pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : Raymond MOLTOEnvoyer un mail

Le : 06/02/2010 12:02

Chers amis bonjour,
Pour ceux qui l'ont connu Jacky ARBONA un enfant de Bab el Oued de la cité Picardie nous a quitté
Les obsèques de Jacky auront lieu le Lundi 15 Février 2010.
La cérémonie religieuse se fera à l'église de Saint Cyr sur Mer à 10h00
Bien amicalement.

 

De : sala martineEnvoyer un mail

Le : 06/02/2010 08:48

Bonjour Saidi .J'essaie de vous joindre sur votre email perso,mais cela ne marche pas!Est-ce-que votre adresse est bonne?J'aimerais beaucoup parle avec vous,qui etes au pays.Amicalement.Martin

 

De : ferrandiz marleneEnvoyer un mail

Le : 05/02/2010 18:58

MESSAGE POUR PIERRO DE BAB EL OUED. Vous n'avez pas lu le message que j'ai émis le 1 01 2010 ???? je parlais des Drigués j'étais une amie de chantal et de sa famille les ZERBIB et j'aimerais que Chantal me contacte de plus je suis la niéce des FERRANDIZ de la citée du vieu moulin voilà .... Je profite aussi pour annoncer aux anciens de la rue Léon Roches du décé de Marie Fuentes l'épouse de "coco " Sanchez et soeur d'Antoine (LA HOUSSE FUENTES) Paquito, Pépito et Robert, elle a suivi de quelques mois le décé de Roland SANINO 'transports SANINO) bien triste nouvelles mais cela dit s'il vous plait essayez de me mettre en relation avec Chantal (dites lui que j'ai publié une photo d'école) si je pouvais au moins avoir son adresse E MAIL merci!!!!

 

De : ArletteEnvoyer un mail

Le : 05/02/2010 17:38

Bonjours à vous tous,

Je lis les messages qui sont toujours aussi poignants les uns que les autres, beaucoup de noms de rues qui y sont cités me rappelle mon enfance pour avoir vécu à le Rue Curie et Avenue de la Bouzaréah.
Les messages d'algériens qui sont restés dans ce pays que nous aimions tant nous vont droit au coeur. Notre chère petite capitale de Bab el Oued nous aurions pu continuer à vivre auprès de toi.

 

De : Henriette poueyEnvoyer un mail

Le : 05/02/2010 15:45

Pour Dédé Scotto
J'ai bien reçu le mail par le biais de ton copain, mais ni le mail ni le N° de portable semblent correspondre à ceux qui sont donnés, le mail de réponse me revient, quand au portable, c'est le même N° que j'avais et il semblerait que l'interlocuteur soit une autre personne, alors vérifie si ce sont les bonnes coordonnées
Bien amicalement

 

De : ChristianEnvoyer un mail

Le : 05/02/2010 11:58

Bonjour à tous,

A nos ami(e)s de POLYNESIE de BEO, j'espère que vous n'avez pas trop souffert du cyclone et que tout va redevenir normal rapidement.
J'ai aussi une pensée pour les deux familles qui ont perdu un être cher, sincères condoléances. Amitiés. Christian

 

De : claudette lubranoEnvoyer un mail

Le : 04/02/2010 21:43

je vous fait part du décée de ma cousine jeanine botella qui habiter 3 rue françois serano a bab el oued elle etait agée de 63 ans

 

De : pierrot de b eoEnvoyer un mail

Le : 04/02/2010 12:16

bonjour a tous alors je mets ma petite note perso ok? salut christian bravo pour ton site ensuite pour la famille kasby ( d,,, repose leur ame) j ai bien connu aussi nous c etait rue falsbourg pour michel chemla salut fils ie suis cousin de claude ( charly de b e o )frere de chantal et fils detata fernande et client de ton frere gillio a lyon ,pour amara j etais a l ecole avec les freres de la cite des vieux moulins frere d ida je pense avec les cerdan guastavino ferrandiz etc a ces pieds noirs des qu ils parlent c est parti pour desheures au fait le 52 av de bouzarea et le coin chez salort c est rasé bon allez a plus tchao amigos

 

De : michel suchEnvoyer un mail

Le : 03/02/2010 20:58

Paquitta était notre voisine au 23 rue François Serrano, anciennement...
Je l'ai toujours connue.
Quand mes parents se sont installés à Béziers le hasard les à fait se retrouver.
Inch'Allah, si Dieu veut, ma mère aura 86 ans en Août. Je lui laisse le temps de prendre le temps d'aller rejoindre sa camarade de jeux.
Il y a plus de trente ans, en riant à cette époque, elles avaient acheté des concessions au cimetière neuf de Bézies. Les tombes de la famille Milla et de la famille Such sont l'une à côté de l'autre....
On se serre les coudes, on se rapproche jusque dans la mort... On est comme ça nous ôtres...
Merci Pierre-Emile pour ton texte empreint de gravité et merci à toi Chérif, notre voisin du 3 de cette ancienne Rue de la Vigerie...
A oui, pour ma fiancée de quand j'avais 6 ans, qui ne vient pas forcément tous les jours sur le site à Christian, il s'agit de Colette Gonzalez maintenant Alonso... Si vous la connaisez???
Michel

 

De : Pierre-Emile BisbalEnvoyer un mail

Le : 03/02/2010 18:50

Pour Michel Such.

Michel, ce petit texte inspiré par ton message concernant le départ de Paquita.
Très amicalement.


Comme un arbre…

La vie nous a dérobé le plus beau des matins celui ou, sur une de nos branches nous aurions vu renaitre la première feuille du printemps. Nous sommes un arbre dont les feuilles ne repoussent plus. Comment pourrait-il en être autrement avec nos racines désormais inutiles car arrachées à cette terre d’Algérie. Nos racines, autrefois profondes, robustes, vaillantes, réduites maintenant à un entrelacs blanchâtre, stérile, noueux et sec, semblable à ces ossements extirpés à la hâte d’un caveau profané.
Nous vivons notre ultime et interminable hiver. Nos feuilles meurent doucement et partent docilement. Ces feuilles brulées par un destin féroce et amoral. Une feuille d’Alger, d’Oran, de Tlemcen, de Bône, d’un village du littoral ou du bord de l’Atlas. Une feuille avec ses souvenirs et l’amour des siens comme unique bagage pour le dernier passage. Une feuille qui se détache et plane, maladroitement soutenue par l’haleine de la mort dans un balancement disgracieux ignorant le chagrin des vivants.
Nous avons des mots usés et doux pour ceux qui restent. Une salutation murmurée avec son goût de larme. Un geste d’une tendresse retenue. Une main sur une épaule. Une dernière prévenance formulée dans un égal partage entre la mort et la vie. Un nom que l’on glisse lors d’une rencontre pour dire qu’il nous a quitté, pour dire qu’elle est partie.
Bientôt plus rien de vivant ne subsistera de nous. Ceux de notre sang qui n’auront pas connu la vie de « là-bas », ne sauront bientôt plus rien de nos joies et de nos chagrins qui périront de ne plus être contés, asphyxiés par l’oubli. Sur ces vieilles photos que les familles conservent, un jour, un enfant cherchera notre nom, le nom d’un lieu, une date. Il ne trouvera pas d’écho. Les feuilles meurent en silence.

 

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