pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : pierretteEnvoyer un mail

Le : 04/07/2008 17:38

Bravo Pierre Bisbal!! encore, encore!


 

De : Massa CharlesEnvoyer un mail

Le : 04/07/2008 16:10

normalement je ne passe pas par le site pour ce genre de problème mais ayant égarer l'adresse de mon correspondant qui j'espère pourra lire ce message.Ceci s'adresse à DJIAN YVES que j'ai revu à ROGNES.
J'ai bien reçu ton message sur mon fixe mais comme entre temps j'ai changé d'opérateur ceci explique cela donc voici mes coordonnées
mijocharly@sfr.fr télé 0468349711 ou 0629896595
salut fraternel charles Massa
En meme temps j'en profite pour saluer tous mes collègues
de France et de L'Etranger ils se reconnaisseront
MASSA CHARLES

 

De : alloucheEnvoyer un mail

Le : 04/07/2008 15:49

une bouteille jeter à la mer. Pour moi tout mes amis sont parti en voyage mes les réponses sont vaine je sais qu'il ne reviendront plus cela détruit ma pensée au fibre la plus secrète de mon ame j'attends leur retour mais le temps passe et je garde l'éspoir des retrouvail

 

De : IrisEnvoyer un mail

Le : 04/07/2008 15:36

Bonne journée au frais !
J'aime bien ce site tres sympa; je viens de prendre connaissance du récit
de Mr P.E Bisbal c'est émouvant et ça rappelle tant de souvenirs heureux
la description de cet apres-midi d'été qui se déroule dans cette atmosphère
de douceur dans cette salle a manger dans la pénombre pour se protéger de
la chaleur. Ces amies qui papotent tranquillement ....Tout cela reflète
bien l'ambiance de l'époque! C'était le bonheur! et nous ne savions pas.
A bientôt Iris

 

De : Pierre-Emile BisbalEnvoyer un mail

Le : 04/07/2008 10:32

Un après-midi
Le plein été de l’Algérie transforme les logements en étuve. Dans la journée, pour éviter de vivre dans un four on garde les persiennes closes et les rideaux baissés. Notre appartement baigne dans une semi obscurité. Le soir, la chaleur se transforme en moiteur moins oppressante, et devient presque supportable. Malgré ce carcan de chaleur ma grand-mère s’agite car, cet après-midi, nous recevons une amie de maman. C’est plus qu’une amie, c’est sa s 1/2 ur de lait. Elles sont nées pratiquement en même temps et ma grand-mère les a nourries ensemble. Etre nourrice fut, pendant longtemps, une alternative offerte aux jeunes femmes issues du monde des pauvres pour vivre moins misérablement. L’Espagne et l’Italie fournirent leur lot à l’Algérie. Notre invité arrive avec une grande pochette surprise pour moi et des gâteaux pour tout le monde. Ma grand-mère pose sur la table un broc de citronnade. Sur un napperon, maman a disposé nos beaux grands verres. Aujourd’hui ils ont quitté le buffet. Ils ne servent qu’exceptionnellement. C’est un signe précisant l’importance de notre invitée. Au bout d’un moment, ma grand-mère s’est éclipsée dans son royaume, sa cuisine. La canicule ne stoppe pas ses activités. Dans la salle à manger, assises sur un petit canapé, les deux jeunes femmes semblent s’amuser comme au temps de leur enfance. Elles vivent pleinement cette complicité née d’une affection de toujours. Elles parlent des « événements ». C’est un mot qui s’installe dans toutes les conversations. Un mot lâche, hypocrite et traître qui dissimule une réalité toute enflée de malheurs, de sang, de désespoirs et de morts. Un mot qui traîne avec lui l’horrible comptabilité des coups portés par chaque camp et la profondeur toujours plus importante de la plongée dans le malheur. Un mot qui borne un chemin sur lequel, malgré nous, nous nous sommes engagés mais dont nous ignorons qu’il sera sans retour. Une fois épuisé ce triste registre, la vie, la vraie vie reprend le dessus car le ton redevient enjoué. Il est question d’une de leurs connaissances qui a « passé la commande ». Fidèle à mon habitude je me tiens assez loin pour me faire oublier et assez près pour ne pas perdre une miette de cette intrigante conversation entre adultes. Il me faut toute ma vigilance car la tiédeur de la pénombre me tire vers le sommeil. Le temps se fait oublier et trompe notre vigilance. Les heures glissent. Sur la table le pot de citronnade est vide.
L’amie de maman consulte son bracelet-montre. Il est déjà tard. Elle doit partir. Elle se lève et récupère ses affaires posées sur une chaise. Elle dissimule son visage derrière un masque. Un large triangle de tissus blanc orné d’une fine broderie qui descend plus bas que le menton. Avec un geste ample et précis elle s’enveloppe dans une légère toile de cotonnade blanche qui la couvre de la tête au pied. Ce mouvement répand son parfum dans la pièce. Maman ouvre la porte du palier et déclenche la minuterie. Sur le pas de la porte les trois femmes s’embrassent pour se dire au revoir. Dans la maigre lumière jaune de la cage d’escaliers Haniffa agite une dernière fois sa main, dévale les marches et disparaît comme un léger fantôme.



