Liste des messages
De : Robert Falzon
Le : 06/04/2016 16:15
Christian
Condoléances pour le DC de Georges
Condoléances pour le DC de Georges
De : pierre antoine liguori
Le : 05/04/2016 23:18
Mes condoleances
De : Médinet christian
Le : 05/04/2016 18:02
j'envoi ce message pour faire part du décès de mon frère ainé Georges Médinet survenu le 04/04/16.Avec mes parents mes frères Daniel.Marcel,ma soeur Michelle et moi-meme nous habitions dans la cité des messageries au 4 RUE de la Consolation.Qu'il repose en paix.
De : sola barthélémy
Le : 05/04/2016 09:34
à tous
si je peux me permettre, et je le fais
je vous conseille d'acquérir le livre
'l'algerie de ma mémoire 1930 1962" de laurent chollet
à acheter sur amazon ou autre
rempli d'images d'époque, il retrace très bien 1930 à 1962
un livre sur l'environnement et la vie courante, de notre enfance, tant les jeux, que les lieux, pas de polémique ni de prise de position..
à plus amis
si je peux me permettre, et je le fais
je vous conseille d'acquérir le livre
'l'algerie de ma mémoire 1930 1962" de laurent chollet
à acheter sur amazon ou autre
rempli d'images d'époque, il retrace très bien 1930 à 1962
un livre sur l'environnement et la vie courante, de notre enfance, tant les jeux, que les lieux, pas de polémique ni de prise de position..
à plus amis
De : sola barthélémy
Le : 05/04/2016 09:17
pour robert voirin
pour terminer ta tirade
je rajouterai "et nous y sommes arrivés magistralement"
bonjour à tout les bab el ouetien,
un ami de bab el djid (fort de la casbah, eglise ste croix,) et du ruisseau
pour terminer ta tirade
je rajouterai "et nous y sommes arrivés magistralement"
bonjour à tout les bab el ouetien,
un ami de bab el djid (fort de la casbah, eglise ste croix,) et du ruisseau
De : Robert VOIRIN
Le : 04/04/2016 20:42
CORPS ET AME
Pas besoin de '' sortir de la cuisse de Jupiter '' pour savoir ce qui nous attendait,
l' homme qui avait '' menti comme un arracheur de dents '' nous avait abandonnés,
sa promesse non tenue était '' restée en travers de la gorge '' des Pieds Noirs
et ressentie comme '' le coup de poignard dans le dos '' de notre Histoire.
Ce fut alors '' la mort dans l'âme '' qu'on a dû '' tourner les talons ''
en évitant de '' risquer sa peau '' et de se '' mettre la rate au court bouillon '',
c'est sans '' tendre l'autre joue '' qu'on a fait '' contre mauvaise fortune bon c 1/2 ur ''
même si on en avait '' jusqu'au cou '' de nos malheurs.
Bien que cette trahison allait nous '' rester sur l'estomac '' très longtemps
on a voulu arrêter de '' se faire du mauvais sang '',
malgré notre '' mal de crâne '' on a tout fait '' pour '' reprendre ses esprits ''
et pour ne plus '' se faire de bile '' dans cette nouvelle vie.
Au début notre souci était de '' poser ses fesses quelque part '' en France
alors qu'on allait être accueillis non pas '' à bras ouverts '' mais avec méfiance
par ceux qui nous '' mettaient à l'index '' et qui nous '' avaient dans le nez '',
mais on était là '' en chair et en os '' malgré les '' mauvaises langues '' mal intentionnées.
Tout cela nous faisait '' une belle jambe '' malgré ce mauvais accueil
et pour nous ils pouvaient se '' mettre le doigt dans l'oeil '',
et comme on avait '' les reins solides'' on s'est mis à '' travailler à la force du poignet ''
en '' faisant front '' jusqu'à '' se mettre sur les genoux '' tellement on était déterminés.
Heureusement qu'on avait '' quelque chose dans le ventre '' qui nous faisait oublier notre peine,
on allait se '' battre bec et ongles '' '' serrer les coudes '' en se '' saignant aux quatre veines ''
sans '' guerre des nerfs '' et sans '' s'arracher les cheveux '' pour enfin
grace à nos '' épaules larges '' bien tenir '' les choses en main ''.
Pour cela on ne devait ni '' faire la fine bouche '' ni avoir '' les chevilles enflées ''
et si par moment on ne savait plus où '' donner de la tête '' alors on se disait
qu' il y avait '' loin de la coupe aux lèvres '' et qu'il ne fallait pas qu'on s'imagine
se '' prendre pour le nombril du monde '' en se '' gonflant la poitrine ''.
Malgré tout on a voulu montrer '' bonne figure '' et '' dormir sur nos deux oreilles ''
en espérant se mettre un jour '' les orteils en éventail '' et … au soleil.
