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Le : 11/12/2017 19:49
Bonsoir
Si je me souviens bien le monoprix avait remplace le cinema trianon
en face il y avait un disquaire ou certains chanteur venaient dedicasses leur disques j'ai pour memoire EDario Moreno quand il passait au majestic ou jacques helian paul Anka ou pourrait continuer longtemps des souvenirs qui nous on lmarques les platers bonne soirée cordialement
Le : 11/12/2017 19:08
A SEBBAK
BONSOIR
J'AI TRÈS PEU DE SOUVENIR DE L’ÉCOLE SOCGEMAH CAR J'AVAIS 7 A 8 ANS QUAND JE SUIS PARTIE POUR ALLER A L’ÉCOLE DE DIJON PAR CONTRE JE ME RAPPELLE DU PARCOURS PAS LOIN DE LA RUE PHILIPPE MAIS J'AI CONNU UNE FAMILLE SABAOUN
TOUT COMME VOUS JE SUIS DE 1941 MAIS EN DÉCEMBRE
POUR LES DÉBUTS DE JOHNNY COMME JE L'AI DIT J'AI VENDU CES PREMIERS DISQUES AU MONOPRIX ET AVEC LE DECES DE JOHNNY C'EST UNE PARTIE DE NOTRE JEUNESSE ET DE L'INSOUCIANCE QUI PARS
LES TROIS HORLOGES A CHAQUE FOIS QUE JE PASSAIS POUR ALLER TRAVAILLER AU MONOPRIX IMPOSSIBLE DE NE PAS VOIR LES HORLOGES QUI ME DISAIT ALLER C'EST L'HEURE
BONNE SOIRÉE
ANDREE
BONSOIR
J'AI TRÈS PEU DE SOUVENIR DE L’ÉCOLE SOCGEMAH CAR J'AVAIS 7 A 8 ANS QUAND JE SUIS PARTIE POUR ALLER A L’ÉCOLE DE DIJON PAR CONTRE JE ME RAPPELLE DU PARCOURS PAS LOIN DE LA RUE PHILIPPE MAIS J'AI CONNU UNE FAMILLE SABAOUN
TOUT COMME VOUS JE SUIS DE 1941 MAIS EN DÉCEMBRE
POUR LES DÉBUTS DE JOHNNY COMME JE L'AI DIT J'AI VENDU CES PREMIERS DISQUES AU MONOPRIX ET AVEC LE DECES DE JOHNNY C'EST UNE PARTIE DE NOTRE JEUNESSE ET DE L'INSOUCIANCE QUI PARS
LES TROIS HORLOGES A CHAQUE FOIS QUE JE PASSAIS POUR ALLER TRAVAILLER AU MONOPRIX IMPOSSIBLE DE NE PAS VOIR LES HORLOGES QUI ME DISAIT ALLER C'EST L'HEURE
BONNE SOIRÉE
ANDREE
Le : 11/12/2017 18:03
Bonjour Andrée
Je vous connais pas je me permet d'intervenir a la suite de votre
message ou vous evoquiez votre jeunesse de l ecole rue sogemah avez vous connu une nommée Francette VUOSO qui allait aussi a l'ecole sogemah aujourd'hui elle a 79 ans il y avait egalement dans la rue sogemah les famille AZENCOT et SEBAOUN quand a moi j'habitais rue franklin tout pres des 3 horloges je suis en Janvier 41 tout comme vous j'ai connu johnny HALLYDAY au debut de sa carrierej''ai encore sonn disque 45 le tout premier SOUVENIR SOUVENIR ET RETIENS LA NUIT merci de bien vouloir me repondre cordialement
Le : 10/12/2017 17:55
pour Barthe
pour me contacter : babelo2@free.fr
bonne réception, Pierre
pour me contacter : babelo2@free.fr
bonne réception, Pierre
Le : 10/12/2017 10:00
Bonjour
merci beaucoup pour vos réponses au sujet de la miroiterie.
J'ai ma maman qui souhaiterait vendre cette glace je ne sais pas si il y aurait des personnes intéressées? elle est magnifique ,je ferais des photos .Possible de publier? En vous remerciant d'avance
je laisse mon mail peggy.calvet@wanadoo.fr
Bonne journee
merci beaucoup pour vos réponses au sujet de la miroiterie.
