Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

Esprit babelouedien, tu étais là !
Il était en l'occurence à Rosès, chez Pierre Claude et Christiane qui nous ont reçues ,ma mère et moi, telles de la famille, avec un amour débordant de convivialité, de gentillesse, de ... Tout !
Et pourtant nous ne nous n'étions plus vus depuis des lustres !!
Un énorme Merçi à ce couple merveilleux, qui vit depuis leurs vingt ans, un amour merveilleux, intouchable ... Alors c'est vrai ! pour eux, Bab El OUed est plus que jamais , vivant !

A propos de Momo Nemmas
Puisque vous en parlez ci-dessous, je vous donne le site qui lui est dédié :
http://www.e-monsite.com/nemmasbabeloued/
le courrier inscrit dans ce site parviendra à son épouse puisque j'y ai noté son adresse e mail .

Le fait que je fait des fautes en français, n'est pas tellement important dans ma vie courante içi en amérique. je parle trés
bien l'Anglais et l'écris aussi bien (et tel que je le parle), comme
je le fais içi, tel que me l'avait conseiller Pascal Piat
l'Editeur d'Alger Republicain du temps d'Albert Camus. Quand il ètait client chez nous au Café de Cadix.
je sais que je frôle souvent le dérisoire de certains içi.. mais le plaisir que me procure ce blog de Cristian, où je rencontre tous mes amis anciens et nouveaux en vaut bien la peine.

Aprés tout, comme l'a si bien dit Sacha Guitry,
"Tout ce que je sais... je dois à mon ignorance!"

Pierrette.

Bonjour à tous

Toujours vite et voilà, nous ne relisons pas nos écris.Milles excuses, hier pleins de fautes et de coquilles dans mon message.Certains vont encore râler. De toute façon, j'étais le dernier en orthographe. Mais attention, le premier prés de la fenêtre, ma classe donnait, rue de Chateaudun. J'avais les bruits et les odeurs du marcher en direct et je laissais mon cerveau vagabonder et réfléchir au vélo que je commanderai pour Noël où à la construction de ma prochaine carriole, qui allait battre tout le monde dans la descente de la BASSETA.

Amitiés pieds noirs. Marco

Ok Ok! c'est "les choses que l'on garde." Un de ces jours l'orthographe va rentrée dans ma cabéssa, mais il sera sans doute trop tard,
et tous mes veux à pauvre Notre Dame d'Afrique ne pourrons
rien faire pour moi.

Pierrette.

C'est drôle des fois les chose que l'ont garde? hier j'ai trouvé
une petite carte de priére de Notre dame d'Afrique, que
j'avais envoyer à mon mari, quand il était en Italie pendant
la guerre en 1944.
La priére est longue et je ne vous ennuirais pas avec, mais à la fin, encore une fois elle répète:
"Notre Dame d'Afrique, priez pour nous et pour les musulmans,
Consolatrice des Affligés, priez pour nous."
L.A. Augustin Pavy
Evêque d'Alger.

Je pense que les priéres restent bonnes de tout temps, alors ce n'est pas étonnant que celle çie est encore avec moi; alors Que Dieu et Notre Dame d'Afrique vous bénissent à tous et bonne semaine.

Pierrette

qui peut me donner des nouvelles de mes cousines Monique et PAULE MIRALLES (de le leur de jeune fille)merci d'avance.

a guy soltana
bonjour a tous
oui GUY c'est exacte c'est en sautant a la corde que nous chantions ces chansons que de souvenirs c'est parfois bon de revenir sur nos souvenirs bonne journée andree

à Andrée Atlan,

Merci de me donner les paroles exactes de cette chansonnette qui me rappelle de si bons souvenirs. En effet, mon petit coeur de 10 ans était en émoi lorsqu'il entendait son amourette, la douce Francette Estève de la rue Vasco de Gamma, la fredonner. Si je ne me trompe pas, cet air rythmait le saut à la corde des filles. Souvenirs insignifiants mais, ô combien, doux.

Amicalement

Guy.

Bonjour mes amis de BEO.
En ce jour de Juin 62, départ de notre BEO, comme nous tous, ma maman et moi étions désemparés de quitter cette terre si chère à notre coeur. Nous étions tous les deux perdus dans cet aéroport de Maison Blanche, mon papa n'étant pas là, il était depuis + de 6 mois considéré comme un ultra et l'hote du gouvernement Français au camp de St Maurice l'Ardoise.
Ma maman était inquiète car en Avril, nous etions venus en France pour voir mon père, et nous mos sommes vu refuser l'argent d'Algérie à Marseille. Un chauffeur de taxi Arménien avait payé pour nous et nous avait même donné 100Fr de l'époque (quel brave homme, il etait passé par là lui aussi).
Je n'avait pas encore 14 ans, pourtant j'ai pris de la terre, plutot de la poussière avant de monter dans cet avion et lorque cette maudite carlingue à décollé, je me suis die que jamais plus, je ne verrai: ma rue, mon école de la place Lelievre, mes copains de l'ARMAF, la carrière Jobert et tous mes lieux de jeu préférés.
Avec le temps tout c'est un peu dissipé et maintenant à l'aube de mes 60 ans et grâce à Christian et toutes les personnes qui ecrivent si bien,les souvenirs me reviennent. Merci à tous de nous garder toujours conscients de nos formidables racines. Marco