pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : Mustapha OualikeneEnvoyer un mail

Le : 03/03/2019 18:41

Aujourd’hui il ne faut pas oublier les grandes mères c’est la journée de leur fête. C'est vraiment génial d'avoir un jour dans l’année pour honorer nos grand-mères. Cela nous donne une superbe occasion pour les remercier pour tous les bons moments passés ensemble, pour les doux sentiments, pour les innombrables bonbons biscuits et chocolats, pour tout les câlins et pour tout l’amour et tendresse reçu tout simplement. C'est une honte que la fête des grand-mères n'ait lieu qu'une seule fois dans l'année.
Les grandes mères ont une place spéciale dans nos c½urs !
Elles sont celles qui nous ont donné nos racines familiales et qui nous a donné des ailes pour voler. Elles sont la mémoire, le c½ur et l'âme de la famille
J'espère être capable de donner à mes petits-enfants autant d’amour que celui qu’elles nous ont donnes
Merci aux grandes mères pour toutes ces histoires racontées, pour tous ces moments partagés, pour ces années de sagesse et de tendresse vous avez toujours été pour vos petits enfants une source de valeur et de sagesse dans leur vie. Merci à nos Mamys pour toutes ces fois où nos grands problèmes sont devenus petits et où leur solutions sont devenues simples. Je vous remercie pour l'influence positive que vous avez eue dans nos vies. Ce message est ma façon à moi de mettre à l’honneur toutes les grandes mères du monde vivantes ou décédées et de leur dire merci merci merci pour avoir élevé nos mères et de l'avoir fait encore une fois avec nous ! Bonne fête à toutes les Mamys du monde. Nous vous aimons très fort.------

 

De : Mustapha OualikeneEnvoyer un mail

Le : 28/02/2019 22:56

Bonsoir à toutes et tous. Petit message pour Renée Delforge 《Tapoune》Bonsoir Renée comment vas tu mon amie. J'ai bien reçu ton message mais je n'arrive pas à te réponse peut être as tu changer ton adresse Émail . Fais moi un message en privé pour me transmettre ton adresse exact. Portes toi bien ma chère amie prends bien soin de toi . Bisous de Bab El Oued

 

De : Lucien GOZLANEnvoyer un mail

Le : 28/02/2019 18:21

Voici mon mail pour le contact
gozlanlucien@gmail.com
A nouveau
Un grand merci d avance
G. L.

 

De : Lucien GOZLANEnvoyer un mail

Le : 28/02/2019 18:13

Bonjour,
J ai besoin d une personne qui doit voyager a Alger dans les semaines prochaines.
J ai besoin pour mon recit de quelques photos a Alger.
Il faut prendre en photo l immeuble du 16 rue Eugene Robes a Nelson.
L immeuble du 1 rue Feuillet qui est en haut de El Kettani.
L entree du 7 place du Gouvernement
L immeuble et l entree du 11 rue Bab Azoun.
L immeuble du 1 rue d Isly.
L immeuble du 26 rue michelet et son entree.
L immeuble du 30 rue Michelet et son entree
La photo du garage Lavaysse au 38/40 rue Michelet
La photo de l ancien Commissariat Central avec le cinema Cameo qui etait juste a cote sur la droite et derriere, le petit pont qui surplombait la voie ferroviaire et qui etait une autre sortie du Commissariat Central et qui donnait sur la rampe Chasseriau.
Merci d avance pour ce travail de memoire
Lucien GOZLAN, 14 avenue de la bouzarea

 

De : BAREA AngèleEnvoyer un mail

Le : 26/02/2019 22:23

AVIS DE RECHERCHE :
Je recherche un ancien camarade de la classe de BSEC au LYCEE OZENNE DE TOULOUSE dans les années 1964-1965 : BERENGUER Jean-Yves, qui est né dans les années 1945 ou 1946. J'ai vu son nom apparaître dans la liste des personnes ayant contribué à ce site pour la fourniture de documents.
En effet , début février aux obsèques de notre camarade Bernard DURAND nous avons été quelques uns à nous retrouver devant l'église. Pour certains il y avait plus de 50 ans que nous ne nous étions pas vus. L'idée a germé d'organiser des retrouvailles avant que nous ne disparaissions les uns après les autres…..
MERCI d'avance à tous ceux qui pourront m'aider dans cette recherche.

 

De : LLENAS Envoyer un mail

Le : 22/02/2019 10:04

Bonjour,
Je suis Marcel LLenas,photo ecole bd de la victoire année 61-62(ce2)avec M Ankaoua.Il y a d'ailleurs une inversion sur les photos entre M Pilato,l'homme à la pipe,et M Ankaoua,carrure de sportif.