Robert Voirin
Pas besoin de '' sortir de la cuisse de Jupiter '' pour savoir ce qui nous attendait,
l' homme qui avait '' menti comme un arracheur de dents '' nous avait abandonnés,
sa promesse non tenue était '' restée en travers de la gorge '' des Pieds Noirs
et ressentie comme '' le coup de poignard dans le dos '' de notre Histoire.
Ce fut alors '' la mort dans l'âme '' qu'on a dû '' tourner les talons ''
en évitant de '' risquer sa peau '' et de se '' mettre la rate au court bouillon '',
c'est sans '' tendre l'autre joue '' qu'on a fait '' contre mauvaise fortune bon c 1/2 ur ''
même si on en avait '' jusqu'au cou '' de nos malheurs.
Bien que cette trahison allait nous '' rester sur l'estomac '' très longtemps
on a voulu arrêter de '' se faire du mauvais sang '',
malgré notre '' mal de crâne '' on a tout fait '' pour '' reprendre ses esprits ''
et pour ne plus '' se faire de bile '' dans cette nouvelle vie.
Au début notre souci était de '' poser ses fesses quelque part '' en France
alors qu'on allait être accueillis non pas '' à bras ouverts '' mais avec méfiance
par ceux qui nous '' mettaient à l'index '' et qui nous '' avaient dans le nez '',
mais on était là '' en chair et en os '' malgré les '' mauvaises langues '' mal intentionnées.
Tout cela nous faisait '' une belle jambe '' malgré ce mauvais accueil
et pour nous ils pouvaient se '' mettre le doigt dans l'oeil '',
et comme on avait '' les reins solides'' on s'est mis à '' travailler à la force du poignet ''
en '' faisant front '' jusqu'à '' se mettre sur les genoux '' tellement on était déterminés.
Heureusement qu'on avait '' quelque chose dans le ventre '' qui nous faisait oublier notre peine,
on allait se '' battre bec et ongles '' '' serrer les coudes '' en se '' saignant aux quatre veines ''
sans '' guerre des nerfs '' et sans '' s'arracher les cheveux '' pour enfin
grace à nos '' épaules larges '' bien tenir '' les choses en main ''.
Pour cela on ne devait ni '' faire la fine bouche '' ni avoir '' les chevilles enflées ''
et si par moment on ne savait plus où '' donner de la tête '' alors on se disait
qu' il y avait '' loin de la coupe aux lèvres '' et qu'il ne fallait pas qu'on s'imagine
se '' prendre pour le nombril du monde '' en se '' gonflant la poitrine ''.
Malgré tout on a voulu montrer '' bonne figure '' et '' dormir sur nos deux oreilles ''
en espérant se mettre un jour '' les orteils en éventail '' et … au soleil.
Robert Voirin
De : PARCQ Robert
Le : 04/04/2016 11:25
ça y est ,maintenant y en a qui tapent la classe comme ceux de la rue Michelet lorsqu'ils parlaient de Bab el oued!!!!
Les oualiones du 5 venaient du même sud de l'italie que ceux du 1bd de provence,alors les 100m qui nous séparaient étaient-ils propices à plus de retenue? Chiquet!!!!!
Amitiés sincères à un "prochedan"
Les oualiones du 5 venaient du même sud de l'italie que ceux du 1bd de provence,alors les 100m qui nous séparaient étaient-ils propices à plus de retenue? Chiquet!!!!!
Amitiés sincères à un "prochedan"
De : mrscottodivettimo
Le : 03/04/2016 21:19
J'ai connu aussi Robert salvat comme le joueur du Gallia c'était un copain qui allait a sigwalt aussi je crois il habitait près de la banqueil était plus jeune que moi j'avais comme copains Dédé titi petrosino antoine liguori dit toto et astarita le plus jeune Dédé cmenella après y avait la bande de chez me Gilles à côté du moutchou ou on buvait le selecto après le match il avait aussi François sannino que. Je vois a Nice tout ça c'est loin mais c notre jeunesse dans la rue qu'on frequentaig beaucoup et le jardin public de lavenue des consulat qu'on transformait en stade.Quand les gens parlent de babeloued il ne savent pas que cetait presque quasi grand que Nice ou jhabite avec les grands cinémas et le marche de hem
ou les deux gens venaient de loin faire leur marche.
ou les deux gens venaient de loin faire leur marche.
De : me Scotto di vettimo michel
Le : 03/04/2016 21:01
Marylise vous etiez une petite fille blonde qui habitait dans une grande maison ma soeur vous connaissait. Moi n'habitait au5 BD de Provence le plus sage des messageries alors que le 1er c'était vrai ment la foire pardon pour eux mais ça vivait plus ça bougeait quoi!
De : sarrazin georges
Le : 02/04/2016 18:01
bonjour amical à vous tous babeloued .je n'ai toujours pas retrouver michèle martinez du 16 rue jean jaques rousseau babeloued- elle vivait chez ses grands parents mr farèse; c'etait une voisine ;je la recherche par amitié car j'ai retrouvé tous mes copains à rogne. c'est vrais que je ne suis pas retourner depuis .bien amicalement à vous tous.
