Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

Bonjour,
J'ai été élève à Notre Dame d'Afrique en 1960-1961 et 1961-1962.
J'aimerais savoir si je peux retrouver une photo de classe. Je me souviens très bien de l'établissement, la cour, le préau etc.
Je suis heureux de voir que le souvenir de ce collège ne disparait pas.

Très sincèrement
Bernard Birkel

Bonjour Michel

La Clinique des Orangers se trouve à la Colonne Voirol (ancienne
appellation) et dépend de la commune de Birmandreis à 4-5km du centre
ville.C'est le quartier du "Golf",
Nous c'était surtout les Bains de Chevaux, l´Eden, l'Olivier, ies Deux
Chamaux...etc.
Bonjour à tous les anciens de Sigwalt.

Bonne journée.

bonjour merzak,

et la clinique des orangers?

je fais pas un listing des cliniques,mais c'est pour retrouver celle ou est nè

un ami en 62.merçi

MERÇI MERZAK

La Clinique des Rosiers se trouve à El Biar.

Bonne journée.

BONJOUR A VOUS,qui peut me dire ou se situer la clinique des ROSIERS

a ALGER,svp merçi

A L'âge de 16 ans et en 1961, j'étais stagiaire à la SHRM (Société Hôtelière de Ravitaillement Maritime) située au port d'Alger sous les voûtes. Entre 12 et 14h nous prenions, avec qques employés, un passeur qui nous emmenait à la pointe de la jetée et nous allions à la piscine côté port et non mer. Cette piscine n'avait qu'une délimitation par des flotteurs. Je ne me souviens pas si cette piscine avait un nom.

Clochemerle au "môle cassé" Port d'Alger.
Dans les années 1946-1947, ce sympathique passeur "Hadj" que les Algérois du moment ne sauraient oublier
, est traduit devant le Tribunal d'Alger, après un avertissement de mise en conformité de la sécurité de son embarcation non suivi d'effet.
Un savoureux dialogue s'établit alors entre le passeur et son juge:
Le Président "Avez-vous une autorisation de transport?
Le Passeur " non M'sion le brésident"
Le Président " Vous faites payer vos clients?"
Le Passeur "non M'sion le brésident"
Le Président " Avez-vous au moins à bord des gilets de sauvetage?
Le Passeur " non M'sion le brésident"
Le Président " Et si la barque coule?
Le Passeur " ça fait rien, M'sion le brésident, c'est tous des amis"

Bonjour Merzack ,çà fait chaud au cœur de te lire ,malgré l'éloignement, notre passé vit toujours en nous ,amitiés

Bab El Oued.


Pour continuer sur la lancée des souvenirs, bien sûr la friperie de Bab Edjdid et les Stocks Américains, au début de la rue Borély la Sapie, avant le Kassour. Mais indépendamment de notre volonté, d'autres lieux nous reviennent en tête. Ave de la Bouzaréah, aprés les 3 horloges, en allant vers le Café de Barcelone sur la gauche, il y avait un minuscule estaminet "Mon P'tit Bar" où se tenaient toujours plusieurs personnes, quelques unes en tenue de travail, qui prenaient l'apéro sur le seuil, en se racontant des calembredaines. Il y avait aussi à un jet de pierre de là, rue Fourchault pas loin du Bain Maure, la Cinique Ferrari où beaucoup d'enfants du quartier sont nés.
Une belle récompense de l'esprit tranquille, que de pouvoir évoquer les instants passés de son existence. Même si ce quartier a quelque peu changé, nous y sommes toujours attachés.
Il est vrai qu'il a pris un coup de vieux, de vétusté Immeubles délabrés et toitures rapiécées cà et là, mais il nous accueille toujours en familiers.
Je dois avouer qu'à chaque passage à Bab El Oued je suis envahi par un sentiment de désarroi imprécis. Ni accablement ni désespoir, Non, seulement une sorte de mélancolie que je n'ai pas encore appris à combattre.
Quelques personnes ont changé et contrairement aux humbles qui ont éclairé notre enfance, ils vivent dans l'éphémère, où la facilité et le jetable sont de règle. Ils ne vivent que pour le "griffé" et les appellations contolées même s'ils évoluent dans un monde de contrefacons. Certains ont accumulé de grandes fortunes, qui ne seront malheureusement jamais de véritables richesses.
D'autres,ils sont trés nombreux et se reconnaitrons sans peine, vivent les pieds sur terre, des souvenirs plein la tête et le coeur, et une générosité d'esprit immense.
C'est un véritable plaisir de les rencontrer et les écouter parler d'un quartier qu'ils chérissent.
C'etait le goût de la bonté, de la simplicité et du désintérêt.
(Pas souvent servis depuis)


Bonjour à toutes et a tous.

J'apprend ici ,le décès de mon François ,en passant par ALICANTE pour rejoindre Torréviéja ,je ne manquais pas de m'arrêter une ou deux fois ,il ne manquait pas de nous emmener voir un appartement qu'il avait ( à la Marina )du 5eme.il y avait une vue splendide sur la la plage ,c'était magnifique ,cela fait 2 ans que je ne prend plus la voiture et maintenant c'est l'avion , et oui l'âge et je n'ai pas revu mon François depuis ,j'adresse mes sincères condoléances à la famille ,