Liste des messages
Le : 11/08/2018 18:15
pour tony et Antoine Billota
Je vous pressente a vous et a toute votre famille mes
sincères condoléances que votre cher frère Henri repose en paix
Pour tous ceux qui ont perdu un être cher je pressente a vous tous mes sincères condoléances
nos absents nous accompagnent
Où s’en vont ceux qui nous manquent ? Nous accompagnons leurs corps jusqu’en terre et puis après ?… Nous fleurissons leur mémoire, nous leur parlons comme s’ils étaient encore là, quelque part, inaccessibles mais présents, bienveillants et sages. Que donnerait-on pour une réponse, un conseil de leur part, un mot pour dire… « Je veille sur vous » ? Et il nous suffit de les évoquer pour qu’ils nous sourient dans notre plus beau souvenir, de leur visage le plus lumineux. Nos absents nous accompagnent. On ne peut rien leur cacher puisqu’ils nous regardent avec nos propres yeux. C’est une étrange et intime conviction que l’on ne peut partager qu’avec ceux que l’on aime, dans la confiance de n’être pas raillé, mais, au contraire, conforté.
Ceux qui nous manquent remplissent le vide de leur absence par une présence silencieuse et tendre. Toujours disponibles, ils sont auprès de nous, derrière nos paupières closes, dans les moments de doute ou de peur, dans les joies profondes. Dans la douleur de les avoir perdus, il y avait cette impuissance à les retenir, à les aider, à les accompagner. Dans le chagrin de leur absence, on a le sentiment d’être guidés par eux, de leur conférer un rôle qu’ils n’ont ainsi jamais perdu. En fermant les yeux, ils nous laissent leur regard, à la façon d’une boussole. Peut-être ont-ils besoin eux aussi de nos pensées, de nos lumières, pour éclairer leur route ? Le chagrin n’est que le revers de l’amour. Mais c’est encore de l’amour. Qu’il serait « triste de n’être plus triste sans eux… ».
Au Panthéon de nos c½urs, nos absents ont toujours raison. Si l’on devait faire le portrait du bonheur, il aurait parfois le visage du chagrin, et la quiétude bienveillante de ceux qui nous ont quittés mais qui veillent sur nous tendrement. C’est une image apaisante pour s’endormir, pour s’orienter, ou se perdre dans leur sourire. Il y a un peu d’infini dans cet amour-là. Ceux qui nous manquent semblent si sereins, si proches, comme en apesanteur… Est-ce qu’ils trouvent en nous leur chemin vers ailleurs ? Alors les vivants deviendraient la maison de ceux qu’ils ont aimés. Et si un jour ils n’existent plus pour personne, auront-ils vraiment disparus ? Se sentir aimé de son vivant, c’est savoir qu’il existe quelque part un après, un moyen de poursuivre la route ensemble. L’absence n’est pas qu’un vide. C’est aussi de l’amour qui nous accompagne. Servir encore, être utile à quelqu’un… Un beau destin pour nos absents…
Yves Duteil
Je vous pressente a vous et a toute votre famille mes
sincères condoléances que votre cher frère Henri repose en paix
Pour tous ceux qui ont perdu un être cher je pressente a vous tous mes sincères condoléances
nos absents nous accompagnent
Où s’en vont ceux qui nous manquent ? Nous accompagnons leurs corps jusqu’en terre et puis après ?… Nous fleurissons leur mémoire, nous leur parlons comme s’ils étaient encore là, quelque part, inaccessibles mais présents, bienveillants et sages. Que donnerait-on pour une réponse, un conseil de leur part, un mot pour dire… « Je veille sur vous » ? Et il nous suffit de les évoquer pour qu’ils nous sourient dans notre plus beau souvenir, de leur visage le plus lumineux. Nos absents nous accompagnent. On ne peut rien leur cacher puisqu’ils nous regardent avec nos propres yeux. C’est une étrange et intime conviction que l’on ne peut partager qu’avec ceux que l’on aime, dans la confiance de n’être pas raillé, mais, au contraire, conforté.
Ceux qui nous manquent remplissent le vide de leur absence par une présence silencieuse et tendre. Toujours disponibles, ils sont auprès de nous, derrière nos paupières closes, dans les moments de doute ou de peur, dans les joies profondes. Dans la douleur de les avoir perdus, il y avait cette impuissance à les retenir, à les aider, à les accompagner. Dans le chagrin de leur absence, on a le sentiment d’être guidés par eux, de leur conférer un rôle qu’ils n’ont ainsi jamais perdu. En fermant les yeux, ils nous laissent leur regard, à la façon d’une boussole. Peut-être ont-ils besoin eux aussi de nos pensées, de nos lumières, pour éclairer leur route ? Le chagrin n’est que le revers de l’amour. Mais c’est encore de l’amour. Qu’il serait « triste de n’être plus triste sans eux… ».
