pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

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De : Edgar BentolilaEnvoyer un mail

Le : 18/08/2006 03:15

>>pour edgar bentolila
le muet qui se promenner a babel oued
etait mon cousin(joseph)
amitie francis >>
Francis,

Quel plaisir de lire de votre part, le cousin du "Muet".

Merci donc à vous et à Christian Timoner, le webmaster et aussi mon voisin.
Il n'est donc pas encore trop tard de mettre le nom de "Joseph", sur un être humain très spécial qui nous a instillé des souvenirs indélébiles de par sa force et de par sa bonté.
D'admirer ses prouesses, entre autres, de soulever des voitures, de pouvoir me tenir d'un seul bras tout en l'air, par la ceinture.
Je me sentais ahuri, ébahi, mais à la fois,
confiant et puissant, retenu par cette force incroyable de la nature, durant un moment qui ne voulait plus en finir.

Grâce à lui et son ami Ali, je me suis retrouvé dans un ancien club de poids et haltères, puis de boxe, qui se situait dans une cave, sous le marché couvert de BEO, que je me souvienne. Plus tard je joignai le SABO avec Luis Marquez, l'entraineur, ainsi qu'avec Dipaz, le prof de Judo et Jiu Jitsu. Et celà, sans omettre notre fameux: "Tueur de poules"!
C'était là où je joignai, de jeune âge, les gars, les vrais durs à cuir de BEO, qui pompaient sans cesse de l'acier, sueur au front, pour pouvoir un jour parader et poser dans les plages et attirer ainsi les jolies filles des alentours...

Amitiés.


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De : Cassar Anne-Marie

Le : 18/08/2006 00:39

A Michel Such
Dans mon email personnel j'ai oublié de te rappeler une anecdote qui concerne mon frère qui devait prendre le bateau pour aller en France passer des vacances avec ses copains, le problème c'est qu'il avait oublié de prendre son billet sur lui.
Il revient donc dardar sur ses pas et demande à ma mère de le lui lancer du 6ème étage!
et ce qui devait arriver arriva, le billet est tombé sur un arbre du jardin!
Après un certain temps (et le temps pressait) ne le trouvant pas, quelqu'un est parti chercher ton père à la Boulangerie (il commencait à avoir des spectateurs...), et je le revois arriver avec son tablier blanc et à l'aide de sa planche à enfourner le pain, faire tomber le billet de l'arbre, à la joie de l'assemblée et bien sur de mon frère!
Scène inoubliable du quartier de la Consolation.
Je t'embrasse



 

De : pierre antoine liguoriEnvoyer un mail

Le : 18/08/2006 00:11


A michel such
Slt michel content de te lire toujours dans le cinema
et oui t'es parants la ou on porter les plaques de pizzas
que t'on pere nous les passez aux fours.Nous venions tous les matins prendres les petits pains et les croisants en partant a l'ecole.
c'est un plaisir de te retrouver grasse a ce mervielleux site.

Au plaisir de te relire

Amities


PIERRE ANTOINE

 

De : michel suchEnvoyer un mail

Le : 17/08/2006 23:25

j'arrive sur le site... je suis né en 1944 à Alger. Mes parents étaient gérants d'une boulangerie au 74 avenue Malakoff.. Mr et Mme Michel pour ceux qui savent. Daoud était un homme astucieux... le muet me soulevait à bras le corps moi qui ai toujours été un peu gros (smina) Adadaïne était un bon boucher, je n'ai jamais volé d'olives, mais peut-être que je mens... Michel

 

De : SINTES JEAN-MARCEnvoyer un mail

Le : 17/08/2006 23:24

A MICHEL SEKSEK,
Merci de me rappeller les souvenirs du quartier,j'ai des trous de mémoire..A part les conneries dans la cour de l'immeuble,ou la congierge disait a ma mére que j'etais le chef de la bande..J'ai du mal a me souvenir,de toi,LIGORI,FASANO,et les autres,j'espére avec votre aide,remonter le temps..A tu des photos d'école,je n'en ai aucune..Enfin,je compte bien revenir,voir L'Avenue Malakoff au 72,et la petite plage en bas ou on pêché les oursins,les scourdines,les ârapets..A tu connu JEAN-PIERRE GODINO,nous étions voisin de palier.LIGORI,a parlé du muet qui habité pas loin de chez nous,je me rappelle trés bien de lui.J'arrete pour se soir.Reçois mon amitié,ainsi cas tous les pieds noirs du quartier.Amicalement a toi.
J.M SINTES

