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Le : 29/06/2016 09:56
Je vous présente au nom de toute la famille Lopez et Pina nos sincères condoléances . Que votre chère maman repose en paix auprès de ceux qui l'ont précédés et aimés . Bon nombres de personnes de la Consolation portent dans leurs coeurs la famille Caselles . Ou sera inhumée votre maman ?
Le : 29/06/2016 08:34
Nous venons de perdre notre maman zezette ou Mme André pour la consolation , elle tenait avec mon père le magasin de tabac vins et journaux au 50 avenue Malakoff puis ils avaient pris le bar de PASSARO
derneir avant d'arriver au cimetierre de Ste Eugéne. Elle avait 92 ans mais conduisait toujours et cuisinait surtout les mounas, les mantecaos, la calentita etc...Son c 1/2 ur s'est éteint subitement Cela va être un grand vide.
derneir avant d'arriver au cimetierre de Ste Eugéne. Elle avait 92 ans mais conduisait toujours et cuisinait surtout les mounas, les mantecaos, la calentita etc...Son c 1/2 ur s'est éteint subitement Cela va être un grand vide.
Le : 28/06/2016 16:00
naçera,comment tu vas,toujours a paris?
et quelles que virees a bab el oued.
veinarde.a bientot.
Le : 27/06/2016 21:22
C'EST PAS DES BLOFFES
En ce mois de juin soixante deux y avait un drôle de fourbi dans Alger,
Bab El Oued il était complètement déserté,
où y zétaient les falempos , les laouères, les blagues à mort, les falsos,
les oualiounes , les doubles tchatche, les stokafiches, les calbos,
les bourricots, les jmaous, les zbibeurs, les babaos, les gigasses,
les kilos, les boudjadjis, les gavatchos, les fartasses,
les brèles, les sloughis, les bovos, les boularias,
les guitches, les tapeurs de brosse, les ouellos et les ouellas.
Où y zétaient les canusses et tous les calamars boiteux réunis,
y zavaient disparu de ce quartier qui avait été leur paradis,
alors les pôvres y zont été obligés de faire scapa
et c'est fissa qu'ils ont rempli à la babala les couffins, les cabassettes et tout le barda
avant de se précipiter sur les quais bondés
où sans chikayas ils ont fait la chaîne et ont taché moyen de s'embarquer.
Dans le bateau en parlant de leur avenir ils disaient à saouar
tellement qu'ils étaient tombés dans le désespoir,
avec ce coup de zouzguef c'était sur que pour des gamates on les avait pris
et tout juste si on les avait pas enfermés chez Roubi.
Pour ne pas perdre la fugure que presque on les aurait envoyés à Barberouse ou à Tataouine
ils se sont accrochés à la vie comme des arapèdes les michquines,
ils sont partis bessif à la zdague pour un aller sans retour en évitant d'aregarder en errière,
akarbi ils ont montré tout leur courage malgré cette misère.
Ils s'étaient fait avoir par des paroles verbales si c'est pas une honte,
oui ma parole d'honneur c'est pas des bloffes tout ça que j'vous raconte.
Robert Voirin
En ce mois de juin soixante deux y avait un drôle de fourbi dans Alger,
Bab El Oued il était complètement déserté,
où y zétaient les falempos , les laouères, les blagues à mort, les falsos,
les oualiounes , les doubles tchatche, les stokafiches, les calbos,
les bourricots, les jmaous, les zbibeurs, les babaos, les gigasses,
les kilos, les boudjadjis, les gavatchos, les fartasses,
les brèles, les sloughis, les bovos, les boularias,
les guitches, les tapeurs de brosse, les ouellos et les ouellas.
Où y zétaient les canusses et tous les calamars boiteux réunis,
y zavaient disparu de ce quartier qui avait été leur paradis,
alors les pôvres y zont été obligés de faire scapa
et c'est fissa qu'ils ont rempli à la babala les couffins, les cabassettes et tout le barda
avant de se précipiter sur les quais bondés
où sans chikayas ils ont fait la chaîne et ont taché moyen de s'embarquer.