Au Panthéon de nos c½urs, nos absents ont toujours raison. Si l’on devait faire le portrait du bonheur, il aurait parfois le visage du chagrin, et la quiétude bienveillante de ceux qui nous ont quittés mais qui veillent sur nous tendrement. C’est une image apaisante pour s’endormir, pour s’orienter, ou se perdre dans leur sourire. Il y a un peu d’infini dans cet amour-là. Ceux qui nous manquent semblent si sereins, si proches, comme en apesanteur… Est-ce qu’ils trouvent en nous leur chemin vers ailleurs ? Alors les vivants deviendraient la maison de ceux qu’ils ont aimés. Et si un jour ils n’existent plus pour personne, auront-ils vraiment disparus ? Se sentir aimé de son vivant, c’est savoir qu’il existe quelque part un après, un moyen de poursuivre la route ensemble. L’absence n’est pas qu’un vide. C’est aussi de l’amour qui nous accompagne. Servir encore, être utile à quelqu’un… Un beau destin pour nos absents…
Yves Duteil
Le : 11/08/2018 13:59
Cher Michel
C'est avec émotion et tristesse que n’apprend le décès de ton cher frère Jean-Pierre je me joints a vous tous dans ces moments difficiles
je te pressente cher Michel mes sincères condoléances a toi et a toute ta famille pense très fort a vous tous
je t'embrasse affectueusement et pense a vous tous
Andree
C'est avec émotion et tristesse que n’apprend le décès de ton cher frère Jean-Pierre je me joints a vous tous dans ces moments difficiles
je te pressente cher Michel mes sincères condoléances a toi et a toute ta famille pense très fort a vous tous
je t'embrasse affectueusement et pense a vous tous
Andree
Le : 10/08/2018 12:40
la famille lombardo adresse ses sincères condoléances à la famille SEKSEK repose en paix jean-pierre
Le : 09/08/2018 14:06
salut les amis une triste nouvelle mme valero est partie dernierement femme de christophe et mere de christiane de beo rue camille douls qu elle repose en paix amen( 98ans)ceux qui l ont connue elle etait discrete gentille
Le : 08/08/2018 17:24
SINCÈRES CONDOLÉANCES A TOUTE LA GRANDE FAMILLE SEKSEK.LA FILLE DE LA FAMILLE DI MARTINO DU 68 AVENUE MALAKOFF.QU'IL REPOSE EN PAIX.
Le : 07/08/2018 13:10
sincères condoléances a la famille SEKSEK
familles gargiulo
familles gargiulo
Le : 07/08/2018 12:36
c'est avec tristesse que je viens d'apprendre le décès de JP SEKSEK, je transmets mes condoléances à toute la famille, j'étais au 74 malakoff
Le : 06/08/2018 20:29
Cher Michel ,
Je me joins à tous les gens de la Consolation et à tous ceux qui ont fréquenté comme nous Sigwalt pour te présenter mes condoléances les plus sincéres et les plus attristées .
Roger Boccia
Je me joins à tous les gens de la Consolation et à tous ceux qui ont fréquenté comme nous Sigwalt pour te présenter mes condoléances les plus sincéres et les plus attristées .
Roger Boccia
Le : 06/08/2018 20:05
les oualiones de Sigwalt dans la douleur avec la famille SEKSEK
Le : 06/08/2018 19:56
Je transmets cet avis de décès émanant de Dolorès Giordano :
"Triste nouvelle. Mon frère Henri m'a quittée cette nuit. Je n'aurai pas eu le temps de lui dire combien je l'aimais. Il n'a pas voulu m'attendre. Comme vous devez vous en douter, je suis toute retournée.
C'était un très grand pianiste, jazzman qui a accompagné pas mal de chanteurs, il était très apprécié dans le monde musical, mais ces dernières années, il avait des soucis de santé.
Il va rejoindre toute ma famille.
Tu vas beaucoup me manquer mon petit frère. Repose en paix.
je t'aime.
je vais à Paris pour organiser avec ma belle-soeur les obsèques.
Que tu étais beau mon frère."
"Triste nouvelle. Mon frère Henri m'a quittée cette nuit. Je n'aurai pas eu le temps de lui dire combien je l'aimais. Il n'a pas voulu m'attendre. Comme vous devez vous en douter, je suis toute retournée.
C'était un très grand pianiste, jazzman qui a accompagné pas mal de chanteurs, il était très apprécié dans le monde musical, mais ces dernières années, il avait des soucis de santé.
Il va rejoindre toute ma famille.
Tu vas beaucoup me manquer mon petit frère. Repose en paix.
je t'aime.
je vais à Paris pour organiser avec ma belle-soeur les obsèques.
Que tu étais beau mon frère."