pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : Sylvette FéderzoniEnvoyer un mail

Le : 10/01/2017 14:47

Bonjour Mustapha,

C'est vrai il y a un bon moment que je ne venais pas donner
de mes nouvelles.... J'ai été fatiguée...mais cela va
beaucoup mieux!!
Mustapha tu m'as très bien reçu chez toi...tu te souviens
nous étions quatre à être invité pour l'apéritif puis
pour un succulent repas!! Tu nous a accompagné pour visiter
Bal El Oued, puis Notre Dame d'Afrique, le Front de mer, et
nous avons été au Tantonville, puis tu nous a accompagné à
notre hôtel. J'en garde un très bon souvenir.
Merci de ton amitié. Très belle année pour toi et ta Famille.
Bises amicales.


 

De : AliciaEnvoyer un mail

Le : 10/01/2017 10:12

Bonjour,

Journaliste, je me penche sur l'histoire du vin algérien, notamment le Sidi-Brahim. Je découvre que beaucoup d'entre vous, beaucoup de vos proches ont travaillé à l'époque dans les vignes, l'embouteillage ou la commercialisation des vins VIGNA et cie. J'adorerais en discuter avec vous, pour faire revivre ces moments.

Serait-il possible d'échanger par mail dans un premier temps?

Merci à vous,
Cordialement,
Alicia Bourabaâ
((bourabaaalicia(@)gmail.com

 

De : Jean Robert Pivon SalaEnvoyer un mail

Le : 09/01/2017 13:50

Bonne Année à toutes et tous.
Feliç any nou.
Prospero año nuevo.
Felice anno nuovo.
A sena tajba.

 

De : BAPCERES HenriEnvoyer un mail

Le : 08/01/2017 14:37

Bravo pour toutes ces photos.
Bonne année à tous
Bonjour de la Réunion
Bonjour à mon ami Bouchenafa
Henri

 

De : jeannine molinesEnvoyer un mail

Le : 07/01/2017 13:47

bonjour a vous tous
j'ai travailler a la banque James rosa a Alger
nous préparions les billets de loterie
il y avait fille avec qui j'avais une grande complicité mais malheureusement que je n'arrive pas a la retrouver
je ne me rappelle plus très bien de son nom
Christine ou Danielle linares ou elinares elle n’étais pas très grand nous étions souvent ensemble
j'aimerais retrouver des personnes qui ont travailler avec moi
j'ai déposer des photo de ces bon moment
que j'aimerais retrouver tout se petit monde
le sous directeur s’appeler monsieur duval
merci a vous de m'aider

regarder la photo

 

De : Marylise Soler épouse Alai DurandEnvoyer un mail

Le : 05/01/2017 22:06

A Roger Martinez Bonne nuit. Avez-vous trouvé la recette que je vous ais envoyée sur la petite enveloppe jaune à coté de votre nom? Amitiés . Marylise.

 

De : georges DuraEnvoyer un mail

Le : 05/01/2017 21:39

Pour ALBERTINI Guy
je vous écris se jour pas de réponse de votre part.
j'attend votre réponse
cordialement



 

De : Pascoet IrèneEnvoyer un mail

Le : 05/01/2017 13:26

Bonne année à tous.
Je suis pieds noirs par mon mariage en 1962 avec Renè Pascoet décédé en 2010 né à Orléansville en 1936. Il a fui en juin 1962 et atteri à Marseille. Nous nous sommes connus en 1957 et j'ai eu la joie de connaitre l'Algérie en 1961 et 1962. Mon mari voulait que je devienne "Pieds Noirs" et je le suis devenue. Mes 4 enfants et 11 petits enfants revendiquent très fort leurs origines à la fois espagnole, maltaise et bretonne. Je n'ai pas les mêmes regrets que vous n'étant pas née en Algérie mais j'ai comme vous "mal à l'Algérie". J'ai lu Le Berger de Mostaganem et j'ai été très ému.
bien amicalement

 

De : VIDALEnvoyer un mail

Le : 05/01/2017 09:15

Lorsque nous avons pris le bateau ce matin là de juin 62 (l’avion pour certains) pour la terre de France, nous pensions que notre galère était terminée. Les bombes, les morts, le sang versé, les larmes, c’était dernière nous. Nous ne savions pas que le pire était à venir par l’accueil que nous avons reçu en métropole et notamment à Marseille avec cette banderole « les Pieds noirs à la mer, vous n’êtes pas les bienvenus, retournez dans votre pays » ne l’oublions JAMAIS !

Dans l’histoire du monde il y eut d’autres malheurs bien pires que le notre, mais à ma connaissance, jamais les victimes ont été désignés comme bourreaux, ce fut notre cas. Et cela continue 54 ans après.

Alors bien sur la nostalgie, mais notre seul combat serait d’être réhabilité. Nous n’étions pas des colons exploiteurs, monté sur un cheval et fumant le cigare, faisant suer le burnous aux pauvres indigènes. 97% des Pieds noirs étaient des ouvriers, des petits commerçants ou petits fonctionnaires. Il existait en Algérie, selon les historiens indépendants, 12 familles très très riches et une centaine de familles riches, sur un million cela fait peu. Il faudra que l’on m’explique comment un ouvrier peut exploiter un autre ouvrier. Et notamment à BEO, ce quartier populaire, bien loin du cliché du colon exploiteur.

Bien sur que ce pays nous manque, mais là est le combat que nous devons mener, c’est un devoir, un devoir de mémoire.

Vive nous !


 

De : André TRIVESEnvoyer un mail

Le : 05/01/2017 08:30

Ils soient nostalgiques

 

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