pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

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De : RACHIDEnvoyer un mail

Le : 20/12/2009 21:16

BRAVO MERCI FELICITATIONS A VOUS MERZAK AUGUSTE ET....ANDRE TRIVES POUR CETTE MAGNIFIQUE BALADE VERS LE PASSE .IL EST VRAI QUE BABELOUED ET CES FILS ETAIENT INCOMPARABLES ET BIEN SUR UNIQUES.JE NE CESSERAI JAMAIS DE REPETER QU'AVEC LE PEU QUE NOUS AVIONS NOUS SAVIONS APPRECIER ET SAVOURER LA VIE ET LE TEMPS CHACUN SELON SES MOYENS .ET DIRE QUE DE NOS JOURS AVEC TOUT LE LUXE ET LE PROGRES LE GOUT ET LA SAVEUR SEMBLENT S'AVOIR DISSIPES ET REMPLACES PAR LA COURSE CONTRE LA MONTRE ET BIEN SUR POUR LA PLUPART LE STRESS A L'ORIGINE DE TOUS LES MAUX.
DOIT ON NOUS CONTENTER DES SOUVENIRS DES SITES INTERNETS ET DE NOS RETROUVAILLES A BABELOUED ,BIEN QUE 50 ANS APRES,LA CHALEUR LES LARMES QUI COULENT SUR LES LIEUX DE NOTRE ENFANCE FONT QUE NOUS SOMMES TOUJOURS NOUS MEMES.
BABELOUEDEMENT VOTRE
RACHID

 

De : scognamiglioEnvoyer un mail

Le : 20/12/2009 20:30

Qui peu me dire le nom de la personne qui tenait le magasin de livres d'occasions ou on pouvez vendre ou acheter des illustrés (buck john,kit carson,kiwi etc...) je pense la rue était NELSON CHIERICO,toute au début de la rue,niveau PLACE DU TERTRE.

 

De : PICCERELLE PIERRE Envoyer un mail

Le : 20/12/2009 17:41

Bonjour et merci de PIERRE,pour Sellam et Crespin pour ma voir éclairer ma lanterne surtout que le cinéma rialto étais pas loin de chez moi mes amitiés a vous PIERRE.

 

De : André TRIVESEnvoyer un mail

Le : 20/12/2009 16:42

Noël à Bab el Oued
Les vieux parents que nous sommes, avons du mal à digérer la quantité de jouets offerts aux enfants d'aujourd'hui pour les combler. Dans les années cinquante la hotte du Père Noël n'était pas en surcharge lorsqu'elle arrivait au pied de notre lit. Un seul jouet par enfant, une orange et quelques pralines suffisaient à nous combler. Seulement voilà, nos ancêtres avaient inventé l'Art du Rien, en pratique toute l'année, pour que nos amusements ne manquent de rien. Il était donc normal de mettre en scène nos distractions et de les partager avec les copains "en bas la rue". Ainsi, tout partait de récupérations d'objets les plus hétéroclites et le savoir-faire, initié par les grands, nous amenait à réaliser des jeux et des confrontations inoubliables. De plus, ils s'accordaient avec les saisons et se répartissaient au long de l'année. Noyaux d'abricots, boîts d'allumettes, terre "anglaise", capsules de soda, roulements à billes, vieux chiffons, papier journal, ficelle, roseaux coupés à la carrière Jaubert, toupie avec gangui de fabrication personnelle, des billes en agate spéciales " tuisse et bit et pam", constituaient notre matière pemière. S'ajoutaient des jeux collectifs comme " Fanfan vinga", " tu l'as", "chat perché", "délivrance", "sotte mouton" pour les garçons, la corde à sauter, la marelle, bleu-blanc-rouge et "mère que veux-tu?" pour les filles.
C'était il y a soixante ans, et c'est toujours comme hier...

 

De : L CRESPINEnvoyer un mail

Le : 20/12/2009 15:22

Pour Pierre
Quand on est au bout de la rue Nelson Chiérico devant chez Yborra l'épicier et qu'on regarde en face, eh bien la rue Camille douls c'est celle qui est en face. Faisait le coin la boulangerie Senabre et le Rialto. Elle grimpait en virages.

 

De : SellamEnvoyer un mail

Le : 20/12/2009 14:33

Salut Pierre,
La rue Camille Douls est au dessus de l´hopital Maillot, commence au Bd de Champagne.
Bonne fin de journée.

Sellam de Suède

ps: il y a un beau plan de BEO dans ce site.

 

De : PICCERELLE PIERREEnvoyer un mail

Le : 20/12/2009 12:24

Bonjour a tous et toutes ,je voudrais savoir si on me dire de la rue camille douls ou se trouve par raport a la rue nelson chiérico et la rue curie merci amitiés Pierre du 3 rue nelson chiérico.

 

De : sauveurEnvoyer un mail

Le : 20/12/2009 10:42

Bonjour à Tous


Je fecherche Antoine AUTUORI dont la maman ,Mathilde,habitait au 6 rue de la Consolation
Je recherche egalement Zaccharie PAPPALARDO dont les parents Joseph et Rose habitaient au 4 rue de la Consolation

Bonnes fêtes de Noël

 

De : AUTUORI AugusteEnvoyer un mail

Le : 19/12/2009 23:11

Merci mon Ami Merzak de te souvenir du rôle de mon Père en tant que Président des Parents d’Élèves, car à cette époque son problème était plus de s’occuper des enfants dans le besoin (chaussure, noix, mandarine), et qu’ils puissent avoir des cadeaux pour Noël que de les faire passer de classe.
Pour ma part je dirais que les souvenirs étaient enfouis en nous, le temps apaisant « l’épiderme », tout cela nous manque, je l’ais déjà dis Bab El Oued était à part, nous nous aimions tous sans distinction de RACE, nous étions Bab el OUEDIENS, tu le sais toi mieux que quiconque j’ai mis 50 ans à retrouver ton frère Brahim.
Voilà pour tous les Bab el Ouediens que ces fêtes de fin d’année se passent dans la joie et le bonheur et que 2010 vous épargnent tous de la Maladie et du Malheur.
Babelouedement

 

De : L CRESPINEnvoyer un mail

Le : 19/12/2009 21:59

Je réponds à ta question Merzak :
Pourquoi tous ces souvenirs de + de 50 ans surgissent. Pour ma part, c'est je pense parceque que maintenant que nous n'avons plus d'activité professionnelle, que nos enfants sont élevés, que nous sommes plus libres, plus disponibles et certainement plus matures, que nos parents nous quittent peu à peu.

Message pour Alain BLANC :
Georges EPINAT c'était un jeune médecin qui soignait toute notre famille. J'étais jeune mais j'entendais mon père parler de lui d'une façon élogieuse. Il doit être à la retraite maintenant.

 

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