pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : Claude-AmélieEnvoyer un mail

Le : 05/10/2009 14:23

Bonjour à tous

Je viens encore vous mettre à contribution, quelqu'un pourrait-il me donnait des nouvelles des mes amies d'enfance et voisines les soeurs LENGLAIN Marie-France - Jacqueline - Roselyne et Joëlle, du 40 avenue de la Bouzaréah.

Merci d'avance et à bientôt de vous lire

Babelouedement votre

Claude-Amélie

 

De : tmartine salaEnvoyer un mail

Le : 05/10/2009 13:53

mille merci a votre site !Javais lance 1 message comme 1 bouteille a la mer car je voulais retrouve moncousin Yves Sala depuis beaucoup trop d annees !!C est chose faite grace a vous!!!!Encore une fois MERCI MERCI!!

 

De : Anissa ZERROUKIEnvoyer un mail

Le : 05/10/2009 13:24

Bonjour ! c'est avec beaucoup d'émotion, que je viens de visiter ce site.

J'ai voyagé dans le souvenir et la nostalgie du passé, et j'ai revu en pensée beaucoup d'êtres chers, j'ai reconnu ou cru reconnaitre plusieurs visages...

Qui se souvient de la chanteuse internationale des colonies de vacances de l'E.G.A ; le VERIAZ, COMBLOUX,USTOU ? Qui chantait meme dans les avions qui nous emmenaient en vacances ?
Que sont devenues Janine Gardiola, Michelle et Danielle Molina, Annie Bardinet, Danielle Linares, Gypsie, Chantal Maupas, Jackie Wagner, Mr Faget, Manitou, et Capucine ...

Qui se souvient, des noels de la rue Valentin, de la petite fille qui chantait merveilleusement bien, disait-on ? "Trois anges sont venus me voir", elle a chanté dans une salle muette d'émotion et elle a fini sous un tonnerre d'applaudissements.

Qui se souvient l'école de la beaucheraye, de Mme Levrot, Mme Pastor ?
Que sont devenues, Mira Claudette,Paule Lemay, Danielle Muccia, etc...
Qui se souvient de la garderie legembre, de Mme Mascaro, de Mme Calipinzo et de Mme Mamo ?

Si vous me remmettez, écrivez moi, vous me ferez plaisir !

Cordialement et de tout coeur !

Anissa

 

De : Henri RindovetzEnvoyer un mail

Le : 05/10/2009 12:19

Merci beaucoup à André, Pierre Claude et Georges pour ces dernières nouvelles de notre cher Bab El Oued, j’ai presque envie de dire encore.
Merci aussi à Christian pour sa patience et sa persévérance.
Très cordialement à vous tous et à bientôt,
Henri Rindovetz,
BEO for ever.


 

De : josetteEnvoyer un mail

Le : 05/10/2009 09:43

Bonjour Perlette

Je viens de me connecter sur le site aprés plusieurs jours d'absence, malheureusement je n'arrive pas a vous écrire
personellement en cliquant sur la petite enveloppe. Moi ceux sont mes grands parents qui ont habitaient
au 1 du passage Martinetti au 4ème étage sur la terrasse. Dans l'immeuble il y avait au premier étage
Mme Lenoir brodeuse, au 2ème Mme Amiech et en face Mme Bénaïm Adrienne qui était sage femme
(elle m'a mise au monde et m'a accouchée de ma fille) elle vivait avec sa maman Mme Soussi,
au 3ème Mme Bijaoui ensuite Mme Bugéa et les Mir René et Mimi et leur fille Maryvone Mr Mir travaillait
à la mairie d'Alger au service d'hygiène, je ne suis pas trés sur de l'ordre.
sur la terrasse en face de mes grands parents il y avait la famille Caillot qui avait 6 enfants Yvette
- Colette - Christiane - Jean-Luc - Gérard et Marie-Claude, mes grands parents s'appelaient Chetrith.
J'ai bien connu les familles Abrami et Serror qui avait une fille Michèle. Dans l'immeuble de Mme Abrami
il y avait Cherifa - Tamani - Zorha et Ahmed mais je ne sais plus leur nom de famille.
Mes tantes ont été relogées à la rue Taine. J'espère vous avoir donné quelques renseignements, au plaisir de vous lire.
Avec un brin de nostalgie je vous adresse toutes mes amitiés.
Claude-Amélie


bonjour Claude Amélie

oui j'en avais parlé au modérateur moi aussi quand je clique je n'arrive pas à écrire sur la petite enveloppe,
quelque chose ne doit pas être configuré chez moi