Dans le bateau en parlant de leur avenir ils disaient à saouar
tellement qu'ils étaient tombés dans le désespoir,
avec ce coup de zouzguef c'était sur que pour des gamates on les avait pris
et tout juste si on les avait pas enfermés chez Roubi.
Pour ne pas perdre la fugure que presque on les aurait envoyés à Barberouse ou à Tataouine
ils se sont accrochés à la vie comme des arapèdes les michquines,
ils sont partis bessif à la zdague pour un aller sans retour en évitant d'aregarder en errière,
akarbi ils ont montré tout leur courage malgré cette misère.
Ils s'étaient fait avoir par des paroles verbales si c'est pas une honte,
oui ma parole d'honneur c'est pas des bloffes tout ça que j'vous raconte.
Robert Voirin
Le : 27/06/2016 11:53
Merci Merzak.
C'était mon quartier, donc les rues avoisinantes je les connais très bien.
D'ailleurs elle est parallèle à la rue Barra ( Sid Ali Aouf ).
Mes amitiés à ta famille.
C'était mon quartier, donc les rues avoisinantes je les connais très bien.
D'ailleurs elle est parallèle à la rue Barra ( Sid Ali Aouf ).
Mes amitiés à ta famille.
Le : 27/06/2016 11:34
A Nacéra.
C'est bien Cavelier et non Cavalier. J'ai des amis qui habitent cette rue.
Bonjour à toute ta famille.
Merzak.
Le : 27/06/2016 09:59
A Mustapha.
Il s'agit bien de Cavelier de La Salle et non Cavalier.Né à Rouen ; je ne pense pas qu'il y ait erreur d'orthographe car nombreuses sont les rues portant son nom en France.
Voir sa biographie .
Tout comme toi, mes parents habitent à deux pas de cette rue et je peux te dire que lorsque je me rendais au lycée c'était passage obligé.
Il s'agit bien de Cavelier de La Salle et non Cavalier.Né à Rouen ; je ne pense pas qu'il y ait erreur d'orthographe car nombreuses sont les rues portant son nom en France.
Voir sa biographie .
Tout comme toi, mes parents habitent à deux pas de cette rue et je peux te dire que lorsque je me rendais au lycée c'était passage obligé.
Le : 27/06/2016 09:09
A jean-pierre ROS
le problème chez les Pieds-noirs, c'est que nous sommes tous anciens. Un enfant né en 62, aurait aujourd'hui 54 ans, Les autres on en parle même pas, 70 ans par en haut. :-)
et ouais.....!
amitiés PN
le problème chez les Pieds-noirs, c'est que nous sommes tous anciens. Un enfant né en 62, aurait aujourd'hui 54 ans, Les autres on en parle même pas, 70 ans par en haut. :-)
et ouais.....!
amitiés PN
Le : 27/06/2016 06:12
Pour Frédérique Sobac cette rue qui est à une centaine de mètres de mon domicile portait bien le nom de Cavalier( non Cavelier) de la Salle. C'est juste une petite rectification de l'ancienne appellation afin que tous le monde sache écrire la bonne orthographe à l'avenir.
Le : 26/06/2016 12:02
A Monsieur Sobac.
La rue Cavelier de la Salle , aujourd'hui rue des frères Bellazoug.
Elle débutait par le haut du boulevard Guillemin ( Taleb Abderrahmane ou Ahmed Rahmen??). Escalier qui aboutissait à la rue Livingstone ( frères Achache), puis la rue Robert Estoublon (Azzouz Tahar), la rue Montaigne (Boukhezer Ahmed) et finissait à l'avenue de la Bouraréah non loin du cinéma le Marignan.
La rue Cavelier de la Salle , aujourd'hui rue des frères Bellazoug.
Elle débutait par le haut du boulevard Guillemin ( Taleb Abderrahmane ou Ahmed Rahmen??). Escalier qui aboutissait à la rue Livingstone ( frères Achache), puis la rue Robert Estoublon (Azzouz Tahar), la rue Montaigne (Boukhezer Ahmed) et finissait à l'avenue de la Bouraréah non loin du cinéma le Marignan.