pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : Autuori AugusteEnvoyer un mail

Le : 27/05/2008 10:00

Bonjour à tous, voilà avec Guy Sauveur Jacky et moi, nous revenons de chez nous, 3 jours courts et longs à la fois.
Premier sentiment en foulant le sol nous somme chez nous, tout revient comme si nous étions partis la veille, les noms des rues, des voisins, des commerçants, le plus surprenant les distances, ce qui paraissait loin et long et a coté et court.
J’en profite pour remercier Aziza, Rachid, Mus’ et Hocine, qui ont tout fait pour rendre ce voyage encore plus beau. C’est sur je retournerais pour un séjour plus long.
J’aurais l’occasion d’en parlé à Rognes.
Babelouedement

 

De : edmondEnvoyer un mail

Le : 27/05/2008 02:52

A Norbert Alberola,

Bonjour cher ami PN ! j ai lu plusieurs de vos emails sur le site,
etjeme suis souvent demande si par hasard vous etes apparente (ou le fils de) Mr. Alberola, le laitier de la rue de La Bretonniere(entre la rue Barra et Rosetti a BEO)ou l on se ravitaillait de tous ses
produits laitiers avant la fin dela guerre en 45?
Il semble que vous avez ete etudiant a Berkeley, California, prestigieuse Universite dans les annees 62/65 (d ou mon epouse est diplomee) et je comprends peut-etre pourquoi l on peut parfois
perdre l'enjoyment de ses racines. Cependant, j ai toujours adore
les citations d un ami cher de la rue Cadix, qui habitait la cour des
miracles, avec un education tres primaire, mais avec une connaissance
presque parfaite de la vie. Sa citation favorite etait:
Il est des cas des plus subtils, ou les hommes les plus perplexes
sombrent dans les vicissitudes les plus alleatoires...!!!
Va saouar !! Comme disaient Camus et Mr. Germain, son professeur !
A bientot a Rognes et vous rencontrer avec grand plaisir, nous retrouverons nos racines, car pour moi aux USA, il n y a que ca
qui me manque ya rhoyia !! amities Edmond.

 

De : RACHIDEnvoyer un mail

Le : 26/05/2008 21:15

A L'ATTENTION D'ANDRE NOEL DE-CRESCENZO:
Bonsoir DEDE ,je viens de lire ton message sur ce site et je te fais savoir que mon adresse est toujours la meme et la suivante:
rachidfaid@hotmail.com
Bien à toi mon cher ami.
RACHID

 

De : pierretteEnvoyer un mail

Le : 26/05/2008 21:10

pour la KETOUBA, ESSAYEZ;
RABBIN@viejuive.com

Bravo et bis Andre'---les souvenirs sonts les seules choses qui nous restent;merci de partager les votres avec nous.

pierrette.xxxx

 

De : schiano di cola ReineEnvoyer un mail

Le : 26/05/2008 20:58

Merci monsieur TRIVES
que de beaux souvenirs,et avec quelle aisance vous nous avez conte
notre jeunesse. Mais nous les filles de bonne familles(comme on le disait)
nous etions un peu plus surveillées nous n'avions pas toujours la libertè
que vous ,quoique ,des fois on se (taillées) mais gare au retour?
continuer Monsieur à nous rappelez ce temps beni

 

De : André TRIVESEnvoyer un mail

Le : 26/05/2008 20:30

ERRATUM: dans le message paru ce jour il fallait lire:
Printemps 1956-Eté 1961

 

De : RachelEnvoyer un mail

Le : 26/05/2008 19:09

Encore, encore André Trives !
Dites moi monsieur Albérola, ça vous chagrine que vos compatriotes puissent se régaler ?
Pas grave !
..............................
Pour la kétouba, il faut écrire au consistoire central de France à Paris je pourrais vous donner en privé les coordonnées . et eux font suivre les infos

 

De : MICHELEEX BENAZAEnvoyer un mail

Le : 26/05/2008 18:31

UN ANCIEN P/N RECHERCHE SA KTOUBA{MARIAGE JUIF}IL S'EST MARIE A LA SYNAGUOGUE DE LA RUE SUFFREN.QUI PEUT ME DIRE A QUI IL PEUT S'ADRESSER?

 

De : Antoine BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 26/05/2008 18:29

Bien sûr que nous sommes toutes et tous gagné-e-s par la fébrilité de nos retrouvailles et que nous venons plus d'une fois par jour sur LE SITE pour en savoir plus sur ce moment tant et tant attendu, celui qui, par magie nous fera remonter le temps de près d'un demi-siècle et nous replongera, au fil de nos rencontres, dans notre prime enfance ou dans notre adolescence... Et nous, celles et ceux qui vivons loin des rives de notre Méditerranée, en France ou dans d'autres pays, qui n'avons pas le bonheur de vous croiser , nous avons besoin de vous revoir, vous entendre, vous toucher pour revivre et nous en "mettre" plein les yeux, plein les oreilles, plein le nez, plein le c 1/2 ur....Mais comment ne pas nous rater? alors que nous sommes si fébriles et que nous sommes toujours à la recherche de : "tu l'as pas vu-e? - "Non" - "Viens, elle/ il est la-bas".... Et moi de fendre la foule sans même soupçonner qu'un-e autre que toi est aussi là et que j'aurais pu la/ le serrer dans mes bras..
Alors, je viendrais à Rognes avec un gros marqueur et sur le panneau préparé par nos infatigables organisatrices et organisateurs, j'inscrirai mon nom pour que les suivant-e-s sachent que je suis là même si je n'y suis pas.... Tu me suis? Non? Bon, chez nous, on dit toujours "là" : ça veut dire que n'importe qui saura que je suis venu...On saurait donc pratiquement retrouver tout le monde, faire jaillir nos souvenirs, battre nos c 1/2 urs à l'unisson, en faire un bouquet à offrir à toutes celles et ceux qui nous ont quitté-e-s,qui avant de repartir et prendre la route la tête dans les étoiles brillantes de nos visages,nos voix, nos gestes, toutes ces braises de notre terre natale....
Je vous embrasse
tonybillotta@yahoo.fr

 

De : Norbert AlbérolaEnvoyer un mail

Le : 26/05/2008 17:49

Les souvenirs de M. Trives sont magnifiques...mais un peu "décalés"
jugez-en nous sommes bien loin de 1956.
le Twist c'est en 1959 - le Madisson en 1960. on ne dansait pas le Hulla hop ( c'était les cerceau autour de la taille) mais le Hully Gully et c'était en 1960.
Et Dieu créa la femme fut achevé en 1956, mais ses problèmes avec la censure retarderent sa sortie en octobre 1957. "Les tricheurs" achevé en 1958 sortit en mai 1959. La mini-jupe elle vit le jour en angleterre en 1962 dans la boutique Baazar dans king's road.
J'ai gardé le plus beau pour la fin...Les sweats avec les noms d'universités des USA. Le premier (celui d'UCLA)date de l'automne 1963. Il fut porté par les étudiants qui contesterent l'obligation de ne pas venir en cours avec une tenue de sport. Ils firent fabriquer des sweats avec le blason de l'université pour se différencier des tenues de sport qui elles portaient le nom de la discipline et l'année. Je sais, j'y étais.
Dites M. Trives, à quand les souvenirs du premier pas de l'homme sur la lune, transmis sur grand écran place Dutertre à la Bassetta...

 

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