Mme AMIECH était ma grand mère qui vivait d'abord avec mes parents puis après ils sont décédés nous étions 3 soeurs,
il y avait aussi sa soeur Berthe qui avait une fille un peu demeurée

je suis en relation avec Michele SEROR qui vit en Amérique maintenant

je pense que vous parlez de Mme Abdelkader avec ses enfants elle aidait ma mémé à nous élever moi aussi j'ai oublié
son nom de famille et quand je suis allée à Alger la rechercher malheureusement tout était détruit,

pour ma part nous avons déménagé en 60 et vécu rue soleillet à côté des eucalyptus et Mme Abdelkader malgré les évènements continuait de venir s'occuper de nous

cordialement

Josette Perlette

ps : je remets mon adresse josetteamiech@yahoo.fr

 

De : Claude-AmélieEnvoyer un mail

Le : 04/10/2009 22:57

Bonjour Perlette

Je viens de me connecter sur le site aprés plusieurs jours d'absence, malheureusement je n'arrive pas a vous écrire personellement en cliquant sur la petite enveloppe. Moi ceux sont mes grands parents qui ont habitaient au 1 du passage Martinetti au 4ème étage sur la terrasse. Dans l'immeuble il y avait au premier étage Mme Lenoir brodeuse, au 2ème Mme Amiech et en face Mme Bénaïm Adrienne qui était sage femme (elle m'a mise au monde et m'a accouchée de ma fille) elle vivait avec sa maman Mme Soussi, au 3ème Mme Bijaoui ensuite Mme Bugéa et les Mir René et Mimi et leur fille Maryvone Mr Mir travaillait à la mairie d'Alger au service d'hygiène, je ne suis pas trés sur de l'ordre.
sur la terrasse en face de mes grands parents il y avait la famille Caillot qui avait 6 enfants Yvette - Colette - Christiane - Jean-Luc - Gérard et Marie-Claude, mes grands parents s'appelaient Chetrith. J'ai bien connu les familles Abrami et Serror qui avait une fille Michèle. Dans l'immeuble de Mme Abrami il y avait Cherifa - Tamani - Zorha et Ahmed mais je ne sais plus leur nom de famille. Mes tantes ont été relogées à la rue Taine. J'espère vous avoir donné quelques renseignements, au plaisir de vous lire.
Avec un brin de nostalgie je vous adresse toutes mes amitiés.
Claude-Amélie

 

De : HenrietteEnvoyer un mail

Le : 04/10/2009 17:03

Pour A Trives

déjà en 81 j'ai eu du mal à retrouver
ma rue des Moulins telle qu'avant et
les rues d'Alger, mais c'était moindre que maintenant

 

De : L CRESPINEnvoyer un mail

Le : 04/10/2009 11:03

Merci André de nous faire partager tes émotions.

 

