Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

à Paule Vella

je viens de me relire et je crains bien d'y être allé un peu fort, au risque de passer pour une brute que je ne suis pas... Je voulais simplement dire que, ne disposant pas moi-même de goûter, comme nombre d'entre nous, il était naturel que ceux qui en avaient un faisaient envie aux autres, ce dont ils n'étaient nullement responsables : question de moyens et plus probablement d'éducation. À vouloir galéjer, on en fait toujours un peu trop. Mes excuses si je vous ai fâchée d'une quelconque façon.

A Marie Christine SIGUENZA,
Je vous ai envoyé un message directement sur votre ordi mais vous ne m'avez pas répondu. Je voulais juste avoir des nouvelles de votre frère Philippe avec qui j'ai travaillé en 1961/1962 au CFAT bd de la République à Alger. J'espère que toute la famille va bien. Amitiés Josiane.

Ugh! C'était! Le nombre de fois que j'ai eu envie de lui mettre un pain à celui-là! C'est vrai quoi aussi, il était là, à chaque récré à déguster son petit pain au lait avec une mine gourmande que tout le monde il avait envie de faire comme moi et que horosement personne y l'a fait, ç'aurait pas été juste! Mais j'ai le souvenir d'un gentil garçon, juste un peu enveloppé, au moins par rapport à moi qu'on pouvait jouer des castagnettes avec mes os! Il était sagement coiffé à plat, avec une belle raie bien nette sur le côté. Très discret et pas remuant du tout, contrairement à un autre, Bello, qui a eu droit à une fessée cul nul devant l'école entière... Je suppose qu'on a été dans la même classe tout du long.

Je suis née à BEO en 1942, je recherche des membres de la famille Bazin, Cloquell qui habitaient dans la cité Themime.,
J'ai retrouvé tous mes cousins et cousines Martinez, et j'en suis très heureuse.
Je ne rêve que d'un voyage à la recherche de mes racines
Bisous à tous amicalement Safari

a l'attention de Jacques Abbonato
Tous le jours des noms nouveaux !. c'est incroyable le peuple qu'il pouvait y avoir à Bab El Oued !. Je suis apparentée à Vella Pierre qui doit être de 1941 ou 42 et qui pourrait être un de vos copains de classe

BONJOUR A VOUS TOUS
JE RECHERCHE DES AMIES DE MES COUSINES JEANNINE ET YVETTE SENDRA
LA PREMIERE SE NOMME PRIOLO JACQUELINE ELLE DEMEURAIT AU RUISSEAU
LA SECONDE SCOTTO SIMONE ELLE ETAIT MONITRICE DANS UNE COLONIE DE L EGA ET SON PAPA ETAIT DIRECTEUR DE CETTE MEME COLONIE
DELBANO DANIELLE EPOUSE SANTOJA POUR CETTE PERSONNE JE N AI PAS GRAND CHOSE SAUF QU ELLE DEMEURAIT A ORLEANVILLE ET EN FRANCE A SAINTE
TRUCARD JE NE SUIS PAS CERTAINE DE L ORTHOGRAPHE GERMAINE POUR ELLE C EST TOUT CE QUE JE SAIS ELLE DOIT HABITER SUREMENT MARSEILLE? A TOUTES PERSONNES POUVANT ME DONNER DES NOUVELLES DE CES PERSONNES SONT PRIEES D APPELER AU 01 46 30 57 53 JE VOUS REMERCIE A L AVANCE ET ESPERE FAIRE UN GRAND PLAISIR A MES GRANDES COUSINES QUE J AIME............
MERCI A TOUS ET A BIENTOT. LINDA

a HENRI DJEZAIRI ,un grand merci pour les photos de la consolation,j'en avait pas revus d'aussi belles depuis 1962,jour de notre depart ma famille et moi,j'ai vu le jour dans ce quartier en 46 et j'en suis resté!!!!!!!!.plus le temps passe et plus la" nostalgerie"me travail au corps comme un boxeur,je crois que je vais faire le choix (le bon) je veux revoir l'endroit de ma jeunesse et tout ce qui va avec apres si dieu le veut ,je me ferai "mon opignon".merci encore,et a bientot pour d"autres photos.

pour christiane borroméo
tu as oublié de me donner ta nouvelle adresse e-mail envoi l a moi sur mon site personnel
bisous j-c

Pour Roland Abisserour

oui, ça dégage à toute allure... Fernand est mort lui aussi en 96, et cet événement va dans le sens de ce que je disais : il faut se dépêcher, il n'est plus temps de minauder ni d'avoir des états d'âme. En fait, on confond très souvent Fernand (même s'il est mort, ça reste vrai) avec moi, comme on me confondait moi avec mon frère aîné Victor qui s'est un jour fait copieusement engueuler par ... une de mes connaissances! Il en est resté sur le cul. On avait tous les trois un tel air de famille que les gens se trompaient souvent et pourtant, à nous voir côté à côte, il n'y avait pas moyen de se gourrer. Si on ajoute le temps à ça, il n'y a rien d'étonnant à ce que les confusions soient nombreuses. Ca nous oblige à faire travailler notre cervelle et ce n'est pas plus mal : c'est fou le nombre de choses qui remontent à la surface depuis que je me livre à cet exercice dont je m'étais jusqu'alors soigneusement abstenu tant le spleen est douloureux. Victor, c'est ma mémoire déléguée, mon annuaire : quand j'ai un trou, je le sonne et la réponse est immédiate. Mais comment il fait?

J'ai vu que tu as complété le nom de notre ami Caponi oui je lui connaissais ses relations avecnotre vieux Surget général Sivani, j'ai encore en tête ses réflexions avec l'accent corse quand on arrivait en retard.
Mais est-ce que tu étais avec moi en classe, je n'arrive pas à mettre un visage sous ton nom si bien sur tu partageais la même scolarité que moi.
Eventuellement rafraichis moi ma mémoire défaillante, j'ai connu Mathieu Liguorie de la maternelle au collège nous habitions la même rue mazagran et il est maintenant à Marseille.
Amitiés PN