pied noir

Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

Liste des messages

De : carmenEnvoyer un mail

Le : 21/03/2008 12:00

bonjour,

à vous tous, je vous souhaite de joyeuses paques....

avec notre souvenir du lundi de paques à sidi ferruch, avec la mouna, les cocas,
la calentita.

que de bons moments.. on ne pourra jamais oublier tout cela.

bises à tous

carmen de la cité des vieux moulins (en face de l'anisette gras) hum, ça sentait bon l'anis

 

De : michel suchEnvoyer un mail

Le : 21/03/2008 11:35

à Sauveur.
Sauveur, entention mon fils. Te baigner à Pacques. Entention "les couteaux..." Je ne sais pas si Pacques est la bonne époque mais pour ma mère, les couteaux c'était jusqu'à fin juin... Histoire de serrer la vis...
Bonne Mouna à tous et je vous signale que le four de mon père est mis à votre disposition tous les après-midi... Monsieur Pierre (pour ceux qui l'ont connu) vous aidera à enfouner. Enfin, la cuisson des bouzouloufs est interrompue à Pacques et reprendra dés mardi...
Michel

 

De : SauveurEnvoyer un mail

Le : 21/03/2008 08:23

En ces jours de précédant Pâques
Dans le quartier c'etait le jeûne:on avait acheté au Marché (Suzanne ou Spinoza) de la morue salée Bacalaho ou bacalau mis à tremper dans de l'eau fraîche assez souvent renouvelée,poisson accomodé de differentes façons
Je me souviens que l'odeur de cette morue salée etait forte

Quand le temps etait au beau (c'etait la période des premiers bains de mer),les ménagères du quartier pensaient à refaire leur matelas
On lavait la laine mise à sécher surle carrelage des terrrases puis un artisan cardait la laine sur son cardoir puis avec une grande aiguille effilée,courbe,il mettait en fporme le matelas dans sa toile Quand les bourrelets etaient terminé et les capitons mis en place
On n'avait plus qu'a payer l'artisan matelassier

 

De : Henri RindovetzEnvoyer un mail

Le : 21/03/2008 02:02

De Henri à Michel,
Pour ceux qui se rappellent bien de notre cher Mr Bensimon, nous étions tous dans la classe, affublés d’un surnom bien souvent dérivé de notre nom de famille et là, vu nos origines de tous les coins de la méditerranée, il y avait de quoi faire.
Je suis persuadé que si il avait eu vent de cette affaire de ''cheval vapeur'' sur qu’il en aurait trouvé plein d’autres qui à ces yeux n’avaient pas encore dépassé à l'époque le niveau de "bourricot vapeur".
Merci Michel pour cette anecdote avec Mr Roméo, merci Mr Bensimon pour cette éducation que nous avons essayé de conserver et que nous respectons encore aujourd’hui.
très cordialement à tous,
Henri Rindovetz.

 

De : ellul yvesEnvoyer un mail

Le : 21/03/2008 01:24

Sorrentino yvette bonsoir . Je suis du 13 de la rue bruce , j'ai connu un sorrentino peut être un frére a vous ? . J'ai connu des gents de la rue boutin ; je suis de 1931 . MERCI de me répondre .

 

De : GIGI2Envoyer un mail

Le : 21/03/2008 00:50

A MME MILANINI,
BONJOUR,
Je vois le magasin, aprés description que vous faite. Il était avant la boulangerie Gavila ( tenue par Marie Rose ,décédée, cousine de ma belle -seure) ce magasin était tenu par une femme asser forte, mais ce n'était pas une épicerie, c'était un magasin de cadeaux ( montres, vaisselle ..)Cette femme vivait apparament seule.
Je la connaisais juste de vue.
GIGI2

 

De : garcia georgesEnvoyer un mail

Le : 20/03/2008 22:29

Pardon mesdames ,mais c'est un souvenir matchiste, mais croustillant de rigolade!
Qui se souvient du magazine un peu osé qui s'appelait"les beautés de Paris et d'Hollywood"
ou simplement "PARIS -HOLLYWOOD",c'etait le" play boy" de l'époque et il circulait de mains en mains avec à chaque fois une petite touche personnelle de celui qui le passait au suivant car les photos étaient de trés mauvaise qualité avec des couleurs bistre vert orangé caca d'oie et certains détails manquaient ,alors chacun y allait de ses crayons de couleur et" noir" pour en agrémenter les" top modèles " présentées.
Les exemplaires que l'on trouve encore doivent valoir une fortune! Qui en possède?
Souvenir ,souvenir.....
Salut à tous a+ GG

