pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

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De : sauveurEnvoyer un mail

Le : 16/04/2008 08:33

Bonjour à Tous

Une coutume des Ménagères Italiennes des Messageries

A la saison des tomates,lorsque celles-ci etaient en abondance sur le marché,à cette epoque elles n'etaient pas calibrées-Quelques dames ,economes ou avisées,se dirigeaient vers les etals de ces pommes d'amour ,juste au momentou le marchand allait remballer les reste de sa marchandise-Pour ne pas avoir à le faire,celui ci s''en débarassait a tres bas prix-Elles appelaient celà le Scampolo (Chkampolo)
Rentrées à leur domicile,elles coupaient ces fruits dans leur largeur et les mettaient à sécher au soleil,en été ce n'etait pas ce qui manquait-Ramassées,les tomates desséchées naturellement etaient passées au tamis- Leur jus fait à base de pulpe remplissait les bouteilles à fermeture à étrier- Pour cette fabrication artisanale et menagere,sur leur balcon,poussait du (baznicol) basilic en français d'ici
Ce jus naturel parfumait les macaronades dominicales,les fonds de ^pizza napolitaines,- Les bouteilles se vidaient bien avant Noël -Avec ce jus,dispaissait auusi l'eté

 

De : rachid zemourEnvoyer un mail

Le : 16/04/2008 00:49

henri agullo
je tiens a te dire que je n'arrive pas a obtenir ton adresse mail en clikant sur enveloppe situer au dessus de ton nom je dois avoir un bleme avec l'ordinateur, ci cela est possible peut tu me contacter sur rachidzemour@yahoo.fr merci je te serai reconnaissant à bientot

 

De : rachid zemourEnvoyer un mail

Le : 16/04/2008 00:35

bonjour henri agullo
je suis heureux que tu sois en contacte avec jacqueline je souhaite te joindre mais je n'ai pas ton adresse mail peut tu me repondre stp merci millemerci

 

De : Beurrier LucienneEnvoyer un mail

Le : 16/04/2008 00:05

Je pense souvent à un ancien copain de BEO qui était coiffeur rue Suffren
il s'appelait Charly, il m'avait appris à danser le rock, et j'ai tellement aimé
que nous dansions tout en rock. C'est grâce à lui que j'ai gagné à Sarcelles
en 64 le premier prix. Je ne connais pas son nom de famille, mais comme je
serais heureuse d'avoir de ses nouvelles. D'avance merci
Lucienne

 

De : agullo henriEnvoyer un mail

Le : 15/04/2008 23:38

pour guy Soltana et yvon Alemany
mon père diégo agullo avait la fabrique d'espadrilles rue gustave mercier mais décédé
en 1958 mon frère du mème prénom diégo avait pris la suite et tranformé en garage
renault .malheureusement diégo nous a quitté il y a 10 ans.
amicalement.
henri agullo.

 

De : PierretteEnvoyer un mail

Le : 15/04/2008 21:12

PS: Il est 13 h 16 ici. Nous sommes 6 hrs en arriere de l'Europe.

 

De : pierretteEnvoyer un mail

Le : 15/04/2008 21:08

En effet, la Floride a un temps meme meilleur qu'en Algerie ou si tu te rappeles ont pouver aller faire du ski a'Chrea a' 50 kms d Álger en hiver*. Ici apart les ouragans de temps en temps. il fait beau toute l'annee meme en hiver ou je me baigne dans la piscine au dehors de mon quartier.

Pierrette.

* Je me rappele que pendant la guerre, quand on crevait de faim a' Alger, en hiver j'avais des engelures aux pieds et aux mains a cause du froid et du manque de chauffage au cafe'.

 

De : Guy Soltana (34, rue Mizon)Envoyer un mail

Le : 15/04/2008 20:47

à Pierrette,
Pierrette, qu'elle heure est-il chez-vous ? Vous avez bien de la chance d'avoir beau temps. J'habite en Alsace et il fait gris et froid. Il a plu à verse toute la journée. Ce n'est pas le temps que j'ai connu enfant, là-bas...
Amitiés
Guy.

 

De : pierretteEnvoyer un mail

Le : 15/04/2008 20:24

Guy tu rigoles, le pauvre clebar.. il m'aime baucoup. Il y a 5 minutes nous etions dehors tous les deux a prendre le soleil. et avant de rentrer je lui ai dis":Aller Louis va faire pipi. (il comprend le Francais) et il m'a obeit. Si seulement maintenant je pourrais me trouver un nouevo aussi gentil et obeissant!

 

De : Guy Soltana (34, rue Mizon)Envoyer un mail

Le : 15/04/2008 19:52

à Yvon Alemany,
Yvon, tu dis que ton père travaillait dans le garage Agullo qui se situait rue Gustave Mercier. Pour moi, Agullo était une fabrique d'espadrilles (Agullo et Berardi). Lorsque la porte était ouverte, nous regardions tourner les bobines de ficelle qui se terminaient, au bout de la chaîne, par une espadrille.
Un peu plus bas, se trouvait la "maison fantôme". On y pénétrait par la rue Gustave Mercier, on montait les escaliers (4 ou 5 étages) et on ressortait rue Vespasien. Il faisait noir et on faisait fissa pour monter, on avait une de ces peurs...

à Pierrette,
Fais un méchoui ce c.. de chien !

Amitiés à tous.

 

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