Le : 15/11/2012 22:40

j'ai promis de vous raconter une autre histoire qui est resté graver dans ma mémoire d'enfant terrible. C'était dans les Années 1959/1960 je crois "je suis sur même j'avais à l'époque 14 ans. Avec mon ami Jean Paul Petit Jean neveu de monsieur Defrance le fabriquant de sommiers et Aliouète un autre ami. Nous avions confectionner un engin "carriole" de plus de 1m50 de long sur 80cm environ de large et de 4 roulements de 10cm à peut près nous avions choisi du bois rouge, pour que notre engin sois solide à tous les choques, nids de poules et dos d'ânes, nous l'avions équiper de freins en patins de caoutchouc "des lamelles de pneus" clouées sur une planche fixées à l'arrière devant les deux roulement le tout commander à l'aide d'un câble de freins d'un scooter Vespa et un manche en bois (pour vous dire que nous étions des génies nous pouvions revendiquer un poste de travail chez Renault ou Peugeot) Pour faire chic et confortable pour nos fesses de petits bambins, nous avions capitonner la planche qui nous servait de siège avec du cuir et éponge que monsieur Drissi fabriquant de fauteuil nous avait gracieusement offert à la condition de lui promettre de nous abstenir d'utiliser notre monstre à l'heure de la sieste, promesse que nous avions tenue bien sur. Notre circuit préférer c'est le trajet de la "Cité Molines, un peut plus haut que Montplaisant avec une arrivée triomphale devant le bar de Papalardo pas loin du rond point du Triolet et le garage Denis. Pour arriver à la mésaventure qui m'est arrivé un jour à quatre sur notre engin nous avions dégringoler comme d'habitude notre circuit arrivé au grand virage de Beaufraisier devant le bar de monsieur Jacques et à mi chemin de notre itinéraire je me retrouve face à une 2 CV conduite par une soeur du couvent de Beaufraisier, la soeur avait rétrograder au virage moi devant cet obstacle j'avais trois solutions soit je l'évite à sa gauche et là je passe sous le car de Cabrérra qui montait vers Montplaisant, soit je l'évite à droite alors là je vais directement dans le ravin où soit je lui rentre dedans. J'ai opter pour cette dernière alternative sauf que là comme tous mes trois copains étaient derrière moi c'est moi qui avait pris tout l'arrière de la 2Cv en pleine gueule avec une dent cassée,et le visage ensanglanté chose que je ne pouvais pas caché à mes parents qui m'ont réserver l'une de mes grandes raclée . Mais j'étais heureux notre bolide a eu la vie sauve, il avait continuer sa couse sous la 2CV nous l'avions récupérer 20 mètres plus loin. La grosse panique était pour les trois soeurs qui étaient dans le véhicule d'ailleurs c'est elles même qui se sont charger de mes soins. Alors mes amis(es) donnez moi une note est ce que se n'est pas un très bon souvenir cette mésaventure. Le charme de notre jeunesse c'est qu'on se casse la Fatcha " la gueule. La prochaine ce sera l'histoire de notre ami Aliouète, en allant taquiner le nid des moineaux sur un eucalyptus en tombant de l'arbre une branche s'est brisée et lui a traversé le poignée il est resté pendu jusqu'à l'arrivé des grands qui l'ont délivré de cette mauvaise posture