Liste des messages
Le : 09/11/2007 11:57
bonjour monique
juste un petit coucou - bien rentrée moi aussi aprés avoir récupérée ma voiture chez HELENE et enchantée de mon séjour - peut pourrons nous nous revoir un de cers jours fait une bise à ETOILE à plus tard
ANNE MARIE
juste un petit coucou - bien rentrée moi aussi aprés avoir récupérée ma voiture chez HELENE et enchantée de mon séjour - peut pourrons nous nous revoir un de cers jours fait une bise à ETOILE à plus tard
ANNE MARIE
Le : 09/11/2007 11:52
bonjour CHRISTIANE
on ne pouvais pas avoir d'hôtel plus lamentable que celui que nous avons eu à SANTA SUSANA c'est vrai, mais le fait d'être ensemble et d'avoir l'impression pendant quelques jours d'être toujours non pas chez nous , mais avec les mêmes ambiances le même langage quel bonheur cela faisait oublié le reste enfin c'est^pour moi ce je pense
ANNE MARIE
Le : 09/11/2007 09:43
Je vois qu'il y a un monserrat inscrit au forum. Est-ce Georges et sa deuch orange qu'on voyait arriver de très loin ?
Liliane
Liliane
Le : 08/11/2007 22:07
Pour Franck Sammut
Je suis une descendante des Galéa de Malte, bonnici et baldacchino, je n'arrive pas a vous contacter par votre e-mail sur le site, pouvez-vous me contacter merci Monique
Une cousinade auras lieu en juillet 2008
Je suis une descendante des Galéa de Malte, bonnici et baldacchino, je n'arrive pas a vous contacter par votre e-mail sur le site, pouvez-vous me contacter merci Monique
Une cousinade auras lieu en juillet 2008
Le : 08/11/2007 18:49
Bonjour à tous les amis(es)de BEO: A, Mr Yvon Alemany.Je tenais absolument à vous remercier,pour la photo que vous avez fait paraitre sur la garderie du jardin Marengo ou mon frère est au premier rang en haut, quatrième en partant de la gauche. Cet endroit magnifique, nous rappelle que de bons souvenirs.Je n'oublierais pas de parler bien évidement de Mme Koinka, je ne suis pas sur de l'orthographe de son nom.Une dame d'un âge avancée qui adorait les enfants,et avait pour fonction de femme à tout faire, mais surveillante avant tout. Je me souviens trés bien du labyrinthe au fond à droite du jardin, le bassin central avec son jet d'eau, et ses poissons rouges. La grande verrerie, mais aérée ou l'on faisait la sieste sur des tapis de rafia tréssés. Les aires de jeux, et le réfectoire en bas des éscaliers. Cette garderie existe toujours, malheureusement,nous n'avons pas eu l'autorisation de filmer,et de photographier. Le jardin entrée coté rampe Vallée est toujours magnifique, mais le jet d'eau du bassin ne fonctionne plus,quel dommage, et le pigeonnier est toujours l'à. Voila pour la petite histoire, encore une foi merci Mr Alemany. Je profite de cette l'occasion pour saluer au passage Mr Timoner, et sa famille. Cordialement: Alain Moreno
Le : 08/11/2007 18:06
à monsieur BISBAL
Je passe tous vos recits à un ami des Messageries qui n'a pas le Net-Il se régale de vos recits- Il a connu votre grand-père-
Le : 08/11/2007 16:45
Ma soeur Paule Lentrein est sur la photo de la rue suffren 1959/1960 d'Yvon Alemany
Elle est placée au dernier rang et la 5ème en partant de la droite. Elle a une belle étiquette placardée sur sa blouse !
Elle est placée au dernier rang et la 5ème en partant de la droite. Elle a une belle étiquette placardée sur sa blouse !
Le : 08/11/2007 13:21
j'ai vu dans vos photos que madame ZEKIA CHENENOU a envoye des photos d'alger plage en avril 2007 je voulais savoir si elle a d'autres photos d'alger plage j'habitais jusqu'en 62 derriere la fregate je me souviens de la plage on plongeait d'un poteau en fer qui se trouvait dans l'eau .J'allais a l'ecole de fort de l'eau mais j'ai habite au 7 rue nelson chierico dans la rue de l'epicerie Iborra mon ecole ecole de normandie et mon frere aine l'ecole lelievre
Je vous remercie pour votre travail on retrouve nos souvenirs comme si c'etait hier merci encore a bientot
Je vous remercie pour votre travail on retrouve nos souvenirs comme si c'etait hier merci encore a bientot
Le : 08/11/2007 11:59
Bonjour à Tous
Dans des messages,j'ai lu que certain(e)savaient de bonnes adresses pour des produits alimentaires bien de chez nous-Est-ce débile de leur demander de nous faire partager (région par région) pensons à ceux qui sont au-dessus de la Loire,les trésors trouvés
Ainsi à Rouen,sur la Place Saint Marc,le samedi,un boulanger vend de la mouna au poids,goûteuse comme là-bas,dis!!