De même, petite erreur ,la dame avec les Ceg et M Biot (directeur à l époque ) et M Ben Saïd ( là je ne suis pas sûr du nom) est Mme LLENAS Julie, ma mère ,institutrice à l'école jusqu'à l été 1963.
Par ailleurs,sur la photo ce2 où j apparais,le 3eme dernier rang à partir de la gauche est Philippe Garric.
Sinon merci pour cette belle évocation souvenir,l entrée de l école n'a presque pas changée. Cordialement
Marcel

 

De : george angladeEnvoyer un mail

Le : 21/02/2019 14:54

pour monsieur VOLTO j ai connu votre pere dans ma jeunesse je suis de 1939 et je passai tout mon temp libre chez ma grand mere au 40 aveunu malakoff.Jabitais a la cite des moulins mon premier voisin etait les PANDOLFO donc je vous met a tous mon tel.04 91 34 23 46 a marseille si certain me reconaissent j attend votre appel .je voudrais avoir des nouvelles des filles GUIJARRO de la rue du DEY NICOLE HUGUETTE ANTOINETTE .Pardon pour l ortographe j ais fait baucoup manqua_haura salut a vous tous et merci monsieur TIMONET .

 

De : Mustapha OualikeneEnvoyer un mail

Le : 21/02/2019 14:27

L'article du soir d’Algérie était suivi d'une lettre
de condoléances écrite par Hubert Ferrer lui même à la presse Algérienne le Soir d’Alger suite au décès de son ami cycliste Sid Ali Sayah dont voici le contenu dans son intégralité.
La lettre de M. Hubert Ferrer
«Monsieur,
Je m’adresse à vous pour vous demander d’être mon porte-parole auprès des cyclistes algériens et autres pour vous présenter à tous mes condoléances pour le décès de mon ami Sid-Ali Sayah. Dans toutes les compétitions auxquelles nous avons participé en Algérie, Sayah a toujours été mon adversaire le plus redouté. Il avait toutes les qualités pour être un grand coureur cycliste (pointe de vitesse grimpeur…). J’ai beaucoup regretté qu’il ne vienne pas avec moi en France pour faire les grandes courses internationales. Il avait participé aux Tours de France et autre. J’ai toujours eu un grand respect pour sa loyauté et sa combativité. Je suis très peiné par sa disparition et vous renouvelle ma demande d’accepter et de transmettre à vos lecteurs mes sincères condoléances.»
Hubert Ferrer

 

De : Mustapha OualikeneEnvoyer un mail

Le : 21/02/2019 14:19

Je vous fais partager un article paru dans le journal le soir d’Algérie et qui fait l’éloge du coureur cycliste Hubert Ferrer que nous avons tous connu dans notre enfance pour l'avoir vu courir dans les courses cycliste
VOICI L'ARTICLE:
Témoignage poignant que celui apporté par un ancien cycliste professionnel français auteur de quatre participations au Tour de France envers son plus acharné adversaire, un Algérien, dans toutes les courses cyclistes qu’ils avaient courues durant les années 60/70.
Lui, c’est Hubert Ferrer, actuellement âgé de 82 ans (il est né le 27 janvier 1937 à Alger) qui a transmis, à travers notre journal, un message de condoléances aux «cyclistes algériens», écrit-il, suite à la disparition de son ami et «adversaire le plus redouté», l’Algérien Sid-Ali Sayah décédé le 10 janvier dernier des suites d’une longue maladie à l’âge de 85 ans et enterré le 11 janvier dernier au cimetière de Béni-Messous dans la discrétion la plus totale. Dans cette lettre datée du 19 janvier dernier et que nous avons reçue hier matin, le champion français n’a pas manqué de souligner les qualités de «loyauté» et de «combativité» mais aussi la décision de son ami algérien de ne pas se rendre en France pour prendre part aux grandes courses internationales telles que le Tour de France. Plusieurs fois champion d’Algérie, quatre fois sacré dans le championnat d’Alger, le regretté Sayah faisait partie de la grande école de la petite reine en Algérie. Avec Belksir, Zaâf et Kebaïli notamment, il avait assuré le spectacle durant toutes les courses organisées en Algérie, avant et après l’indépendance du pays. Membre fondateur de l’USSN, Sid-Ali Sayah, dont un de ses fils est également un champion cycliste, était devenu le doyen du cyclisme algérien. En 1950, il était le premier Algérien et premier Africain à avoir pris part à un Tour de France. Sa dernière apparition publique remonte à 2014 à l’occasion du GTAC, invité par la FAC présidée alors par Rachid Fezouine à la caravane du Tour d’Algérie. Nous reproduisons ci-dessus la lettre envoyée par Hubert Ferrer à la grande famille du cyclisme algérien.
M. B.

 

De : ChristianEnvoyer un mail

Le : 20/02/2019 14:54

Les tribulations d'un certain diplôme ...

