Liste des messages
Le : 19/01/2008 16:17
Bonjour à tous. je suis nouvelle dans le site j'habite 40 rue eugène delacroix 49300 CHOLET entre ANGERS et NANTES dans l'ouest de la france.Je suis née le 25 10 1950 au 10, rue léon roches à BAB EL OUED, mariée à un PATOS de cholet depuis 1971. Maintenant que les deux enfants sont mariés et que je suis juste en retraite, je veux faire des recherches et retrouver mon enfance que j'avais mis de cote dans ma tête mais qui me fait tellement et terriblement mal, de vivre dans une région ou je n'ai pas de racines, et les anciens de la famille qui vivaient sur Marseille ne sont plus pour me raconter. Je vois que votre site est vraiment super, que les personnes sont heureuses de parler de notre enfance. Moi aussi
je voudrai retrouver des personnes. J'habitai coté gauche dans la rue leon roches quant on venait de la bouzareah,au numéro 10, un peu avant le jardin qu'il y avait avant l'église. Dans cette unemaison qui appartenait à ma grand mère MARIN, il y avait 6 appartements, à l'étage la famille THOUS, KRENKER, Mon père MARIN françois marié à ma mère ANDREE RAMIS, née à la basetta , et au rez de chaussée la famille SIMON, dont le fils s'appelle CLAUDE,ma grand mère MARIN,et la famille TRUJILLO ON était tous cousins dans ces trois familles
en face il y a avait une petite cote où tout en haut il y avait un mosabite embulant qui vendait des cacahuères, avant notre maison toujours côté gauche il y avait un grand immeuble où il y avait la famille AZAM un fils qui s'appelait daniel, il y avait la famille
LI , lui il était maroquinier. En bas il y avait une marchande de vin MME MARTINEZ que je connaissais bien sa petite fille . SI CELA VOUS RAPPELLE QUELQUE CHOSE, merci de me répondre et de m'aider JE VOUS EN REMERCIE VIVEMENT à bientôt
je voudrai retrouver des personnes. J'habitai coté gauche dans la rue leon roches quant on venait de la bouzareah,au numéro 10, un peu avant le jardin qu'il y avait avant l'église. Dans cette unemaison qui appartenait à ma grand mère MARIN, il y avait 6 appartements, à l'étage la famille THOUS, KRENKER, Mon père MARIN françois marié à ma mère ANDREE RAMIS, née à la basetta , et au rez de chaussée la famille SIMON, dont le fils s'appelle CLAUDE,ma grand mère MARIN,et la famille TRUJILLO ON était tous cousins dans ces trois familles
en face il y a avait une petite cote où tout en haut il y avait un mosabite embulant qui vendait des cacahuères, avant notre maison toujours côté gauche il y avait un grand immeuble où il y avait la famille AZAM un fils qui s'appelait daniel, il y avait la famille
LI , lui il était maroquinier. En bas il y avait une marchande de vin MME MARTINEZ que je connaissais bien sa petite fille . SI CELA VOUS RAPPELLE QUELQUE CHOSE, merci de me répondre et de m'aider JE VOUS EN REMERCIE VIVEMENT à bientôt
Le : 19/01/2008 12:54
Merci à Alfred LANGLOIS pour nous remémorer tous nos souvenirs...
J'ajoute également les marchands de cacahuètes, de bonbons et de bliblis blancs ou roses, qui étaient au coin des rues assis en tailleur, des marchands de figues de barbarie devant la goutte de lait, les chevaux avec le museau dans la mangeoire et leur calèche alignés en bas de la rue cardinal verdier. Mon père menuisier venait marchander avec les propriétaires arabes un cheval pour livrer ses meubles. Et aussi notre traditionnel Blanchette sans oublier les sacs de jute remplis de légumes des moutchous du marché et toutes les senteurs oubliées de poisson, calentita, olives et autres charcuterie et bonnes choses de ce magnifique marché de BEO.
Un retour en arrirère qui fait du bien.
Bonne année à vous tous.
LILIANE
J'ajoute également les marchands de cacahuètes, de bonbons et de bliblis blancs ou roses, qui étaient au coin des rues assis en tailleur, des marchands de figues de barbarie devant la goutte de lait, les chevaux avec le museau dans la mangeoire et leur calèche alignés en bas de la rue cardinal verdier. Mon père menuisier venait marchander avec les propriétaires arabes un cheval pour livrer ses meubles. Et aussi notre traditionnel Blanchette sans oublier les sacs de jute remplis de légumes des moutchous du marché et toutes les senteurs oubliées de poisson, calentita, olives et autres charcuterie et bonnes choses de ce magnifique marché de BEO.
