pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : VIDALEnvoyer un mail

Le : 11/07/2017 17:33

A Josianne.

Bonjour, mon père était du village Victor. Il y à passé toute son enfance, il m'en parlait souvent.

Il m'a semblé comprendre qu'il y avait peu de Pieds-noirs, disons 75 % de Musulmans et tout se passait très bien entre les communautés.

 

De : gras josiane epse catalaEnvoyer un mail

Le : 11/07/2017 16:35


qui pourrait parler du village victor, notre dame d'afrique. Photos ou autres merci. a bientôt.

 

De : VIDALEnvoyer un mail

Le : 11/07/2017 07:27

Pour Fouzia:

"Le passé n’existe plus, vivre avec ce qui n’existe plus, voilà l’ 1/2 uvre du démon."

Paroles de Jésus ou de Issa, comme vous voulez :-)

 

De : FouziaEnvoyer un mail

Le : 10/07/2017 23:57

Tout a fait mr vidal li fat mat.

 

De : VIDALEnvoyer un mail

Le : 10/07/2017 16:38



Quarante ans est un temps honnête, ce me semble, pour reconnaître que ces foutus colons ont plus chéri cette terre (l’Algérie) que nous qui sommes ses enfants.

Citation de Boualem Sansal écrivain Algérien

 

De : Antoine / Tony BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 10/07/2017 16:05

Pour compléter le message de Fouzia, celui que j'avais reçu d'une amie qui participe aux travaux :
Bonsoir Tony,
L'hôtel Alleti est en plein chantier de restauration/rénovation 😊 Je ne manquerai pas de t'envoyer des photos dès qu'il sera à nouveau ouvert .


 

De : VIDALEnvoyer un mail

Le : 10/07/2017 07:54

Pour Sola :

Non il ne s’agit pas pour moi de faire des comparaisons, nous avons tous, je pense, dépassé ce stade. Comparer quoi, le passé et le présent ? Comme je dis bien souvent, li fet met.

J’irais en Algérie comme on prend un doliprane, pour soulager un mal de tête :-)

Encore merci pour vos conseils

Amitiés.

 

De : FouziaEnvoyer un mail

Le : 09/07/2017 22:43

Bonsoir mr bartholome je vous fait savoir que l'hotel alleti et fermer pour renovation.

 

De : sola barthélémyEnvoyer un mail

Le : 08/07/2017 18:31

POUR VIDAL
VUS VOYEZ comme d'autres vous l'ont dit retourner à alger est quelque part libérateur
fini enfin le je vais j'y vais pas, ne serait que pour cela faudrait y retourner
je vous rappelle que j'ai suis allé en 2014 (j'habitais à l'époque bab el djid, au dessus de bab el oued)
je vous renouvelle n'y allez pas par esprit de comparaison qui n'ont plus lieu d'etre, mais juste vous promenez seul ou à plusieurs, en marchant sur les pas de votre enfance et adolescences
pour ma part je me suis promené tout seul, dans ces lieux magique qui me trottinait dans la TËTE, je me suis aperçu que ce connaissais mieux alger que la ville ou je vis actuellement..

Je n'ai pris que ces bons moments, EN passant sur ce qui pouvait me blesser, ou pertuber ces moments de retrouvailles avec ma ville...

VOUS NE RISQUEZ RIEN, les algérois vous accueilleront au delà de toute attente... MÊME les jeunes se montreront avenants
Presque tous les algérois connaissent le noms des rues et des quartiers, sous les anciennes appellations, et parlent tous très bien le français
AH petit détail c'est une ville en pleine ébullition; la population à quadruplé....

donc si vous ne voulez plus vous posez la question j'y vais ou j'y vais pas: allez y!!!!!vous serez enfin libéré de ce dilemme...

si vous souhaitez y allez voir mon précédent message pour faire une réservation à l’hôtel aletti (hôtel safir) chambre 4ém ou 5éme étage, vue sur la mer...

 

De : VIDALEnvoyer un mail

Le : 07/07/2017 18:27

Pour Mustapha : la rue, c’est la rue Lavessiere, en face la rue Rosétie. J’habitais au-dessus du photographe Pétrusa, Algéria photo, je crois.

Ce voyage, j’y pense et puis… Il y a 50% de moi qui veut y aller et 50% qui a peur. Non pas sur le plan physique, mais sur le plan émotionnel, c’est compliqué. Mais je me dis que ce voyage serait une bonne thérapie, car nous avons tous, que l’on le reconnaisse ou pas, un traumatisme de ce qui s’est passé. Oui ce pays c’est notre pays aussi, nous l'avons dans la peau, et la France, cette soi-disante mère patrie, c’est comportée avec nous comme une marâtre.

Comme beaucoup ici, j’ai quitté BEO sous les bombes, le sang et les larmes. J’aimerias retrouver ce quartier dans la paix. Li fet met.

Beaucoup de Pieds-noirs m’ont raconté la façon dont ils avaient été reçus et surtout qu’au retour, le traumatisme avait disparu, alors…

C’est certain, Mustapha, si je viens, je me ferais un plaisir de vous rencontrer.

 

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