 

De : michel suchEnvoyer un mail

Le : 20/03/2008 20:51

à André Trives.
Merci de m'avoir remis en mémoire le nom de ce cher monsieur Ben Simon, notre prof de français qui "malgrais mon ortaugrafe "m'a toujours encouragé à écrire... Quand à Monsieur Roméo, je garde toujours dans un petit coin de ma tête malade et de mon coeur, cet instant, où parce que j'étais gros et que je ne sautais pas plus de un mètre en hauteur, sous les moqueries sans pitié de mes copains de classe... M'avait dit " Ecoute Such, un mètre c'est bien. Si on prend en compte ton poids et la hauteur franchie, tu développes au moins un cheval vapeur et là, à part Balzano ( qui devint maire de BEO) personne ici ne peut se vanter de développer 1 CV." Merci Monsieur ROMEO, merci de m'avoir fait accepter d'être gros. Et merci à toi André Trives ...
Michel

 

De : QUESADA JeanEnvoyer un mail

Le : 20/03/2008 18:33

POUR GUY BROUSSE.
Les mails que je t'envoie me reviennent. Peux tu me communiquer à nouveau ton adresse. Avec mes remerciements. Amitiés.

 

De : Moreno AlainEnvoyer un mail

Le : 20/03/2008 17:17

Bonjour à toutes et tous: A tous les anciens de l'école Lelièvre.Notre charmante, et studieuse instit Melle Karsenty ciffée de sa choucroute, et son mari également instit Mr... J'ai trés bien connu Ch Scognamiglio, classe CP 55/56, je suis dans la même rangée que vous 3e élève sur la droite avec l'écharpe blanche A Moreno. Puis classe de CE-2 57/58 premier rang ht, complétement à droite. Nous étions voisin Christian, Cité des Moulins et moi, en face Av de la Bouzaréah au 64, à coté de la boulangerie Clapez. Sans oublier les autres camarades de classe J-P. Solivères, P-E. Bribal, Bouchara, J-L.Mikalef, etc...leur noms m'échappe, mais pas leur frimousses. Il n'y a pas d'école Lelièvre sans Mr Massé, ou Masse directeur de l'établissement, pour ceux qu'ils l'ont connu (sévère,mais juste)s'il n'avait pas fait carrière dans l'éducation nationale, je l'aurais bien vu dans l'armée. Mais s'était l'enseignement vieille école, ou il fallait marcher droit si non entention.Il me connaissait trés bien, moi je connaissais surtout sa grosse régle en bois, sur le bout des doigts. Et des baffes en veux-tu en voila, mais surement mérité. Ma fin de scolarité en primaire était un vrai cauchemar, car liée aux évenement de cette saloperie de guerre:NO Coment.Mr Trivès raconte trés bien l'histoire de notre école, j'éspere qu'il y aura d'autres chapitres. Je me permet d'ajouter une petite touche personnelle. Vous souvenez-vous de Me Bouchara je ne suis pas sur de son nom, notre cordon bleu. Une femme exceptionnelle qui adorait les enfants, plus d'une foi elle m'a sauvé la mise, alors qu'elle n'était pas obliger de le faire.Elle me donnait à manger sans que personne le sache, en me faisant entrer dans la cantine par la porte de service rue Châteaudun, aprés le dernier service(parce que je ne voulais pas aller à l'école) Puis un jour alors que je déjeuner seul évidement, qui je vois arriver derrière mon dos le directeur Mr Massé. Il a mis sur moi, et sur Me Bouchara toute la colère du monde.Je ne me souviens plus qu'elle a été ma punition, mais elle a dû être sévère. Peu de temps aprés lorsque j'ai été en âge de comprendre les choses de la vie, j'avais honte de moi, surtout pour Me Bouchara qui était devenu par cette histoire une pauvre victime.Me Bouchara si vous liser mon message, sachez que le petit garnement que j'étais ne vous a jamais oublier, et peut-être m'avez-vous pardonner. Moi,je vous demande pardon. Je n'ai pas eu le temps de vous remercier pour toute votre gentillesse, et votre bonté. Je vous promet à l'avenir de rester sage, merci encore. Je vous embrasse trés fort, j'avais 12 ans à cette époque. Voila pour ma petite touche personnelle.
Trés cordialement. Un enfant de BEO

 

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