Un retour en arrirère qui fait du bien.
Bonne année à vous tous.
LILIANE
Le : 19/01/2008 09:45
Bonjour l'Ami Michel SUCH. Est-ce que tu souviens du Nom ou Prénom du notre de MOZABITE, qui avait son epicerie juste a coté de notre entrée d' immeuble (72) et son signe particulier? L'été, il descendait a la plage de l'Eden a 6hoo avec ses fils et un neveu( parait-il) et plongeaient tout habillés, ils s'amusaient comme des enfants, un veritable folklore, Sacha Guitry avait ecris "SI VERSAILLES M'ETAIT CONTE" il y aurait de quoi ecrire aussi sur cette plage " SI L'EDEN M' ETAIT CONTE" nostalgie, nostalgie!!!!!!!!!!!
Le : 18/01/2008 22:42
coucou je te souhaite ainsi ka elise une bonne annee 2008 la je me trouve chez francette tes voyages se sont il bien passer je doit y aller pour paque gros bisou a vous deux christiane repond moi suis sur lemail a francettte bisou
Le : 18/01/2008 22:32
pour J.P torres .......avez vous un frere du nom de georges et es que vous .vos parent tener til un magasin de vin a la rue maxime noiret merci pour votre reponse.je nai pas dordi veuillez me repondre sur lordi mon amie martinez.francette@yahoo.fr merci
Le : 18/01/2008 20:20
bonjour jp DE TORRES,dans 1 de tes messages tu parles d'1 film!tu crois qu'on pourra le visionner?si j'ai bien compris ya 1 probleme avec le materiel,alors dés que c'est bon tu m'l dit, allez a ++++++
Le : 18/01/2008 19:07
A Michel Such
le terme de "moutchou" n'a rien de péjoratif dans notre language de BEO.
J'ai toujours entendu mes parents et les habitants de notre faubourg les appeler ainsi.
Il me semble qu'à l'époque les intéressés, eux memes, s'en souciaient peu, c'était passé dans " le parlé " populaire.
C'est certain que tous les membres de cette "grande famille d'épiciers" étaient originairse du M'ZAB et doivent, donc, se nommer Mozabites.
DONT ACTE !
Je ne le ferai plus , ma parole , j' te jure et je crache par terre.
Freddy
le terme de "moutchou" n'a rien de péjoratif dans notre language de BEO.
J'ai toujours entendu mes parents et les habitants de notre faubourg les appeler ainsi.
Il me semble qu'à l'époque les intéressés, eux memes, s'en souciaient peu, c'était passé dans " le parlé " populaire.
C'est certain que tous les membres de cette "grande famille d'épiciers" étaient originairse du M'ZAB et doivent, donc, se nommer Mozabites.
DONT ACTE !
Je ne le ferai plus , ma parole , j' te jure et je crache par terre.
Freddy
Le : 18/01/2008 18:39
une bonne fois pour toutes, peut-on écrire mozabite à la place de mout... Sur le site à Christian, personne ne dit youp..., bic...,... Alors c'est promis??? MOZABITE; MOZABITE; MOZABITE....
Michel
Michel
Le : 18/01/2008 15:32
Je me souviens de la GOUTTE DE LAIT, nous avons eu l'avantage d'y aller quelquefois, mon frère et moi, accompagnés de ma mère. Autant que je me souvienne les soeurs nous donnaient du lait à boire sur place et également pour emporter.
Ce devait etre dans les années 43 ou 44.
En restant sur ce coin de BEO, qui se souvient du fabricant de cages d'oiseaux (un tout petit artisan).
Son atelier se trouvait dans le passage à moitié goudronné et l'autre encaillassée, qui partait devant l'immeuble du 68 avenue de la Bouzaréa pour "descendre" sur la rue Léon Roches (passage uniquement praticable à pied).
l me semble que ce monsieur était espagnol et tout le monde le surnommait : "EL TIO D'ELS PARDALETS".
Revenons face à la goutte de lait où nous trouvions, entre- autre : la boulangerie CLAPEZ, d'ou "sortaient" tous les jours d'énormes plaques de calentita posées sur un genre de poussette qu'un employé, ou un parent, de la boutique "promenait" dans tous le quartier.
