Liste des messages
Le : 20/01/2019 21:33
J'adresse un message a mr park Robert,qui a dit,je suis du BD de provence,moi j'étais au. 5 près de la boulangerie pâtisserie Martinez qui étaient mes voisins,et vous vous étés de que numéro,peut etre le ni 1,y en avait des flèches au ni 1!je suis allé a l'école sigwalt et après ,il nous ont mute a condorcet,ou j'ai passe le certificat et le brevet?.je frequentais le jardin devant l'école sigwalt,et on transformait le jardin en terrain de foot,ou on jouait dans la cour du no 5.voilà si vous voulez m'écrire se sera avec plaisir.Michel.
Le : 19/01/2019 22:53
Bonjour à vous tous
je vous souhaite mes Meilleurs V½ux de Bonheur , Prospérité et Santé
pour cette nouvelle Année 2019 en espérant vous revoir à Rognes et surtout pour la galette des rois à Gemenos
à très bientôt
Lucien
je vous souhaite mes Meilleurs V½ux de Bonheur , Prospérité et Santé
pour cette nouvelle Année 2019 en espérant vous revoir à Rognes et surtout pour la galette des rois à Gemenos
à très bientôt
Lucien
Le : 18/01/2019 13:17
Pour faire profiter toute le monde de ta recette galette des rois, le mieux c'est de la mettre sur l'onglet recettes du forum de ce site.
Le : 18/01/2019 13:03
BONNE ANNEE BONNE SANTE a vous tous amis et amies de BEO.J'ai une bonne recette pour la galette " PIED NOIR"..écrivez-moi, si vous êtes interessé...mon mari la réussi très bien et elle est aussi bonne que là-bas...à bientôt
Le : 18/01/2019 07:45
Très touchés par vos témoignages de soutien et de sympathie lors du départ de
Mr Georges MORALI vous expriment leurs chaleureux remerciements.
Famille MORALI
10 Campagne Atlas - 13320/BOUC BEL AIR
Le : 15/01/2019 20:28
Je réponds à M. SOLIVERES
A la basseta juste en face de l'entrée du lavoir qui avait été transformé en bibliothèque, il y avait un artisan électricien qui avait là son local de vente. Il me semble que Marlène Molto y travaillait comme vendeuxe.
L'électricien s'appelait SOLIVERES
A la basseta juste en face de l'entrée du lavoir qui avait été transformé en bibliothèque, il y avait un artisan électricien qui avait là son local de vente. Il me semble que Marlène Molto y travaillait comme vendeuxe.
L'électricien s'appelait SOLIVERES
Le : 15/01/2019 12:51
Bonjour à tous,
Sur les conseils de M TIMONER,
je suis né en 1960 et a presque 60 ans, j'y reviens!!!
mes parents habitaient Alger depuis 3 générations, a la Basseta, rue curie ou impasse Curie, je me rends a Alger en février et souhaite avoir le plus d'infos surs les lieux de vie de mes grand parents,
Pour cela je vous donne le nom de mon grand père Antoine SOLIVERES, ma grand Mère Carmen SOLIVERES si vous connaissez ces personnes (décédées) a ce jour, j'aurais besoin de connaitre l'adresse le n° de porte l'étage pour me permettre d'y faire un saut et voir ou j'ai fait mes premier pas!
ms parent apparemment vivaient au dessus de : mon père Norbert ITALIANO, et oui j'ai le même prénom, ma mère atteinte D'Alzheimer ne se souviens pas.
a tout ceux qui ont connu mes grand parents, mes parents un grand merci de vos infos et j'en profite pour vous souhaiter une bonne année 2019.
Cordialement N.ITALIANO
Sur les conseils de M TIMONER,
je suis né en 1960 et a presque 60 ans, j'y reviens!!!
mes parents habitaient Alger depuis 3 générations, a la Basseta, rue curie ou impasse Curie, je me rends a Alger en février et souhaite avoir le plus d'infos surs les lieux de vie de mes grand parents,
Pour cela je vous donne le nom de mon grand père Antoine SOLIVERES, ma grand Mère Carmen SOLIVERES si vous connaissez ces personnes (décédées) a ce jour, j'aurais besoin de connaitre l'adresse le n° de porte l'étage pour me permettre d'y faire un saut et voir ou j'ai fait mes premier pas!
ms parent apparemment vivaient au dessus de : mon père Norbert ITALIANO, et oui j'ai le même prénom, ma mère atteinte D'Alzheimer ne se souviens pas.
a tout ceux qui ont connu mes grand parents, mes parents un grand merci de vos infos et j'en profite pour vous souhaiter une bonne année 2019.
Cordialement N.ITALIANO
Le : 15/01/2019 12:29
Bonjour a tous,
Je suis né en 1960 a Alger , et a bientôt 60 ans , j'y reviens, : Norbert ITALIANO( et oui j'ai le même prénom que mon papa ! est parti depuis plusieurs années et maman, Henriette ITALIANO (née SOLIVERENS atteinte ALZEIMER, ne peut me renseigner
Je suis né en 1960 a Alger , et a bientôt 60 ans , j'y reviens, : Norbert ITALIANO( et oui j'ai le même prénom que mon papa ! est parti depuis plusieurs années et maman, Henriette ITALIANO (née SOLIVERENS atteinte ALZEIMER, ne peut me renseigner
Le : 14/01/2019 14:59
Bonjour a tous
Avis de recherches d’un ami de Bab El Oued
Aidez à retrouver un ami d’enfance PN élevé par une famille algérienne :
Christian GALLINARI dit Hanni ayant habité chemin Sidi Benour et rue Réaumur.
Certains en avaient parlé sur le site, il y a quelques temps.