Les souvenirs de mon enfance à Bab-El-Oued se trouvent sur mon blog :
http://www.sbeo.blogspot.com

 

De : oliviero alainEnvoyer un mail

Le : 03/07/2008 23:33

POUR BOISIS

JE SUIS NE A LA RAMPE VALLEE ET J AI LU VOTRE MESSGE A GHISLAIN
SUR LEQUEL VOUS PARLIEZ D UN CERTAIN DEDE DURA .
JE CROIS QUE MON ONCLE ETAIT UN COPAIN DE JEUNESSE
IL S APPELLE JEAN CLAUDE SOLDEVILLA ET IL AVAIT UNE VESPA , CA VOUS DIS QUELQUE CHOSE ?
SINON, AMITIES

 

De : tur-petroni mathildeEnvoyer un mail

Le : 03/07/2008 17:25

pour CARMEN ET SAUVEUR
merci pour les renseignements sur CETARA, cela paraît très joli.J'ai une
amie qui vient de rentrer d'un voyage sur la côte amalfitaine,je vais
l'intérroger ce soir.
Amitiés à tous les deux
Mathilde

 

De : alloucheEnvoyer un mail

Le : 03/07/2008 17:23

salut alain tu ne peu pas comprendre la nostalgie sa y fais c'est retrouver cet environnement cela suffit moi je vois ta l'impression quand ronronne

 

De : lubrano di ricco Envoyer un mail

Le : 03/07/2008 17:07

bonjour,
mon mari et ma belle soeur ont frequenté l'ecole lazerge et le lycée bugeaud.
Toute leur famille père grd parents sont originaires d'algerie....
depuis quelques générations dont j'aimerais aussi faire leur genealogie, c'est tellement un manque, tu pudiquement chez eux.
il y a pas longtemps j'ai montré a ma belle soeur votre site et d'autres ou il y a des photos de l'ecole lazerge et lycee Savorgnan de Brazza qu'elle a fréquentés ainsi des rues de son enfance........je ne vous dis pas l'émotion! j'aimerai tellement retrouver des personnes qui les ont connus.
Ma belle soeur Anny Lubrano ( di ricco) est née en janvier 1948, son frere michel Lubrano en 1949, ils ont habité avenue de la Marne jusqu'en 1962, j'aimerais leur faire plaisir en retrouvant leurs souvenirs, car de cette periode, ils n'ont rien ou si peu, internet est pas mal pour ca, aussi je lance des bouteilles a la mer....Nous habitons la Suisse. Merci de votre patience pour avoir lue ma tite lettre d'espoir, si vous avez quelques tuyaux à me donner pour mener a bien mon projet? ou si ce nom de LUBRANO DI RICCO vous dit quelque chose.....Leur maman était infirmière, et le papa, André lubrano travaillait à la prefecture....
Salutations cordiales chantal

 

De : alainEnvoyer un mail

Le : 03/07/2008 17:06


dommage que ce forum n'as plus d'âme ce sont toujours les mêmes personnage

qui raconte des histoires qui n'intéresse que les gens de leurs ages.partit

de bab el oued depuis le débarquement.

 

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