pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

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De : SEBBAK marcelEnvoyer un mail

Le : 25/07/2020 22:19

Je recherche José SANCHEZ né en septembre 1940 avenue de la bouzareah a coté de la boucherie chevaline HENNY bab el oued ami d'enfance a fait son service militaire e Relizane je posséde une photo de lui qui m'avez envouyé
j'aimerais bien le retrouve si quelqu'un le connait pour me donner de ses nouvelles j'espère MERCI TON AMI Marcel

 

De : Antoine/Tony BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 23/07/2020 19:52

De l'Algérie on n’en guérit jamais Albert Camus

LES ODEURS DE LÀ-BAS

Sens-tu le frais parfum de la blanche anisette
Dans le verre embué ? Et celui des brochettes
Aux portes des cafés ? De là-bas c'est l'odeur.



Me voici transporté sous l'oranger en fleurs
Des souvenirs, soudain, s'ouvre tout grand le livre
Quand toutes ces senteurs se mettent à revivre,
C'est un ciel éclatant d'azur et de vermeil
Une mer d'émail bleu ondulant au soleil
C'est la vigne naissant au sein des terres rouges
C'est midi si brûlant que l'ombre seule bouge
C'est l'ardente clarté courbant les floraisons
C'est la chaleur, la plage; c'est notre maison.



Respire à pleins poumons cette odeur généreuse
Et vois le bourricot sur la route poudreuse
Qui trotte résigné, chargé de lourds paniers
Qui lui battent les flancs. Retrouve les palmiers
Aux écailles brunies dont la houppe balance
Dans les cieux en fusion la verte nonchalance
Qui, respire bien fort les parfums de là-bas
Et tu verras alors, emplissant les cabas
En tunique de sang, la tomate pulpeuse
L'orange ensoleillée et la grappe juteuse
Tu sentiras l'odeur des couscous épicés,
Des paëllas fumantes, des piments grillés,
Et l'arôme fruité de notre huile d'olive
La fragrance salée du rouget, de la vive
De la dorade rose au bout de l'hameçon
Dont on se mijotait des soupes de poissons
Vois les figues sucrées emplissant la corbeille
Près desquelles tournoient les friandes abeilles
Délaissant le jasmin langoureux, obsédant.


Nous mordions dans la vie, ensemble, à pleines dents

C'était la joie, le rire, c'était le bonheur !
Le passé contenu dans ces fortes senteurs
C'était les temps heureux, c'était notre richesse...
Car l'odeur de là-bas, c'était notre jeunesse !






 

De : Sarrazin georgesEnvoyer un mail

Le : 22/07/2020 21:33

Toute mon amitié à vous tous portez vous bien ! je n’ai toujours pas retrouver la petite fille farese de la rue jean_jaques rousseau Michèle Martinez si quelqu’un la connaît je vous remercie bien amicalement 👣🇫🇷

 

De : jean jacques HarfiEnvoyer un mail

Le : 22/07/2020 12:49

J'ai omis de preciser la demande est de Mm Logassi Claudette .

 

De : jean jacques HarfiEnvoyer un mail

Le : 22/07/2020 11:04

Recherche photos de l'école Soggema Jusqu'à l’année 49 a Alger .Merci

 

De : seksekEnvoyer un mail

Le : 20/07/2020 18:31


SALUT MOMO ,J'ESPERE QUE TOUT VA BIEN,DONNES NOUS DE TES NOUVELLES

TU A APRIS POUR ALPHONSE LIGORI,UN AMI DE +QUI EST PARTI

BON A BIENTOT.

 

De : Pierre Antoine LiguoriEnvoyer un mail

Le : 19/07/2020 11:52


Merci

 

De : Roger Boccia Envoyer un mail

Le : 17/07/2020 18:54

Avec un peu de retard je viens vous présenter mes sincéres condoléances attristées pour le décès de votre frére . Respectueusement ,
Roger Boccia fils de Michel Boccia le dernier gérant du bar appartenant à Mr Passaro .

 

De : Pierre Antoine LiguoriEnvoyer un mail

Le : 15/07/2020 12:21


Toute la famille vous remercie de l'attention que vous nous avez apportée lors de la disparition de notre frère Alphonse Liguori.

 

De : Antoine/Tony BILLOTTAEnvoyer un mail

Le : 14/07/2020 12:27


Le savez-vous?


Hubert Zakine

LES DOSSIERS DE L'HISTOIRE PARLENT DE MON OUVRAGE

Les Presses du Midi, faute d’avoir une classification « littérature de jeunesse » (ils en ont une appelée "littérature enfant", qui semble d’adresser à un lectorat de six-douze ans) ne communiquent pas sur le fait que cet ouvrage est un excellent roman pour adolescents. Ceci ne veut pas dire que des adultes ne prendront pas plaisir à le lire, mais son contenu fait que tous les collégiens et lycéens amateurs d’aventures réalistes, d’univers exotiques et de comique de situation l’apprécieront.

Attention, si plusieurs passages prêtent à sourire, ce roman historique raconte un drame, celui de la situation de la communauté israélite entre l’été 1940 et l’automne 1942. Le gouvernement de Vichy retire le 7 octobre 1940 la nationalité française accordée aux juifs par le décret Crémieux (pris en 1870), et toutes les lois antisémites s’appliquent durement en Algérie.

Nous suivons la vie, entre septembre 1939 et novembre 1942, de trois jeunes juifs âgés de dix ans au début du récit. Ils habitent le quartier de Bab-El-Oued à Alger, et se nomment Richard Atlan, Norbert Bensimon et Pierrot Abergel. Nous croisons des personnages historiques tels que Robert Brunschwig, professeur à l’université d’Alger jusqu’à l’été 1940, ou le grand rabbin Maurice Eisenbeth. L’un des jeunes est déjà fort intéressé par les filles mais celui qui va mettre nombre de familles juives en difficulté par ses vantardises le fait en se confiant à un camarade de classe. Se bâtir une réputation de résistants totalement imaginaire apporte des ennuis bien réels.

Les jeunes profitent du renvoi de leur instituteur public Ayache, de confession juive, pour faire l’école buissonnière, sous le prétexte inventé que son remplaçant les discrimine. Leur enseignant d’avant l’été 1940 les scolarise alors les matins. Mais avec l’exclusion des enfants juifs de l’enseignement public élémentaire, qui suit une année après, c’est une classe qui est reconstituée dans des bâtiments de la synagogue. Du fait d’un enchaînement de circonstances, qui a son origine dans le fait qu’un des membres du trio ait trouvé des tracts appelant à la désertion des soldats juifs encore sous les drapeaux, la police soupçonne les dirigeants de l’école parallèle d’être les instigateurs d’actes divers de résistance. Afin d’éviter aux familles dont les enfants sont scolarisés là des séjours temporaires ou prolongés en prison, ces familles sont clandestinement évacuées dans une petite ville côtière appelée Cherchell. C’est « l’opération sergent-major », du nom de la plume la plus utilisée dans les écoles françaises de 1870 à 1970.

L’ancien instituteur sait le débarquement des Américains imminent. Le texte ne le dit pas, mais les 21 et 22 octobre 1942 une rencontre clandestine passée dans l’histoire sous le nom de « Conférence de Cherchell » met en présence le général américain Clark et les responsables de la résistance en Algérie, pour préparer l’opération Torch. Ayache organise alors le retour des familles sur Alger. En conclusion, voilà un beau roman qui contient une multitude d’indices permettant de bien imaginer la vie d’une communauté juive en Algérie durant trois années de guerre.

 

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