J'ai ma maman qui souhaiterait vendre cette glace je ne sais pas si il y aurait des personnes intéressées? elle est magnifique ,je ferais des photos .Possible de publier? En vous remerciant d'avance
je laisse mon mail peggy.calvet@wanadoo.fr
Bonne journee
Le : 09/12/2017 19:35
Au sujet des miroiteries,il y avait une petite miroiterie à côté du garage Denis vers la fin de l'Ave.de la Bouzaréah,tenu par Mr.Botella,je me rappelle les ciselures faites à la meule,de l'eau qui coulait en permanence sur le verre,c'était du beau travail,ceci à toute fin utile,bonne soirée,Henri
Le : 09/12/2017 15:07
pour Barthe -
fin du message - me contacter par e-mail - je regarde les messages tous les jours.
fin du message - me contacter par e-mail - je regarde les messages tous les jours.
Le : 09/12/2017 15:04
Pour Barthe
contactez-moi en privé ; j'ai travaillé 5 à la miroiterie de l'Afrique du Nord (miroiterie Daudet)
contactez-moi en privé ; j'ai travaillé 5 à la miroiterie de l'Afrique du Nord (miroiterie Daudet)
Le : 09/12/2017 10:49
Souvenir olfactif d'enfance à BEO
Nous habitions au sixième et dernier étage et je les escaladais en prenant tout mon temps. La montée me réservait un moment divin ; mes narines se dilataient de plaisir avec les odeurs appétissantes de cuisine qui embaumaient la cage d’escalier.
Dès le rez-de-chaussée, j’étais excité par les effluves de poivrons grillés et d’aubergines frites qui déclenchaient un torrent de salive dans ma gorge desséchée. Ce n’était qu’une mise en bouche ou plutôt une mise en nez. À l’étage du dessus, une friture de petits rougets titillait mon odorat, et de plus en plus affamé, je me désolais de n’avoir rien à me mettre sous la dent. Je ralentissais la montée des marches et inspirais profondément la dégustation potentielle de ce festival de plats méditerranéens. Je me pourléchais les babines à l’idée de voir ce festin virtuel devenir réalité.
Au deuxième étage, je n’avais aucune peine à reconnaître le plat mijoté par Madame Amar : des haricots blancs en sauce relevés d'ail et de ''koumoun'' (cumin). Elle annonçait aux siens « la graine est prête, je vous ai préparé aujourd'hui un couscous-loubia ! »
Marche après marche, je suivais lentement ce chemin initiatique des plats cuisinés qui inondaient le fond de ma gorge tous les midis. J'avais le sentiment que toutes les mamans de l’immeuble se donnaient le mot pour m’offrir en même temps un récital de senteurs alléchantes comme une récompense au pénible trajet que j'accomplissais avec le lourd et encombrant morceau de glace.
Le troisième étage ne dérogeait pas à la règle : les beignets de sardine de la mémé Cozzolino enflammaient mon appétit et donnaient à la sérénade des odeurs de l’immeuble une note de grand chef étoilé figurant au guide Michelin. Je passais d’un palier à l'autre sans regret, la découverte d'un plaisir olfactif nouveau m'attendait.
Le ragoût de mouton du quatrième étage semblait attendre mon passage pour déverser son fumet d'exception jusqu'à créer dans mon gosier la cascade de Bérard. La voisine n'était pas en reste lorsqu'elle sortait du four ses ''cocas'' aux blettes avec une pointe d'anchois ou farcies à la ''frita''. Tous les midis, ma cage d'escalier devenait sur quelques pas les Champs Élysées de la gastronomie algéroise.
Enfin, le cinquième étage sonnait l'ultime satisfaction de mes repas vaporeux et inaccessibles. Là, j’attribuais le prix d’excellence à une maman juive, Madame Abisserour, avec son couscous au ''osban'', panse farcie dont le fumet pénétrait mon corps par tous les pores de ma peau. Je respirais à pleins poumons les odeurs répandues sur son palier et je franchissais le dernier étage en apnée pour garder le plus longtemps possible l'oxygène parfumé qui festoyait en moi.
Arrivé à la maison où la porte restait toujours ouverte, mes capteurs olfactifs aiguisés par tant de saveurs aussi sublimes, je me précipitais pour sentir les volutes de fumée qui s'échappaient de la marmite dans laquelle un ''riz cocotte'' mijotait dans son bouillon safrané. Après ces instants enivrants où j'avais l'embarras du choix, je passais à table sans tarder pour calmer les contorsions bruyantes de mon estomac.
Extrait de '' BAB EL OUED POUR LA VIE ''