce soir je ne comprend pas ce qui vous arrive mes amis(es ) J'ai même remarquer que certains signent leurs messages par (Un ou une Ami "e") je vous dis tout de suite chacun est libre décrire et signer ce que bon lui semble nous ne sommes pas la pour juger. Pour la personne qui a signer une amie et qui semble s’ennuyer sur le site je lui demande si elle a quelque chose à ajouter sur la messagerie pour égayer un soit peut le site qu'elle ne se gêne pas nous sommes tous preneur. Sans entrer trop dans la polémique je demande à cette charmante dame de prendre son mal en patience dans peut de temps je vous promet vous aurez de belles photos et de beaux récits. Mais ne soyez pas trop dure avec tout les intervenants qui nous font l'honneur décrire pour que les pages du site ne restent pas blanches et que "NE A BAB EL OUED" ne tombe dans l'oublie. Merci à toutes et tous Amitié à toutes et tous.
Le : 24/10/2015 17:46
"le site commence à m'ennuyer"...
1ère proposition : t'as qu'a aller voir ailleurs...
2ème proposition : qu'est-ce-que tu proposes au lieu de critiquer...
1ère proposition : t'as qu'a aller voir ailleurs...
2ème proposition : qu'est-ce-que tu proposes au lieu de critiquer...