De : André TRIVESEnvoyer un mail

Le : 03/10/2009 12:59

La porte de la rivière ouverte de nouveau.
Vendredi 2 Octobre 2009, il est 13 H précises (heure locale), l'avion lancé en bout de piste se cabre et décolle de notre rêve qui était devenu réalité depuis 2 jours, 2 petits jours qui nous ont semblé des semaines tellement les émotions ont été aussi intenses. La première des émotions a été strictement humaine: des Algériens, des enfants de Bab el Oued, sont accourus pour nous accueillir et soutenir fraternellement notre rencontre; il y avait Zakia, Didine, Rachid et Nourredine notre accompagnateur, un blidéen n'ayant pas connu les pieds-noirs, mais qui a su nous redonner de la fierté:" Ici vous êtes chez vous" " Vous êtes des français avec un grand A ". Les rencontres sur les trottoirs où les gens qui passent s'arrêtent pour vous parler; ils sont heureux de savoir que nous sommes du pays. Les vieux qui avoisinent nos âges ne tarissent pas d'éloges sur la jeunesse vécue en notre compagnie:" Avant c'était le bon temps, la bonne vie...". Un Algérien nostalgique nous a cisaillé avec ces mots:" Moi, je ne suis pas Arabe, je suis Pieds-Noir." Les jeunes nous indiquent que leurs parents ont toujours dit du bien de leurs voisins français. Puis, les retrouvailles du quartier ont été empruntes d'une grande nostalgie: impossible de regarder le présent sans y revoir notre passé. 47 ans ont marqué nos différences et transformé notre époque. Je suis arrivé troublé dans la rue et devant l'endroit où je suis né. Mon père, maçon de métier, avait en 1949, modernisé le magasin de vins et liqueurs au 4 de la rue des Moulins. La devanture avait été refaite dans un graniteau couleur rougeâtre, et pour que le grain soit joli, il était indispensable de frotter le mur avec de l'eau et une pierre ponce. J'avais, avec toute l'ardeur d'un enfant de 8 ans participé à reluire la pierre... Aujourd'hui, j'ai eu l'impression de caresser les mains de mon père en passant tendrement la mienne sur le graniteau sâle et vieilli qui encadre toujours l'entrée du magasin dont le rideau est baissé, probablement pour limiter mon émotion.
Toutes les mètres carrés des rues et des trottoirs qui mènent au marché sont occupés par les étals des vendeurs du tout et de n'importe quoi. La foule dense va et vient; elle semble errer à la recherche de quelque chose qu'elle ne trouve pas. Où est passée ma rue des Moulins, la rue du Roussillon? Aujourd'hui il serait impossible de faire une partie de pelotte car la rue totalement encombrée, regorge de trous et d'ornières et ne permettrait pas de dessiner au sol une marelle. Comment ferions nous pour disputer une partie de noyaux ou une partie de tchappes ? Disparue la course des yaouleds derrière un cerceau, terminée la volée de guitane pour faire tourner le gangui acéré de la toupie. Mon petit Bab el Oued est différent. C'est Didine, voyant mon désarroi, qui me souffla le mot juste: " c'est devenu le marché de Kandaar au Pakistan". Quelques havres de paix subsistent au milieu de ce tohu-bohu gigantesque: la cour de l'école de la rue Léon Roches où je perçois le chant d'une classe qui répète une table de multiplication, la cour de l'école maternelle de la rue Normandie, zébrée d'ombre et de lumière, sous les feuillages d'un tilleul, des jeunes enfants sautillants de joie sous le jeu de la maîtresse que nous venons d'interrompre. Les saluts des enfants en tabliers roses surpris de nous voir s'intéresser à eux. C'est dans ce calme que je me revois enfant dans ces lieux et plutard instituteur au service de mon quartier... C'était il y a 47 ans.
Un moment fort: la rencontre avec l'épouse de l'ami MOMO, trop vite ravi à l'affection des siens.
Une dernière chose marquante: j'avais oublié la chaleur moite de notre Alger; c'est pénible de transpirer du matin au soir.
Margré les tâches éparpillées aujourd'hui sur le tableau de mon Bab el Oued, il n'en demeure pas moins que les attaches qui me lient à cette ville sont indéfectibles. J'ai eu mal, mais c'était bien ici que mes racines ont construit l'homme que je suis devenu.


 

De : Jean-Pierre de TorresEnvoyer un mail

Le : 03/10/2009 01:08

BONJOUR PIERRE & CHRISTIANE
j'ARRIVE DU BOULOT ET, COMME D'HABITUDE JE VIENS SUR LE SITE DE CHRISTIAN POUR JETER UN OEIL (T'INQUIÈTE PAS JE LE REPREND QUAND J'AI FINI !!)
QUELLE JOIE DE SAVOIR QUE TU AS PU EN TRÈS PEU DE TEMPS RÉALISER CE VOEUX QUE TU AS TRIMBALÉ DANS TA TÊTE PENDANT SI LONGTEMPS."REVOIR NOTRE TERRE QUI NOUS A VU NAÎTRE ET GRANDIR."
OH ! JE SAIS QUELLE ÉMOTION TU AS EU LORSQUE TU ES ARRIVÉ À LA CONSOLATION ET SURTOUT POUVOIR ARRIVER AU 6eENTRER DANS LE 2 PIÈCES QUE TU DEVAIS VOIR BIEN PLUS GRAND ?
SURPRIS DE LA RÉCEPTION?
CHRISTIANNE AUSSI DE SON COTÉ JE VOIS QUE CE FÛT RÉUSSI.FORMIDABLE
ALORS MA DESCRIPTION DE DIDINE ET ZAKIA ETAIT JUSTE ?
TU AS AUSSI RENCONTÉ RACHID ? DONC MAINTENANT TU POUERRAS Y RETOURNER SANS UN VOYAGE ORGANISÉ.
ET BIEN BRAVO D'AVOIR FAIT "LE PAS" COMME ON DIT C'EST LE PREMIER PAS QUI COMPTE.
FÉLICITATIONS POUR CEUX QUI T'ON ACCOMPAGNÉS
À PLUS ET DÉCANTE DOUCEMENT!
AMITIÉ PN ET BISES~`A CHRISTIANE
JP

 

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