C’est souvent que les souvenirs affluent quand une pensée, un mot, une odeur, une image, un contact, un mouvement, une ressemblance, un son, une chanson, une voix, un rêve ... surgissent du néant où ils étaient enfouis.
Et ce qui est d’une banalité consternante pour certain-e-s, revêt pour celle ou celui qui l’a vécu, moi en l’occurrence, une importance et une objectivité accrues par la surprise de la (re)découverte de ce document, en ma possession par un concours de circonstances extraordinaires.
Je vous laisse le soin de les deviner grâce à un "détail" avant de les partager et de les revivre avec vous. Merci.  (Voir PJ)

Ce détail, c’est la date : 30 JUIN 1962 ! ! !
Date historique s’il en fut, pour les PN mais aussi pour les historien-ne-s pour lesquel-le-s la Grande Histoire s’écrit aussi avec les petites.
Après ma 1ère année, en tant que prof de Anglais-Français au Collège Laverdet de Maison-Carrée, et pour obtenir ma titularisation, je suis muté d’office à celui de Marengo-Square, poste pour lequel, les candidatures ne se bousculent pas ...
« Généreusement », on me confie une classe de 65 élèves  dans un préfabriqué jouxtant le commissariat (soigneusement barricadé et ... quelquefois attaqué).
Aucunement préparé pour les classes primaires, je fais de mon mieux pour enseigner à des enfants démunis, atteints de trachome à soigner, supporter avec eux le froid puis la chaleur torride de ce préfabriqué, les déplacements angoissants en car pour rentrer chez moi, à BEO le weekend  et pour en revenir, pas très rassuré, le lundi vers 5h du matin.
À peine marié, fin décembre, je reçois mon ordre d’incorporation pour le 4 janvier au Bastion 15 à Alger, annulé par un télégramme de l’Académie, m’enjoignant de me rendre à mon poste.
Avec un travail énorme de préparation et de corrections, un succès flatteur aux épreuves écrites du CAP, j’attends de pied ferme l’inspection qui devrait me permettre d’être titularisé grâce à ces enfants, disciplinés, attentifs et travailleurs.
Hélas pour moi, les jours passent et point d’inspecteur à l’horizon.
Je le sollicite maintes fois et surprise –massue ! Ce monsieur T., craignant de venir à Marengo, me convoque, chez lui à Blida, école du Centre, à 8h.
Choix cornélien. Ne pas y aller, c’est perdre l’espoir de ne plus être titularisé, y aller, c’est prendre d’énormes risques sur une route dangereuse où je peux être abattu ou disparaître. Je choisis de répondre présent. Je me retrouve devant une classe moins nombreuse mais totalement inconnue avec des consignes à exécuter dans les différentes matières et ce, pendant toute la journée, bien longue.
De 16H30 à 17h30, l’Inspecteur me donne des conseils, des bibliographies etc. , me félicite pour la conduite magistrale de mes leçons et la réussite au CAP qu’il me promet de m’adresser rapidement.
Très éprouvé mais aussi très fier et heureux, je quitte l’établissement et me rends à l’arrêt d’autobus pour retourner, toujours anxieux (barrages, mitraillages, force locale...) à Marengo.
Mais là, cruelle déception ! Les cars ne circulent plus à cette heure-ci. Que faire ? Je n’ai pas l’habitude des hôtels ni même la pensée d’en trouver un. Je suis pressé de rentrer et j’attends au bord de la route, une des rares voitures qui s’aventurerait sur cette route réputée peu sûre. Et voilà que, au bout d’une bonne heure, une 403 camionnette, s’arrête. Elle est conduite par le père d’un de mes élèves et nous arrivons sains et saufs au bercail.
Le mois de juin se passe sans aucune nouvelle de mon CAP.
Le samedi 30 juin, dernier jour de classe aussi ... sauf que demain, dimanche est un autre jour, le 1er JUILLET 1962 et que ce sera l’Indépendance.
Malgré les promesses du FLN qui s’était engagé à protéger nos personnes et nos biens, je ne tiens pas à rester sur place et à 16h30, avec des collègues, je descends, (après une multitude de barrages et au milieu de foules de gens) sur Alger, direction l’Inspection Académique où j’arrive au pas de course à 17h55.
Le concierge (que je connais) se prépare à fermer DÉFINITIVEMENT la porte et me laisse entrer dans ces lieux familiers où j’avais travaillé pendant l’été 1960.
Sans difficulté, je trouve le bureau de M. Scotti, Inspecteur d'Académie Adjoint qui se prépare à mettre un point final à ses fonctions et à qui j’explique mon odyssée.
Après vérification, il se rassoit, renseigne le CAP vierge, le signe, le tamponne et me le remet.
Nous sortons ensemble et les portes se referment derrière nous.
C’est donc le dernier document, (obtenu de haute lutte) de l’Inspection Académique de l’Algérie Française que je détiens précieusement et sans lequel, je n’aurais pas pu faire valoir mes droits ni exercer ce métier que j’ai tant aimé.
 
En écrivant laborieusement ces lignes, surgissent d’autres souvenirs de cette époque
où il fallait aimer notre pays natal par-dessus tout pour y demeurer (comme par exemple, entre autres, regagner mon logement de fonction à Marengo début juillet et le retrouver entièrement vide...)

Merci de les avoir lues et partagées : vous m’avez ainsi permis d’exorciser en partie, ces dures épreuves (et bien d’autres plus tragiques) que nous avons vécues, nous, les richissimes colons ....
BILLOTTA Tony

 

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