Est-ce valable??? j'attends vos critiques (en bien,en mal peu importe)
Dans des messages,j'ai lu que certain(e)savaient de bonnes adresses pour des produits alimentaires bien de chez nous-Est-ce débile de leur demander de nous faire partager (région par région) pensons à ceux qui sont au-dessus de la Loire,les trésors trouvés
Ainsi à Rouen,sur la Place Saint Marc,le samedi,un boulanger vend de la mouna au poids,goûteuse comme là-bas,dis!!
Est-ce valable??? j'attends vos critiques (en bien,en mal peu importe)
Le : 08/11/2007 11:48
Le dernier.
Quand le dernier d’entre-nous partira, les mémoires partisanes se souviendront uniquement de ce qu’elles jugeront nécessaire aux thèses qu’elles soutiennent, aux arguments qu’elles défendent, aux sentiments qu’elles affichent. Nous serons utilisés comme des ombres indispensables au trompe-l’ 1/2 il des décors dans lesquels nos vies passées, nos espoirs, nos réussites et nos erreurs seront mis en scène. On nous attribuera un rôle sympathique ou détestable suivant le personnage qu’on voudra bien nous faire jouer.
Quand le dernier d’entre-nous partira, plus aucune voix ne portera notre sentiment de vérité sur notre vie en ce bout de terre d’Afrique où la volonté du destin conduisit nos aïeux. Le chemin sera fait. Notre malheur engendré par de fracassantes et hypocrites déclarations se figera à jamais dans notre silence.
Quand le dernier d’entre nous partira, ceux auprès de qui nous avons trouvé écoute, aide et compassion et qui allèrent jusqu’au sacrifice suprême, verront aussi pâlir puis disparaître le souvenir de leur fraternel et extrême engagement. Ce sera pour eux une injuste seconde mort.
Quand le dernier d’entre nous partira, ceux pour qui nous incarnions le malheur qui les frappe seront surpris de constater que celui-ci ne disparaît pas avec nous. Si leur courage les autorise à regarder le malheur en face, ils constateront que son visage n’offre pas la moindre ressemblance avec les nôtres.
Quand le dernier d’entre-nous partira, le soleil marquera le zénith comme à son habitude. Les vagues n’arrêteront pas un seul instant de caresser le sable de la plage. Le Siroco s’obstinera à porter la chaude haleine du sud. Cela n’empêchera même pas la chute d’une aiguille de pin dans notre forêt méditerranéenne. Nous ne nous en offusquerons pas. Nous n’avons pas l’outrecuidance de penser que nous intéressons les Dieux.
Quand le dernier d’entre nous rejoindra que ce soit dans la glaciale obscurité du néant ou dans l’éblouissante et chaude clarté d’un paradis, nous lui ménagerons une place dans notre grand cercle afin qu’en rassemblant tous nos souvenirs, nous puissions continuer encore et encore à vivre et à faire vivre notre Algérie.
Quand le dernier d’entre-nous partira, les mémoires partisanes se souviendront uniquement de ce qu’elles jugeront nécessaire aux thèses qu’elles soutiennent, aux arguments qu’elles défendent, aux sentiments qu’elles affichent. Nous serons utilisés comme des ombres indispensables au trompe-l’ 1/2 il des décors dans lesquels nos vies passées, nos espoirs, nos réussites et nos erreurs seront mis en scène. On nous attribuera un rôle sympathique ou détestable suivant le personnage qu’on voudra bien nous faire jouer.
Quand le dernier d’entre-nous partira, plus aucune voix ne portera notre sentiment de vérité sur notre vie en ce bout de terre d’Afrique où la volonté du destin conduisit nos aïeux. Le chemin sera fait. Notre malheur engendré par de fracassantes et hypocrites déclarations se figera à jamais dans notre silence.
Quand le dernier d’entre nous partira, ceux auprès de qui nous avons trouvé écoute, aide et compassion et qui allèrent jusqu’au sacrifice suprême, verront aussi pâlir puis disparaître le souvenir de leur fraternel et extrême engagement. Ce sera pour eux une injuste seconde mort.
Quand le dernier d’entre nous partira, ceux pour qui nous incarnions le malheur qui les frappe seront surpris de constater que celui-ci ne disparaît pas avec nous. Si leur courage les autorise à regarder le malheur en face, ils constateront que son visage n’offre pas la moindre ressemblance avec les nôtres.
Quand le dernier d’entre-nous partira, le soleil marquera le zénith comme à son habitude. Les vagues n’arrêteront pas un seul instant de caresser le sable de la plage. Le Siroco s’obstinera à porter la chaude haleine du sud. Cela n’empêchera même pas la chute d’une aiguille de pin dans notre forêt méditerranéenne. Nous ne nous en offusquerons pas. Nous n’avons pas l’outrecuidance de penser que nous intéressons les Dieux.
Quand le dernier d’entre nous rejoindra que ce soit dans la glaciale obscurité du néant ou dans l’éblouissante et chaude clarté d’un paradis, nous lui ménagerons une place dans notre grand cercle afin qu’en rassemblant tous nos souvenirs, nous puissions continuer encore et encore à vivre et à faire vivre notre Algérie.