 

De : dany etmichelEnvoyer un mail

Le : 17/08/2006 18:30

merci d'avoir mise l'information concernant l'hospitalisation de notre Ami MOMO.Je dois dire que ces temps-ci, j'ai ete tres preocupee par l'etat de sante de Michel et, je ne venez plus dans les salons depuis un certain temps.MOMO nous te souhaitons un prompt retablissement et saches que nous pensons tres fort a toi. Reviens nous vite car tu nous manques beaucoup. Gros bisous a toi, Notre Cher MOMO, ainsi qu'a ta charmante epouse. A bientot de te revoir en pleine forme, si Dieu Veut.

 

De : Langlois AlfredEnvoyer un mail

Le : 17/08/2006 16:23

Pour CARNIMOLA
A partir de 1954 (17 ans) au CAP CAXINE

 

De : francisEnvoyer un mail

Le : 17/08/2006 16:17

a l attention d evelyne aboucaya
je suis 1 ami d enfant d alain faus
je peux le contacter si vous le voulez!
etes vous de la famille aboucaya michéle qui habitait
la rampe vallée
si oui je la connais.*merci de me contacter
francis

 

De : carnimollaEnvoyer un mail

Le : 17/08/2006 15:16

Bonjour:Huguette CHATAIN n'etiez vous pas de Bainem?

 

De : LangloisEnvoyer un mail

Le : 17/08/2006 14:29

La première partie de mon pensum semble avoir intéressé certains lecteurs (ou.... trices) de la rubrique, je me permets donc de le compléter.
Pour en revenir à la "calentita" , certains un peu gourmands se munissaient de deux tranches de pain et faisaient mettre la portion en sandwich.
A y etre je vous en donne la recette : une part de farine de pois chiches (disons 250 gr) pour deux parts d'eau (un demi litre), trois cuillerées d'huile, du sel, du poivre, mettre dans un plat allant au four (de manière à obtenir une épaisseur d'environ 1,5 cm); mettre au four à 180° pendant environ une heure (peut- etre un peu moins suivant le four... à surveiller) et ... bon appétit !
Voici venir maintenant un personnage un peu curieux : le vendeur de glace pilée au sirop. Toujours muni d'un chariot rudimentaire sur lequel étaient disposés des récipients remplis de glace pilée, nous avions droit, toujours pour cent sous, à un verre de ette glace aromatisée d'une "giclée" de sirop, soit de grenadine, de menthe ou autre citron. Comme pour la guimauve, bonjour les microbes ou autres bactéries, mais qui s'en souciait, car le verre était unique et à usages multiples et répétés.
Il ne faut pas oublier le vendeur " d'oublies" que nous appelions "les z'oublies", cette friandise de pate gaudrée et cassante que nous dégustions délicatement (contrairement à nos habitudes plutot frustes) car "il s'en perdait" beaucoup.
Le suivant était plus classique c'était le vendeur "de pommes d'amour", petits fruits enrobés de sucre coloré en rouge, il assait moins souvent et avait moins de succès, sauf auprès des filles.
Bien sur d'autres "ambulants" passaient dans le quartier, mais ils intéressaient surtout nos parents.
Nous pourrions citer le lmarchand "des z"habits" avec ses grands sacs sur le dos et ses cris d'appel bien particuliers.Le marchand d'olives vertes, venu en principe de sa Kabylie natale, sous son grand chapeau de paille typique et accompagné d'un bourricot ou d'un mulet aux deux sacoches latérales pleines de beaux fruits verts et juteux.
Nous ne l'aimions pas trop "celui là", car la corvée de casser les olives incombait aux enfants, sans compter l'approvisionnement en fenouil indispensable.
L'aiguiseur de couteux et de cideaux passaien régulièrement ainsi que le vitrier ou l'étameur qui réparait les casseroles trouées, eh oui! la société de consommation n'existait pas encore.
C'était le bon temps, notre temps...et surtout le temps de la jeunesse et de l'insouciance.

 

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