Liste des messages
De : Yvette Pons
Le : 11/08/2006 17:24
A Claudette
Mon fils m'a fait découvrir ce site et j'ai lu votre message. Je me souviens de vous mais surtout de votre maman qui était couturière ainsi que de votre tante Catherine et ton son frère Jeannot qui était mon voisin et copain. J'aimerai de leurs nouvelles. Je vous remercie, à bientôt
Yvette
Mon fils m'a fait découvrir ce site et j'ai lu votre message. Je me souviens de vous mais surtout de votre maman qui était couturière ainsi que de votre tante Catherine et ton son frère Jeannot qui était mon voisin et copain. J'aimerai de leurs nouvelles. Je vous remercie, à bientôt
Yvette
De : COUSTEILS Philippe
Le : 11/08/2006 14:11
Bonjour,
Je suis à la recherche d'anciens camarades à l'école Rochambeau entre 1955 et 1960. J'étais visiblement dans la même classe que Serge PACE.
A bientôt
Philippe COUSTEILS
Je suis à la recherche d'anciens camarades à l'école Rochambeau entre 1955 et 1960. J'étais visiblement dans la même classe que Serge PACE.
A bientôt
Philippe COUSTEILS
De : seksek michel
Le : 11/08/2006 08:40
bonjour FATIMA,pour les photos d'ecoles tu vas dans la rubrique
"photos d'ecoles"et tu vas te regalé,a+++++++++++++++++.
"photos d'ecoles"et tu vas te regalé,a+++++++++++++++++.
De : fatima
Le : 10/08/2006 21:05
je me souviens parfaitement du marchand de melons et de
pastèque qui venait tous les ans: presque en face de l'épicerie
mouzabit qu'on appellait moussa. à l'époque il y avait 1 ferme.
que de bons souvenirs.
pastèque qui venait tous les ans: presque en face de l'épicerie
mouzabit qu'on appellait moussa. à l'époque il y avait 1 ferme.
que de bons souvenirs.
De : LOUAGUENOUNI FATIMA
Le : 10/08/2006 20:57
je suis née à bab el oued mon quartier était avenue de la salpétriere face caserne, plus haut l hopital maillot, plein de souvenir sont dans ma tête, je connaissais la famille papalardo gardien du stade marcel cerdans:mme PASCAL qui habitait rue colmar, Mme BEBERE, / Ma mère Sadia travaillait chez MME CATDEVIENNE excuse pour l hortographe, J étais scolarisé Ecole rue de dijon, si qu'elqu'un pouvait m'envoyer des photos de classe année57/58/59/60/61/62, Merci d'avance
De : Jean-Pierre de Torres
Le : 10/08/2006 19:41
Pour Boudjemma
J'essaie de t'envoyer un Email mais ton adresse ne serait pas formulee correctement,donc si tu peux simplement me l'a transmetre en utilisant la petite enveloppe jaune au dessus du message
Merci
Jean-Pierre
J'essaie de t'envoyer un Email mais ton adresse ne serait pas formulee correctement,donc si tu peux simplement me l'a transmetre en utilisant la petite enveloppe jaune au dessus du message
Merci
Jean-Pierre
De : danielle lucarelli
Le : 10/08/2006 19:34
encore des souvenirs
qui se rappelle des fetes qu'il y avait avenue de la consolation l'été avec des barraques de tombola , le bal le soir et toute la journée je me souviens de line renaud qui chantait " toi ma petite folie , toi ma petite folis mon petit brin de fantaisie "ect ect et puis le marchand de melon et de pastèques qui se mettait juste contre le mur de l'ecole des garçons , qui s'en souvient ?
j'ai aussi souvenir de angello le marchand de rameaux et de l'odeur de bonbon qui se degagee de sa boutique
nostalgie quand tu nous tiens!!!!
amitiees
qui se rappelle des fetes qu'il y avait avenue de la consolation l'été avec des barraques de tombola , le bal le soir et toute la journée je me souviens de line renaud qui chantait " toi ma petite folie , toi ma petite folis mon petit brin de fantaisie "ect ect et puis le marchand de melon et de pastèques qui se mettait juste contre le mur de l'ecole des garçons , qui s'en souvient ?
j'ai aussi souvenir de angello le marchand de rameaux et de l'odeur de bonbon qui se degagee de sa boutique
nostalgie quand tu nous tiens!!!!
amitiees
De : Jean-Pierre de Torres
Le : 10/08/2006 19:02
Et alors!
Personne ne se souvient de MOUSSAH ? la tete dure!une distillerie d'alcohol a bruler
J'attends des reponses
Amities PN
Jean-Pierre
Personne ne se souvient de MOUSSAH ? la tete dure!une distillerie d'alcohol a bruler
J'attends des reponses
Amities PN
Jean-Pierre
De : lubrano claudette
Le : 10/08/2006 18:24
claudette à yvette pons j'ai bien connue votre maman , je rèsidais à la cour 3bis rue françois serrano , ma tante catherine botella habitais au meme endroit . je suis nèe en 1945 et ma soeur evelyne nèe en 1943 .nous jouions ensembles à la cour des miracles .en èspèrant avoir de vos nouvelles sur le site . claudette
De : Edgar Bentolila
Le : 10/08/2006 18:22
Souvenirs:
Je me souviens de deux personnes en guenilles, toujours en état d'ébriété que l'on appelé "Kilos", et qui déambulaient dans l'avenue de la Bouzaréah, vers le 72 où j'habitais. Dans leurs poches se voyaient des bouteiles. L'un était plus agé que l'autre.
Quand on s'aventurait près d'eux pour parfois les taquiner, on sentait bien l'alcohol à brûler qu'ils incurgitaient.
Ils habitaient dans une grotte perdue, à droite, au haut de l'avenue. Je crois bien en effet me souvenir que le plus jeune se dénommait "Papillon".
L'autre, j'ai oublié.
Je me souviens maintenant seulement de "Martoune".
Si elle tuait des chats pour les manger à cause de sa folie, j'en ai vu d'autres qui prenaient plaisir de fracasser les têtes de chats vivants contre les murs du quartier.
Quand j'y pense à présent, j'aurais bien voulu leur rendre la monnaie de leur pièce.
Pauvres âmes perdues.
Je me souviens de deux personnes en guenilles, toujours en état d'ébriété que l'on appelé "Kilos", et qui déambulaient dans l'avenue de la Bouzaréah, vers le 72 où j'habitais. Dans leurs poches se voyaient des bouteiles. L'un était plus agé que l'autre.
Quand on s'aventurait près d'eux pour parfois les taquiner, on sentait bien l'alcohol à brûler qu'ils incurgitaient.
Ils habitaient dans une grotte perdue, à droite, au haut de l'avenue. Je crois bien en effet me souvenir que le plus jeune se dénommait "Papillon".
L'autre, j'ai oublié.
Je me souviens maintenant seulement de "Martoune".
Si elle tuait des chats pour les manger à cause de sa folie, j'en ai vu d'autres qui prenaient plaisir de fracasser les têtes de chats vivants contre les murs du quartier.
Quand j'y pense à présent, j'aurais bien voulu leur rendre la monnaie de leur pièce.
Pauvres âmes perdues.