A l'aide d'un couteau de peintre lui servant de moyen d'appel (en frappant sur les toles), et, également lui servant à découper les parts du succulent et brulant "gateau de farine de pois chiches".
Dans le meme secteur se trouvait, également un "moutchou" dont la grande spécialité était " la construction" de magnifiques tours soit de tablettes de chocolat ou de boites de lait, enfin de tous produits "empilables".
Enfin je citerai l'atelier/boutique du grand père CASAGRANDE, grand "SPARDEGNERO" parmi les grands.
Il vous fabriquait, en quelques heures de confortables et très solides espadrilles "sur mesure".
Mon frère et moi avions droit à une paire chacun tous les débuts d'été, espadrilles payées, exceptionnellement, par notre grand-mère maternelle, sans doute en souvenir de son pays d'origine !
S i je ne me trompe pas Mr Casagrande était le grand père de la famille, du meme nom, qui habitait à la rue Taine.
Toujours dans le coin et en descendant vers le marché, nous ne pouvons oublier le CAFE DE BARCELONE, haut lieu de l'apéro, de la kémia, de la ronda eu du six mora.
Voilà j'ai fait le tour de ce petit bout de BEO, tout étant parti de la GOUTTE DE LAIT pour aboutir AU VERRE DE CRISTAL !
FREDDY
Ce devait etre dans les années 43 ou 44.
En restant sur ce coin de BEO, qui se souvient du fabricant de cages d'oiseaux (un tout petit artisan).
Son atelier se trouvait dans le passage à moitié goudronné et l'autre encaillassée, qui partait devant l'immeuble du 68 avenue de la Bouzaréa pour "descendre" sur la rue Léon Roches (passage uniquement praticable à pied).
l me semble que ce monsieur était espagnol et tout le monde le surnommait : "EL TIO D'ELS PARDALETS".
Revenons face à la goutte de lait où nous trouvions, entre- autre : la boulangerie CLAPEZ, d'ou "sortaient" tous les jours d'énormes plaques de calentita posées sur un genre de poussette qu'un employé, ou un parent, de la boutique "promenait" dans tous le quartier.
A l'aide d'un couteau de peintre lui servant de moyen d'appel (en frappant sur les toles), et, également lui servant à découper les parts du succulent et brulant "gateau de farine de pois chiches".
Dans le meme secteur se trouvait, également un "moutchou" dont la grande spécialité était " la construction" de magnifiques tours soit de tablettes de chocolat ou de boites de lait, enfin de tous produits "empilables".
Enfin je citerai l'atelier/boutique du grand père CASAGRANDE, grand "SPARDEGNERO" parmi les grands.
Il vous fabriquait, en quelques heures de confortables et très solides espadrilles "sur mesure".
Mon frère et moi avions droit à une paire chacun tous les débuts d'été, espadrilles payées, exceptionnellement, par notre grand-mère maternelle, sans doute en souvenir de son pays d'origine !
S i je ne me trompe pas Mr Casagrande était le grand père de la famille, du meme nom, qui habitait à la rue Taine.
Toujours dans le coin et en descendant vers le marché, nous ne pouvons oublier le CAFE DE BARCELONE, haut lieu de l'apéro, de la kémia, de la ronda eu du six mora.
Voilà j'ai fait le tour de ce petit bout de BEO, tout étant parti de la GOUTTE DE LAIT pour aboutir AU VERRE DE CRISTAL !
FREDDY
Le : 18/01/2008 13:01
Salut a tous, salut Henri RINDOVETZ,
Tu connais mieux Montplaisant que moi pour y avoir vécu,mais je garde de trés bons souvenirs de cet endroit ou j'en ai fais voir de toutes les couleurs à ma grand-mére et à Mme PUIG,que ma grand-mére logé avec son mari,pour garder et surveiller "La campagne".
Je suppose que nous sommes un peu plus que 2 à ce souvenir de ce coin.
Je continu sur ton adresse mail.
Amicalement .
Alain.
Tu connais mieux Montplaisant que moi pour y avoir vécu,mais je garde de trés bons souvenirs de cet endroit ou j'en ai fais voir de toutes les couleurs à ma grand-mére et à Mme PUIG,que ma grand-mére logé avec son mari,pour garder et surveiller "La campagne".
Je suppose que nous sommes un peu plus que 2 à ce souvenir de ce coin.
Je continu sur ton adresse mail.
Amicalement .
Alain.