MERCI par avance d’aider à se retrouver ses amis d’enfance
bon apres midi
Avis de recherches d’un ami de Bab El Oued
Aidez à retrouver un ami d’enfance PN élevé par une famille algérienne :
Christian GALLINARI dit Hanni ayant habité chemin Sidi Benour et rue Réaumur.
Certains en avaient parlé sur le site, il y a quelques temps.
MERCI par avance d’aider à se retrouver ses amis d’enfance
bon apres midi
Le : 13/01/2019 09:12
LA PECHE AU "BOULITCH" A BAB EL OUED
J’étais planté dans la file d’attente de l’étal de poissons d’une grande surface, et j’attendais tranquillement l’appel de mon numéro d’ordre pour être servi. Je me régalais d’observer sous la rampe lumineuse le scintillement multicolore des sardines, merlans, pageots, queues de lotte, ailes de raie et autres bars, saumons et daurades d’élevage militairement rangés sur un lit de glace pilée. Pour moi, c’est toujours un plaisir de contempler ces produits de la mer qui achalande la poissonnerie et qui, rapidement, me font naviguer loin, très loin. Ce jour là, en un instant, je n’entendais plus le brouhaha du magasin traversé par les annonces d’un haut-parleur, je me retrouvais malgré moi dans une escapade mentale au bord de la mer où le bruit du ressac sur les rochers, les embruns salés sur mon visage et l’odeur de l’iode m’isolaient de la foule qui m’entourait. Je voyageais dans les souvenirs de la plage des Bains de Chevaux à l’époque de mes huit ans, et j’entendais distinctement des hommes, torse nu et couverts de sueur, scandaient « oh, hisse ! oh, hisse ! » pour encourager leurs efforts servant à ramener pas à pas le grand filet sur la berge. C’était une fin d’après-midi d’été, le soleil couchant dansait sur le miroir de l’eau calme, le vent venait de s’essouffler, des cris d’enfants jouant sur le terre-plein du Stade Cerdan me parvenaient, une chaleur étouffante ajoutait à la pénibilité de la scène qui se déroulait devant moi. J’avais cessé de pelleter le sable humide qui engloutissait la caresse des vagues tièdes mourant à mes pieds; j’étais émerveillé par le spectacle humain auquel j’assistais : des pêcheurs au visage émacié tiraient le « boulitch » sur la plage des bains de chevaux. A l’approche du bord, les bouillonnements à la surface accéléraient et amplifiaient la surprise et l’attente d’une pêche miraculeuse sous le regard figé des badauds dont je faisais parti. Ces ouvriers de la mer finalement considéraient après coup, qu’il y avait beaucoup plus de poissons du temps où leurs parents exerçaient le métier. La vente s’effectuait sur place et le plateau de la balance romaine avait du mal à remplir son office : le poisson bondissait dans tous les sens. Un tri des espèces par qualité marchande se faisait à la hâte dans des couffins en paille tressée et en quelques minutes tout était vendu. Les familles de Bab el Oued, fervents amateurs de poisson, repartaient avec une friture vivante dont l’odeur reste incrustée à vie dans ma mémoire olfactive.
J’étais planté dans la file d’attente de l’étal de poissons d’une grande surface, et j’attendais tranquillement l’appel de mon numéro d’ordre pour être servi. Je me régalais d’observer sous la rampe lumineuse le scintillement multicolore des sardines, merlans, pageots, queues de lotte, ailes de raie et autres bars, saumons et daurades d’élevage militairement rangés sur un lit de glace pilée. Pour moi, c’est toujours un plaisir de contempler ces produits de la mer qui achalande la poissonnerie et qui, rapidement, me font naviguer loin, très loin. Ce jour là, en un instant, je n’entendais plus le brouhaha du magasin traversé par les annonces d’un haut-parleur, je me retrouvais malgré moi dans une escapade mentale au bord de la mer où le bruit du ressac sur les rochers, les embruns salés sur mon visage et l’odeur de l’iode m’isolaient de la foule qui m’entourait. Je voyageais dans les souvenirs de la plage des Bains de Chevaux à l’époque de mes huit ans, et j’entendais distinctement des hommes, torse nu et couverts de sueur, scandaient « oh, hisse ! oh, hisse ! » pour encourager leurs efforts servant à ramener pas à pas le grand filet sur la berge. C’était une fin d’après-midi d’été, le soleil couchant dansait sur le miroir de l’eau calme, le vent venait de s’essouffler, des cris d’enfants jouant sur le terre-plein du Stade Cerdan me parvenaient, une chaleur étouffante ajoutait à la pénibilité de la scène qui se déroulait devant moi. J’avais cessé de pelleter le sable humide qui engloutissait la caresse des vagues tièdes mourant à mes pieds; j’étais émerveillé par le spectacle humain auquel j’assistais : des pêcheurs au visage émacié tiraient le « boulitch » sur la plage des bains de chevaux. A l’approche du bord, les bouillonnements à la surface accéléraient et amplifiaient la surprise et l’attente d’une pêche miraculeuse sous le regard figé des badauds dont je faisais parti. Ces ouvriers de la mer finalement considéraient après coup, qu’il y avait beaucoup plus de poissons du temps où leurs parents exerçaient le métier. La vente s’effectuait sur place et le plateau de la balance romaine avait du mal à remplir son office : le poisson bondissait dans tous les sens. Un tri des espèces par qualité marchande se faisait à la hâte dans des couffins en paille tressée et en quelques minutes tout était vendu. Les familles de Bab el Oued, fervents amateurs de poisson, repartaient avec une friture vivante dont l’odeur reste incrustée à vie dans ma mémoire olfactive.