Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

De la part de la clique des messageries.

FORZA SIGWALT PLUS QUE JAMAIS

BONJOUR A TOUS
JE VOIS QUE VOUS PARLEZ DE LA PLACE LELIEVRE ET DE L'ECOLE . MES FRERES Y SONT ALLES ET L'UN D'EUX AIMERAI RETROUVER DES COPAINS SEULEMENT IL NE SE SOUVIENT PLUS DES NOMS . IL Y A UNE PHOTO D'ECOLE JUSTEMENT OU MON FRERE ALAIN EST DESSUS . SI PAR CHANCE CERTAINS SE RECONNAISSE , CA LUI FERAIT ENORMEMENT PLAISIR DE REPRENDRE DES CONTACTS . ALAIN EST NE EN 1944 .
EST-CE-QUE VOUS AVEZ CONNU JOSE DIT ELVIS , LE NEVEU DU MUET DIT PEPE AINSI QUE JOSEPH MAGIAPANI ? JOSE AVAIT UNE SOEUR QUI A L'EPOQUE FREQUENTEE HENRI FUSTER DE LA BASSETA . DEUX BONNES FIGURES DE LA PLACE LELIEVRE AUSSI , ET DE BONS AMIS A MON FRERE . OU EST CE BON VIEUX TEMPS ?
CHRISTIAN , GRACE AUX PHOTOS DE MON ECOLE RUE DE NORMANDIE QUE JE T'AVAIS ENVOYE , J'AI PUE QUAND MEME RETROUVEE 3 COPINES . JE T'EN REMERCIE INFINIMENT. JE GARDE L'ESPOIR D'EN RETROUVER ENCORE .
PUISQU'ON EST DANS LES SOUVENIRS , QUI SE SOUVIENT AUSSI DE BOCCANFUSO LE MARCHAND DE MEUBLES ?
BIEN AMICALEMENT A TOUS .

Erreur de part, Madame Bougenot enseignait à l'école Franklin et non Suffren.

En ce qui concerne le Dr CHERQUI, si mes souvenirs sont bons, il habitait avenue du Général Verneau, dans le même immeuble que Mme Bougenot, institutrice de l'école de la rue Suffren, classe de 6ème. Cet immeuble faisait le coin avec la rue Suffren, à la même hauteur que les escaliers. Je me souviens de deux de ses frères, Mimi et René qui jouait au foot avec moi en équipe cadets de l'ASPTT. Il s'est installé en Israël. Il me semble aussi que Monsieur CHERKI père travaillait aux P.T.T.

bonsoir,

oui c'est bien cela, il s'agissait de Monsieur TABET et non TAIEB qui travaillait à la pharmarcie qui faisait angle rue des moulins et rue de chateaudun.

merci de me l'avoir rappelé.

et avec linda, jocelyne et toute la cité, nous allions chez un dentiste qui s'appelait SALOR et qui était à coté du Docteur CONIL. quand on avait mal, il rouspétait et ne voulait pas que l'on crie ou pleure pendant les soins.

nous les dégourdis de la cité, on avait peur de lui.
mais c'était bon enfant, et encore de bons souvenirs........

quelle joie ce bab el oued.

bises carmen

Ne riez pas mais souvent içi en Amérique, qand je veux embrasser quelqun ils me disent. "Oh non je ne veux pas que vous attrapiez mon rhume!" et automatiquement je leur réponds: " Moi, je n'y crois pas -alors je n'attrape jamais rien!" en effet..
Ma mére qui avait soigner presque tout, les méningites qui tuaient les enfants en 48 hrs' les Thyphoids. les Thyfus, et même une fois le Choléra, quant elle était jeune Infirmiére a' la Clinique des orangers. elle avait été 'a seule a s'occuper volontairement de 4
Marins Anglais qui en étaient tous morts par la suite malheureusement..
Rose n'avait peur de rien , car elle se croyait protégée de la divinité du bon Dieu car elle ne se faisait jamais payer pour ses soins.. Et alors aprés ça vous croyez que moi j'ai peur d'un rhume.!!! .Oooh la purée..ahchoum!!

Pierrette.

De Docteurs
Qu'ils étaient bons nos toubibs, c'est vrai qu'ils soignaient souvent pour l'amour de leur prochain en appliquant à la lettre le serment d'Hippocrate qu'ils avaient prononcé,cela se perd malheureusement.
Notre medecin de famille s'appelait POZZO DI BORGO ,un grand et imposant monsieur avec un coeur et une compétence aussi grands que sa taille,son cabinet était ave de la bouzaréa prolongée ,sa salle d'attente était toujours pleine à craquer .Il avait une voix d'outre tombe et trés impressionante.
Je lui dois la vie car il m'a sauvé in extremis de la diphtérie à l'age de 4 ans. Je ne sais pas ce qu'il est devenu aprés 62 ,si quelqu'un le sait .....
Il y avait aussi le Dr CHERQUI ,rue SUFFREN ,là aussi les piquouses dans les fesses faisaient mal.
,il faut dire que les aiguilles n'etaient pas si fines qu'aujourdhui.
Salut à tous et a + GG

Parlans de docteur..

Le notre s'appelait Goéau de la Bressoniere, et comme son mon l'implique, c'était un Aristo (avec des tendences Socialistes). Sa tante vivait dans un hôtel particulier prés du jardin Willermoz, avec le maitre d'hotel qui ouvrait la porte et tuti!
Mais Dr Goéau comme Rose ma mére l'appelait, était d'une grande simplicité, et il dépendait sur elle plus tard pour faire les pictures et soins des gens du quartier..qui souvent n'avait pas les moyens de payer ses horaires déja plus que modestes! Des fois ont le payer avec une poule ou les 1/2 ufs de celle cie'!! Quant à ma mére il va sans se dire ne demander jamais rien à personne-et c'est exactement ce qu'elle recevait! Par deux fois elle a sauver la vie d'un voisin, avec des sangsues de la Pharmacie--qui avait des hémoragies cérébrale..et croyez vous que peut étre il se serait arrêté lendemain en retournant au travail-- pour boire l'apéritif au café et dire merci a' Rose..Mais non--ce qui n'a pas empéché ma Sainte madré de retourner le soigner quant il en avait besoin!
Ont m'a dit plus tard que le fils du Docteur Goéau était un intime du président Mitterand, cuila' il était pas si béte,il etait entouré de pieds noirs...
Mais ça c'est une autre histoire.

Pierrette.

A Tous
A Carmen et Garcia Georges
Simplement deux anecdotes qui prouvent, s'il en est besoin, que Bab El Oued était une grande famille.
Mon amie Carmen a cité le Docteur CONIL, or ce medecin m'a soigné vers l'age de 13 ou 14 ans, pour une jaunisse nerveuse. Je me souviens que pendant plusieurs jours, avant d'aller en cours à FRANKLIN, je passais par son cabinet, prés du marché, où, son infirmière, Maria je crois, me faisait une piqure très douloureuse, car, huileuse.
Quant à Georges il s'est souvenu de Mlle GAVARONNE, prof de musique à Lelièvre, qui nous enseignait aussi la musique à FRANKLIN.
Notre clase se situait au troisiéme étage, et, souvent en "montant" ou "descendant" son guide chant "KASTRIEL", il avait quelques ennuis de "transport", ce qui explique le fait de son mauvais "accordage".
Souvenirs.....souvenirs.....
Amitiès
Freddy

Bonjour Tous

A la Place LELIEVRE de mon temps
il y avait PETIOT,SIMON,GERMAIN